#PKJtag – Adieu 2023 + bilan livresque de l’année
Posted By /*php the_author_posts_link(); */?>Svet Mori le 31 décembre 2023
Cette année, j’ai commencé la rédaction de cet article plusieurs jours *à l’avance* pour ne pas me laisser submerger. Apprendre de ses erreurs, tout ça… Du coup, aujourd’hui, ne restait plus qu’à finir de mettre à jour l’image de ma collection avec les livres lus, et mettre le tag dans le bon ordre. Bonne surprise, même pas besoin, c’était exactement comme l’an dernier !
Vous connaissez désormais la musique, avant d’entamer le tag PKJ, place aux STATS !
Mes fichiers automatisés étant désormais bien rodés et mis à jour tout au long de l’année, il n’y a plus qu’à cueillir les stats et voir ce qu’elles nous disent. Bon, certes, ça prend quand même un peu de temps, mais ça facilite infiniment les choses.
En 2023, j’ai lu 73 romans, nouvelles et recueils, soit 3 de plus qu’en 2022 (c’est toujours 23 de moins qu’il y a deux ans).
On peut raisonnablement considérer que mon rythme de lecture est stable. Je finis environ 6 bouquins par mois, 5 étant le minimum. Et ça me convient très bien.
En rajoutant les mangas, beaux livres, loisirs créatifs, etc, on atteint un total de 100 critiques soit 5 de plus que l’an dernier !
Parmi les critiques de romans, 43 sont consacrées à des acquisitions faites cette année, ce qui signifie que j’en ai pioché 30 dans le stock ! Parmi ceux-ci, il y a 2 relectures. Cette fois, la guerre à la PAL VF est réellement déclarée. Ça ne contrebalance pas les ajouts, mais on sent l’effort.
Pour ce qui est des genres de lectures, les proportions ne bougent pas ou presque. Si on perd en variété côté romance, on en récupère un peu niveau « mauvais genres ».
• la romance domine toujours avec 41 lectures :
– 26 romances contemporaines
– 6 romanticas
– 6 romances historiques
– 3 romantic suspenses
Avec la disparition de la paranormal romance, il n’y a plus aucune romance « de l’imaginaire » parmi mes lectures cette année. Ce qui est logique, puisque je n’en ai pas beaucoup dans ma PAL et me concentre à dégommer les contempo et les histo.
• côté « mauvais genres », on trouve 19 lectures :
– 6 littérature de l’imaginaire :
5 fantastiques
1 fantasy
– 10 romans noirs :
2 polars
8 thrillers
– 3 romans d’aventure
Les mauvais genres remontent un peu, et surtout l’imaginaire, avec en bonus le retour de la fantasy. Bon, grâce au calendrier de l’avent Disney, mais ça compte ! L’aventure fait elle aussi son retour.
• 13 livres de littérature blanche
– 6 fictions
– 7 non-fiction
De ce côté-là, ça ne bouge pas non plus.
Et côté pile à lire ?
Sans prendre en compte les livres marqués lus mais à relire, elle compte désormais 3528 livres dont 1913 (54,22%) en VO (1785 (50,59%) anglaise, 128 (3,63%) en japonaise).
J’ai donc atteint mon objectif : il y a désormais plus de livres en VO qu’en VF dans ma pile à lire. Par rapport à l’an dernier, ladite pile à lire a donc augmenté de 442 livres… ce qui signifie que mon rythme de lecture a, en partie, compensé les arrivées, également moins nombreuses qu’auparavant.
Petit rappel annuel, copié/collé parce que je vous avouerai en avoir un peu marre de devoir expliquer la même chose en boucle :
En 2023, j’ai donc acquis 505 lectures au format papier (hors mangas, BD, beaux livres etc) cette année (dont 7 que je n’ai pas gardés), répartis comme tels :
• 480 achats (95,05 %), dont 237 en soldes ou à prix réduit (46,93 %) et 21 en occasion (4,16 %)
• 2 service presse (0,4 %)
• 23 cadeaux, livres obtenus avec des points ou en boîte à livres (4,55 %)
258 (53,75 % de mes achats) n’auront pas été au prix d’origine et il y a eu 25 livres (4,95 % de mes acquisitions) que je n’ai pas payés soit 222 achats plein tarif (43,96 %).
107 livres en moins que l’an dernier, ça se ressent pas mal. En cause, en début d’année le taux de change très désavantageux, en fin d’année le fait que plus rien ou presque ne m’intéresse. Le burnout a fait son petit nid et ne semble pas vouloir se barrer.
En revanche, on note beaucoup plus d’achats « plein tarif » qu’auparavant, un véritable rebond, même. Conséquence directe, ceux en prix réduit ont grandement diminué. Niveau occasion et service presse, rien ne bouge, ce qui n’est pas le cas des acquisitions gratuites réduites au tiers de l’an passé !
On voit toujours la différence entre les mois à colis US et les mois sans. Cependant, la différence se voit au niveau des mois creux, ceux sans colis : j’ai réellement réussi à diminuer les craquages sauvages.
(ceci dit, quand t’as plus une thune, t’as pas trop le choix)
Enfin, j’ai désherbé 15 livres en tout cette année.
La proportion de romans en VO : 359, soit 71,08% (contre 66,50% l’an dernier, 71,53% en 2021, 77,24% en 2020, 18,2% en 2019, 9,3% en 2018, 8,2% en 2017 et 10,9% en 2016).
C’est mieux que l’an passé, mais toujours moins qu’auparavant.
Pour la source, c’est >sur le twitter des éditions PKJ< !
Une fois n’est pas coutume, il a fallu trancher, parce qu’il y a eu d’autres coups de cœur en plus de ceux-là !
Sans hésiter, ma dernière lecture de l’année est aussi l’une des meilleures !
Énorme bonne surprise que ce Jiken, bourré de qualités, qui aborde le true crime de la meilleure façon possible !
Ça, à l’inverse, c’était ma *première* lecture de l’année.
Pas forcément les pires lectures… quoique… mais indéniablement celles dont j’attendais mieux, même quand je n’en attendais justement pas grand chose. Comme quoi, même quand la barre est basse…
Des chapitres ou bouts de chapitres piochés dans les romans classiques de cape et d’épée, tirés de leur contexte et pas toujours très palpitants. La mot « déception » a été inventé pour ce livre. Je l’ai encore mauvaise.
Décidément, pas de bol. Tu penses piocher un roman d’aventure sur les traces de l’auteur, tu te retrouves avec un thriller ésotérique pas top sans grand rapport avec le sujet. Déeeeeceeeeeeptioooooon.
Titre plus approprié : « Ode à l’élitisme » ! C’est quand même paradoxal qu’un bouquin censé rendre hommage aux livres passe la plus grande partie de ses pages à cracher sur tout ce qui peut rendre la lecture accessible. J’en suis ressorti non seulement déçu, mais surtout très amer.
Sans grande surprise, comme annoncé dans le tag de l’an dernier…
… en marge de mon vidage de pile à lire, j’ai chopé Sillage à sa sortie. C’est sombre, torturé, envoûtant aussi, et ça mérite totalement de figurer dans cet article !
Bon, techniquement il s’agirait de Caligula’s Love, déjà cité plus haut. Alors, pour éviter la redite, je vais mettre le premier roman lu en 2023 :
… j’en attendais rien, ça a en réalité été une très bonne surprise !
J’ai prévu de me relire ça ce soir, comme un petit bonbon ^^
Pour une fois, il n’y a pas à hésiter !
Il y a eu beaucoup d’autres très jolies choses qui méritent d’être montrées (à plus forte raison qu’avec le retard des articles mensuels, vous n’avez rien vu de tout ça) :
J’aurai mis le temps, mais j’ai enfin chopé (et lu !) les deux premiers tomes de Zéphyrine, avant de relire le troisième.
Reworld Media prend la tête avec 20 lectures, détrônant finalement Harlequin (18 lectures). J’ai Lu s’empare de la troisième place du podium avec 4 lectures.
C’est confirmé, j’aime beaucoup le duo formé par Karine Géhin et William Tinchant puisque je guette toujours leurs nouvelles dans les recueils !
Ça tombe sur le dernier du carton de Noël ^^
A ce stade, on frôle même l’overdose, j’ai même plus envie de découvrir le truc.
Sans hésitation aucune, la magnifique réédition d’Unbirthday !!!!
Il y avait quelques attentes, mais c’est clairement la fin de la saga Someone Like You que j’attendais le plus !
Ceux des limbes a ENFIN été détrôné…
… au profit d’un autre favori.
Ben… Esprits d’Automne est sorti quand même…
Seule lueur d’espoir à travers le brouillard, la devanture d’un commerce toujours ouvert, dont le gérant se révèle aussi accueillant que séduisant.
Mais Judith ne tarde pas à découvrir qu’un mystère peut en cacher un autre… et l’entraîner bien plus loin qu’elle ne l’aurait imaginé.
ALORS techniquement ce serait 15 aventures de mousquetaires mais comme il a déjà été nommé dans la rubrique déceptions, on va mettre celui qui aurait également pu y figurer :
« Nos plus atroces histoires d’adultère », ouais.
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