Loot bouquins d’Août 2016
Posted By /*php the_author_posts_link(); */?>Svet Mori le 7 septembre 2016
J’avais pas spécialement prévu de dépenser des sous en bouquins ce mois-ci. Finalement, s’il n’y avait pas eu une book razzia à la Fnac (toujours à crédit), il n’y aurait probablement pas eu d’article. Pas pour deux/trois livres…
Au lieu de ça :
Ca fait donc 16 !
Pas de livre en VO ce mois-ci, mais une fin de série suivie à la place !
Alice, quinze ans, vit dans une communauté restée indépendante et libre. Pour toute école, elle n’a connu que celle du combat. Mais elle y excelle. Lors d’une patrouille, elle surprend un mort-vivant portant des oreilles de lapin roses qui sort subitement de terre, puis qui disparaît. Des rumeurs parlent d’un réseau souterrain où les Mordeurs se réfugient.
Sans l’ombre d’une hésitation, elle s’engouffre à sa suite. Et chute…
Le « truc de zombies » du mois.
Avec un titre pareil et sa couverture à l’esthétique si particulière, Alice au pays des morts-vivants ne peut qu’attirer l’attention. Une revisite de la célèbre histoire, sauce zombie, avec en bonus une Alice badass, ça donne tout de suite envie de sauter derrière elle dans le terrier du lapin !
L’ouvrage a été un succès en auto-édition en Inde, pays d’origine de son auteur, lui-même écrivain chevronné ayant fini par, comme beaucoup d’autres, quitter le circuit classique du livre.
Au fil de ses macabres découvertes, tout ce qu’Elizabeth tenait pour évident est remis en question : le bien et le mal, les amis et les ennemis, l’amour et la haine… la vie et la mort !
Le résumé laissait planer le doute, mais il s’agit bien d’un roman purement fantasy, et non pas fantastique sauce historique (contrairement à par exemple La Louve et la Croix, ancré dans notre monde).
J’avais dit que je ne prendrais pas Witch Hunter, parce que je me méfie beaucoup des trucs « toujours en cours en VO » qu’on mettra trois plombes à avoir en intégralité. Je n’aurai pas résisté longtemps, finalement… Surtout que dans le pire des cas, certaines critiques parlent d’un tome auto-conclusif.
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Contrairement à tout le reste, la série Belladone est un achat purement impulsif. Trouvée sur les rayonnages d’une boutique d’occasion, le fait qu’il s’agisse d’un truc bit-lit de chez Milady que je n’avais jamais vu en rayon à la Fnac du coin m’a poussé à aller voir vite fait sur le net de quoi il s’agissait… Habitué à râler en devant renoncer à me lancer dans des séries déjà trop longues, quelle n’a pas été ma surprise en découvrant que celle-ci était terminée en deux volumes… les deux que j’avais sous les yeux. En plus, au vu des notes et des critiques, il paraît que c’est bien.
Worg est un technomade: libre, sans attache, ou presque.
Jusqu’à ce qu’il se penche sur une disparition incongrue et des perturbations de son braincast… et déchaîne les foudres meurtrières d’une corp’ trop bien renseignée.
Attention, coup de cœur !
L’extrait de Ch3val de Troi3 inclus dans les compilations thématiques de Bragelonne, bien qu’extrêmement court, m’avait méchamment donné envie de lire le livre làmaintenanttoutdesuite. L’immersion est totale et immédiate, notamment grâce aux échanges de Worg sur les réseaux sociaux, rendant le texte et les personnages d’autant plus vivants… l’agaçante manie de sa copine d’écrire en style SMS contribuant même à renforcer ce sentiment !
Point noir : 15€ les 120 pages… J’ai donc attendu un mois ou deux, avant de craquer, n’y tenant plus : je voulais la suite !!! Pari réussi pour Eric Nieudan, qui parvient à accrocher son lecteur dès les toutes premières pages.
Si Ch3val de Troi3 n’est pas exempt de défauts, il n’en reste pas moins l’un des rares livres de SF à m’avoir VRAIMENT (beaucoup) plu.
Je n’avais pas vraiment accroché à l’extrait d’Anno Dracula. Ni à l’histoire (le pitch était pourtant prometteur), ni au style, ni aux personnages. Bref, à rien. Mais quand des potes qui ont plutôt bon voire très bon goût affirment qu’un bouquin est génial, et que l’un d’entre eux parvient, via un argumentaire développé, à te convaincre de lui laisser sa chance, le jour où tu tombes sur le poche en rayon, tu l’achètes. Je n’aurais pas pris le grand format (surtout en version « Mois du cuivre » bien chéros), mais en petit format, la prise de risque est nettement moindre.
Quarante-cinq ans plus tard, le fils de Jim, Jim junior, doit supporter la paranoïa de son père, qui a transformé la maison en forteresse pour protéger sa famille. Pourtant, une créature étrange réussit à se faufiler dans la chambre du garçon et le kidnappe…
Attention : des trolls sortent de l’ombre et s’attaquent aux humains, leur plat favori…
Avec les trolls pour sujet et Guillermo Del Toro en co-auteur, Trollhunters ne manque pas d’arguments pour séduire le lecteur en goguette dans les rayons. Alors oui, il s’agit d’un roman jeunesse et on ne peut que se laisser aller à rêver de ce que l’on aurait pu lire dans un registre plus mature. Faut-il pour autant cracher dans la soupe et bouder Trollhunters ? Probablement pas. Mais mieux vaut prévenir : les premières critiques disponibles ça et là sont plus que mitigées, pas uniquement parce que le livre ne correspondait pas aux attentes des lecteurs, mais aussi à cause d’autres lacunes…
Le craquage ne doit donc se faire qu’en gardant au minimum à l’esprit que Del Toro n’est QUE co-auteur et que jeunesse oblige, il ne faut probablement pas s’attendre à y retrouver l’habituelle noirceur des univers du monsieur.
De l’anticipation ambiance apocalyptique mâtinée de polar : il n’en fallait pas plus pour me donner envie d’acheter (même si, soyons honnêtes, c’est surtout le « apocalyptique » qui joue). A voir si son cocktail se révélera aussi bon que la recette le laisse supposer.
Le lecteur d’aujourd’hui aura la surprise de découvrir que l’histoire, censée être futuriste, se passe en… 1999 ! En effet, Soleil Vert est un « classique » qui fête cette année ses 50 ans !
Toujours de la SF post-apocalyptique. Un pavé repéré en rayon à côté de Chroniques de Hallow (de la bit-lit, donc rien à voir), acheté plus par curiosité qu’autre chose, en dépit du fait que les critiques, certes archi-positives, s’accordaient toutes davantage sur le message véhiculé par l’auteur que sur le contenu en lui-même. Par conséquent, un achat presque à l’aveugle, guidé exclusivement par la quatrième de couverture.
Le truc a apparemment été d’abord publié sous forme de feuilleton sur le net, un format relativement rare.
Découvrez le fabuleux et néanmoins sanglant périple des frères jumeaux Hegel et Manfred Grossbart, les premiers tueurs en série de l’Europe médiévale.
Voici leur histoire, triste mais véritable.
La triste histoire des frères Grossbart, c’est un road-trip fantastique pas très fin avec deux salopards comme anti-héros et ouvertement déconseillé aux âmes sensibles. Prometteur, donc.
Depuis le temps que j’en entends du bien, je ne m’étais jamais vraiment penchée dessus. Il aura finalement fallu que je tombe dessus en rayon, attirée par la tranche de papier vergé, pour que le résumé me happe et que je reparte avec 24h plus tard.
Mais une nuit, il aperçoit de la lumière à l’étage interdit de la grande serre. Que cache Trublius Lampfrois ? Et si cela avait un lien avec la légende du prince disparu ? Accompagné de la pétillante Tallis, le garçon n’est pas au bout de ses surprises…
Comment, après avoir lu le résumé, vous êtes encore là au lieu d’être déjà plongés dans ce livre ?!
Vous l’aurez compris, Le secret du prince disparu est l’autre coup de cœur du mois. Parce que de la fantasy jeunesse, ayant pour thème la botanique, dans une ambiance à mi-chemin entre le conte de fées et les serres de Poudlard, on ne voit pas ça tous les jours.
C’est une critique sur Babelio qui m’a donné envie de m’y intéresser. Vous l’aurez compris, le résumé et la couverture, merveilleuse, ont fait le reste. Alors certes, c’est un roman (très) jeunesse ; 150 pages facturées 13 euros, c’est court ; et il n’y a pas d’extrait disponible, mais est-ce pour autant rébarbatif ? Non, pas au vu de l’originalité de l’œuvre !
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Résumé éditeur du tome 1 :
Forcé de fuir pour éviter l’étreinte fatale d’une lamie, la muse légendaire qu’il a éveillée sans le savoir, Crawford s’engage dans un périple épique à travers l’Europe, où le surnaturel se mêle à la réalité, la passion à l’horreur. Il croise sur son chemin Byron et Shelley, poètes maudits eux aussi envoûtés par la tentatrice. Capable d’inspirer les plus beaux vers, celle-ci est aussi d’une jalousie mortelle, et n’hésitera pas à balayer tous les obstacles la séparant de l’homme qu’elle a choisi…
Comme beaucoup d’autres achats précédents, Le poids de son regard m’a séduit.e via une des compilations d’extraits de Bragelonne, plus particulièrement via son ambiance, aussi envoûtante qu’oppressante, et n’effleurant pourtant même pas encore le plot dévoilé par le résumé !
Chaque ouvrage peut se lire indépendamment de l’autre, cependant, pour qui prévoirait de lire les deux, mieux vaut les parcourir dans l’ordre chronologique.
Juste la suite de la série de paranormal romance sauce steampunk de Bec McMaster.
Plus que deux tomes avant la fin de la série en France, à moins que l’on aie aussi le spin-off.
Quant au 1,5, s’il a été traduit, il n’est pas disponible en version papier…
Et voilà, le tome 6 tant attendu en format poche, qui vient finalement clore la série. Le moins qu’on puisse dire, c’est que PKJ aura pris son temps…
Derrière ce résumé-facepalm, honnêtement, même s’il y a de très jolies planches, il y en a aussi d’autres pas folichonnes dignes de la collection Art thérapie d’Hachette. Et il faut aimer les gros motifs pas forcément très détaillés. Bref, sympa dans son genre, mais sans plus.
… pas d’arrivage, trois photoshoots, dont deux de Piko (dont j’ai encore retouché la wig entre les deux, mais cette fois c’est bon, c’est parfait, j’y touche plus !) et un d’Elf (idem, mais la bataille contre ses tifs n’est hélas pas finie).
Et comme je suis toujours un boulet, sur le seul photoshoot potable, c’est >la mauvaise photo qui a été uploadée<... (La bonne est ci-dessous)
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