Bilan d’Août 2021
Posted By /*php the_author_posts_link(); */?>Svet Mori le 2 septembre 2021
Bonjour tout le monde ! J’espère que vous avez eu un été potable car, de mon côté, le mois a été merdique quasiment de A à Z. Je ne veux même plus entendre parler de ces vacances intégralement pourries dont le souvenir, sans exagérer, suffit à me coller la nausée. Depuis, je suis un peu passé en mode self-care, même si c’est pas évident.
Il y a tout de même eu une chouette sortie au Grand Blottereau, dont je n’ai pas encore trié toutes les photos. Mais vous retrouverez en fin d’article le shooting réalisé sur place de Dashu, ma figma Terracotta.
Côté écriture, LDdVdlR avance toujours doucement. Le premier cahier est fini et le second entamé.
… Bon, et si on parlait un peu de livres ?
Je n’avais pas prévu de lire autant ce mois-ci, mais les circonstances ont fait que… Avec huit critiques, on reste dans la moyenne. La variété est au rendez-vous avec de la romance, de la blanche, du fantastique…
Pas vraiment de mauvaise lecture ce mois-ci, mais certaines meilleures que d’autres. Le recueil Déconfinez-moi ! décroche la première place !
Déconfinez-moi ! (anthologie) (voir ci-dessous)
Et si Napoléon… (anthologie) (voir ci-dessous)
La bonne fortune de Monsieur Ma
Le bébé de Narabie
Le club des veuves qui aimaient la littérature érotique
Moi, chevalier d’Eon, espionne du roi
[VO] The Shimmer (voir ci-dessous)
PKJ n’ayant pas posté de grille de défis, j’ai à nouveau fait mon petit truc dans mon coin avec une table random et fini avec un score de 16/25. Je m’étais mis moins d’items à valider en pensant que je ne lirais pas beaucoup pendant les vacances… si j’avais su… -_-
En principe qui dit mois pair dit petit loot. En pratique, je n’ai pas été aussi raisonnable qu’il l’aurait fallu. Bon, certes, là-dedans il y a les Lupin mensuels et deux précos, les imprévus des vacances m’ont poussé à acheter « en urgence » pour pouvoir m’occuper… mais il y a aussi quelques craquages x)
When a rogue cargo freighter strikes an oil tanker in the Detroit River, the oil spill is the worst marine disaster in years. Dirk Pitt’s NUMA team lead the clean-up operation, with the help of new green tech firm, BioRem.
But when one of NUMA’s best divers dies suspiciously while working on the wreck, Pitt fears there’s more to BioRem than simply saving the environment.
Discovering a trail of unexplained deaths which appear to be linked to BioRem’s sites around the world, Pitt unravels a mystery from our past that could jeopardise mankind’s future.
But someone is determined to make sure Pitt and his associates don’t survive to learn the truth…
Je prends toujours un Cussler quand je voyage. Bon, cette fois-ci, je me le suis fait expédier, c’est presque pareil.
Un spin-off de Jonathan Strange & Mr Norrell, pour replonger sans affronter le pavé.
Une série qui était passée sous mes radars parce que non parue aux US. Le tome 1, devenu introuvable en neuf, a été offert par le magazine « Nous Deux ».
… ne me restait donc plus qu’à commander le tome 2…
… et le tome 3 qui, eux, étaient encore dispo.
Dégotté à la gare de Lyon Part-Dieu. Sorti il y a des plombes en VO, avant que je commence à fouiller dans le catalogue.
A high-speed police chase kicks Sergeant Jack Redding of the Florida Highway Patrol and his new trainee, Julie Karras, into a shoot-out that ends with one teenage girl dead, another in cuffs and the driver of the SUV fleeing into the Intracoastal Waterway. Redding stays on the hunt, driven by the trace memory that he knows that running woman — and he does, because his grandfather, a cop in Jacksonville, was hunting the same woman in 1957.
Redding and his partner, Pandora Jansson, pursue a seductive serial killer who can ride The Shimmer across decades. The trail cuts from modern-day Jacksonville to Mafia-ruled St. Augustine in 1957, then to the pre — World War I French Quarter of New Orleans. The stakes turn brutal when Redding, whose wife and child died in a crash the previous Christmas Eve, faces a terrible choice : help his grandfather catch the killer, or change time itself and try to save his wife and child.
Traînait dans ma wishlist depuis sa sortie. Comme il était à petit prix, j’ai enfin craqué.
La jeune reine Marikani n’est pas insensible à leur sort, mais elle a d’autres soucis. De retour d’exil, elle espère rallier la cité d’Harabec et reprendre le trône dont on l’a écartée. Malgré tout son orgueil, elle aura bien besoin de l’aide d’Arekh, un galérien cynique et brutal dont elle a sauvé la vie.
Ils n’ont rien en commun. Leur rencontre va pourtant changer le destin de toute une civilisation, bien au-delà de tout ce qu’ils pouvaient imaginer.
Ceci est l’histoire d’une femme indomptable, de ceux qui l’ont aimée et de ceux qui l’ont trahie. C’est l’histoire d’une révolution.
Bon alors attention, c’est vendu comme une romance fantasy mais ça n’en est pas une et surtout, ça finit mal. J’aurais aimé le savoir avant d’acheter.
Né le 15 août 1769 à Ajaccio et mort le 5 mai 1821 à Sainte-Hélène, Napoléon est une figure contestée, mais incontournable, de l’histoire de France. Douze auteurs et une autrice (les femmes ne lui ont pas pardonné leur statut d’éternelle mineure inscrit dans le Code civil !) ont donc relevé un défi digne du bicentenaire : raconter des histoires alternatives à celle que nous connaissons, qu’il s’agisse d’un Empire qui se survit un temps (« La Nouvelle campagne de Russie », « Crassus et Auguste », « Tout se distille », « Implacable Clio ») ou d’un songe qui passe (« L’Horatius Coclès du Tyrol », « Le dernier rêve de Napoléon », « Cent-Jours sans lui », « Dernier soleil »).
Adepte des armes de destruction massive (« Au Service Secret de l’Empereur », « La Dynamique de la révolution »), mais aussi pharaon d’Égypte (« Mémorial de Philæ », fan de rencontre du troisième type (« L’Empereur d’un autre monde ») ou défenseur des droits humains (« Rêves d’égalité »), Napoléon est vraiment, grâce à la fine fleur de l’uchronie, dans tous ses états !
M’a tapé dans l’œil dès que je l’ai vu. Les premières critiques m’ont convaincu… la lecture, beaucoup moins. Peu de variété dans les textes, pas assez de fantaisie, à deux-trois exceptions près… Il y avait pourtant matière, mais presque personne n’a osé.
En mars 2020, le confinement est officiellement décrété en France. Durant plusieurs mois, notre appartement, notre maison, nos quatre murs sont notre unique environnement. Nos plantes, nos animaux de compagnie et autres espèces étranges que sont nos enfants, maris, conjoints, parents, voisins ou encore colocs deviennent quant à eux nos seuls compagnons. Et si la période était l’occasion, outre les chamailleries et tracas divers, de se retrouver, se découvrir, s’aimer plus encore ?
Celui-ci par contre, c’est une très bonne pioche, avec de petits coups de cœur dedans. Aucun texte ne ressemble à un autre, c’était chouette.
Vu le prix et la beauté du truc, impossible de résister.
Tout au long de ces rivages redessinés, au cœur d’États dévastés et fragilisés, de nouveaux Frères de la Côte sont apparus. Pirates d’une ère nouvelle, pilleurs, mercenaires en tous genres. Et l’un d’eux a laissé ce qui ressemble fort à une carte au trésor…
Une réécriture sauce post-apo de mon livre préféré ? Évidemment que je signe ! De toutes façons, c’est pas comme si j’allais passer à côté d’un livre avec des pirates sans l’acheter…
With Jaewoo an ocean away, there’s no use in dreaming of what could have been. But when Jenny and her mother move to Seoul to take care of her ailing grandmother, who does she meet at the elite arts academy she’s just been accepted to? Jaewoo.
Finding the dreamy stranger who swept you off your feet in your homeroom is one thing, but Jaewoo isn’t just any student. Turns out, Jaewoo is a member of one of the biggest K-pop bands in the world. And like most K-pop idols, Jaewoo is strictly forbidden from dating anyone.
When a relationship means not only jeopardizing her place at her dream music school but also endangering everything Jaewoo’s worked for, Jenny has to decide once and for all just how much she’s willing to risk for love.
ENFIN LA.
This is the one rule Tara Park made for herself and it has been working swimmingly, thank you very much. The occasional fling is fine, especially since she’s busy with Weldon Brewery. But when Seth Kim, temptation personified and her best friend’s new brother-in-law walks into her life, Tara might be willing to bend her golden rule… but only for four dates, which she agreed to after a few good rounds of beer – and a game of truth or dare.
Seth Kim can’t believe Tara agreed to his dating dare. He’s leaving for a new job in Paris in a month and a no-strings attached fling seemed like a nice little distraction for both… But while their dates have a tendency hit roadblocks, their non-dates and chance meetings are becoming frequent – and heated. What was supposed to be a fun little game is turning into something that neither of them is ready for.
But sometimes, the best things in life are the ones we never see coming.
Normalement le 3e et dernier tome sort l’an prochain. Jayci Lee a aussi dans ses cartons une nouvelle série pour Harlequin et J’AI HÂTE.
L’un portait la capote bleu-horizon du fantassin ; l’autre, un Sénégalais, ces vêtement de laine beige, à large culotte et à veston cintré, dont on habille, depuis la guerre, les zouaves et les troupes d’Afrique. L’un n’avait plus qu’une jambe, la gauche ; l’autre, plus qu’un bras, le droit.
Encore une réception qui ne suit pas l’ordre initial prévu… L’éditeur n’avait vraiment pas prévu l’engouement pour l’abonnement !
Il se rejeta contre les fenêtres et contre les portes, saisit un chenet avec lequel il frappa le bois des battants, ou le mur de moellons. Gestes stériles ! C’étaient les mêmes que son père avait exécutés jadis, et il ne pouvait faire dans le bois des battants ou le moellon des murs que les mêmes éraflures, inefficaces et dérisoires.
« Ah ! maman Coralie, maman Coralie, dit-il en un cri de désespoir, c’est de ma faute. Dans quel abîme vous ai-je entraînée ! Mais c’est de la folie d’avoir voulu lutter seul. Il fallait demander le secours de ceux qui savent, qui ont l’habitude !… Non, j’ai cru que je pourrais… Pardonnez-moi, Coralie. »
… Du coup je les reçois un peu au pif…
« M. le préfet a convoqué pour cinq heures plusieurs personnes dont voici les noms. Vous les ferez attendre séparément, afin qu’elles ne puissent communiquer entre elles, et vous me donnerez leurs cartes. »
L’huissier sortit. Le secrétaire se dirigeait vers la petite porte qui donnait sur son cabinet, quand la porte principale fut rouverte et livra passage à un homme qui s’arrêta et s’appuya en chancelant contre le dossier d’un fauteuil.
… Et sans aucune logique chronologique…
« Vous êtes là, Rossigny ?
— Je suis là », fit une voix qui montait des massifs entassés au pied du château.
Se penchant un peu, elle vit un homme assez gros qui levait vers elle une figure épaisse, rouge, encadrée d’un collier de barbe trop blonde.
« Eh bien ? dit-il.
— Eh bien ! hier soir, grande discussion avec mon oncle et ma tante. Ils refusent décidément de signer la transaction dont mon notaire leur avait envoyé le projet et de me rendre la dot que mon mari a dissipée avant son internement.
— Votre oncle, qui avait voulu ce mariage, est pourtant responsable, d’après les termes du contrat.
— N’importe. Je vous dis qu’il refuse…
Le seul Arsène Lupin du mois pouvant se lire indépendamment.
Ethan Wate, who has been counting the months until he can escape from Gatlin, is haunted by dreams of a beautiful girl he has never met. When Lena moves into the town’s oldest and most infamous plantation, Ethan is inexplicably drawn to her and determined to uncover the connection between them.
In a town with no surprises, one secret could change everything.
Il y a quelques années, j’avais chopé la série d’occasion en VF, au format poche, en état correct mais dépareillés. En découvrant le coffret intégrale VO lors de mon retour à la bouquinerie après un an et demi d’absence, la décision s’est imposée direct.
… Je me sentais si mal au retour des vacances que j’ai craqué pour une doll qui squattait officieusement ma wishlist, mais que j’avais décrétée trop chère : la Na ! Na ! Na ! Surprise Rainbow Kitty.
Et vu comme je rame à trouver la Sasha Scratch, quelque chose me dit que j’ai bien fait de ne pas tergiverser indéfiniment pour celle-ci.
Elle a eu un shooting d’arrivée à l’arrache, rien qui vaille la peine d’être posté dans l’immédiat…
Mis à part ça, j’avais cousu un débardeur à Ethan pour les vacances mais ça s’est si mal passé là-bas que je n’ai même pas sorti sa boîte de mon sac.
Quelques jours après notre retour, on a été au parc du Grand Blottereau dans l’espoir de voir les lotus en fleur (ils l’étaient !!!♥), les carpes, et faire le shooting que j’avais en tête depuis le début pour Dashu. Et c’est une réussite !
Retrouvez cette photo sur MFC
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J’ai plus dessiné que prévu, étant donné que je m’ennuyais comme un rat mort x)
Les mûres ont été faites avec de la mûre écrasée, en attendant de recevoir LA palette d’aquarelle de mes rêves.
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