Bilan d’Août 2018, partie 1 – « généraliste »
Posted By /*php the_author_posts_link(); */?>Svet Mori le 31 août 2018
Si rarement les critiques du mois auront été aussi variées, on ne peut pas en dire autant des acquisitions… Si Juillet était « raisonnablement » consacré à la piraterie (la chasse au trésor livresque n’étant d’ailleurs pas tout à fait terminée, comme vous pourrez le découvrir ci-dessous), Août m’a carrément contraint à scinder le bilan du mois en deux ! Ce premier article « généraliste » sera donc suivi d’un autre plus thématique.
Un mois hyper prolifique avec de tout pour tout le monde : les deux volumes du chef d’œuvre des contes modernes, du fantastique, une série manga sur les courses de rallye, de la romance aussi bien historique que contemporaine, un polar africain et même de la sf !
Contes de la rue Broca, tome 2 – Le gentil petit diable et autres contes de la rue Broca (recueil)
Flat Out (manga)
L’empreinte du renard
La Société Protectrice des Monstres – Loup-garou contre dragon (voir ci-dessous)
Le troqueur d’âmes
Pax, tome 1 – Les ténèbres avancent
Prisonnière du cheikh
Son unique désir
Une nuit à Dubaï (voir ci-dessous)
S’il m’est déjà arrivé par le passé de scinder des articles en plusieurs parties afin de regrouper plusieurs mois, c’est bien la première fois que je me retrouve à devoir couper en deux le loot d’un seul et même mois ! Entre l’occasion et les petits prix, le record du mois dernier est déjà pulvérisé…
Vous pourrez en découvrir ci-dessous la première partie, avec le mix de genres habituel.
Vampirates traînait officieusement dans ma whishoppinglist depuis que j’avais vu les trois premiers tomes en VF à la bouquinerie, voilà de ça environ un an. A l’époque, j’avais aussitôt déchanté en apprenant que la série avait été avortée en France, puis en voyant le prix des tomes VO d’occasion.
MAIS en retournant jeter un œil après être tombé sur une paranormal romance utilisant la même recette, surprise ! Ce sont en fait les volumes *reliés* qui se monnaient à des sommes délirantes. Les paperback, eux, sont trouvables pour une quarantaine d’euros la série.
Bref, après avoir encore un peu hésité…
And then she saw the ship.
Néanmoins, la quête était loin d’être finie : lorsque les premiers livres sont arrivés, certains ne correspondaient pas à l’édition commandée… Et les vendeurs n’y étaient pour rien : l’éditeur n’a tout simplement pas modifié l’ISBN d’une édition à l’autre ! J’ai donc eu besoin d’en racheter deux pour avoir une collection uniforme.
Bref, si la série vous intéresse et que vous êtes maniaque, mieux vaut le savoir.
At the lumb of the city rises the Temple, in one of whose many cumbling spires resides a youthful angel, Dill, the last of his line. Descendant of the heroic battle-archons, though barely able to wield the great sword he has inherited, he lives a sheltered existence under the watchful eye of Presbyter Sypes, ruler of the Temple. Yet Dill has a destiny about to unfold – one that takes him down into the terrifying depths of the pit in a desperate quest to save the teeming city from total annihilation.
Dégotté à la librairie, dans une pile de bouquins VO qui était à part du rayon. L’ensemble des trucs sur cette étagère-là étaient en fait bradés pour quelques euros chaque, voire même moins que ça !
Du coup, la jolie tranche de Scar Night puis son résumé ont fait le job. A 3€, 0 raison de se priver !
Et peu à peu la stupéfaction la gagne. Car Alban — c’est ainsi qu’il se prénomme — sait presque tout d’elle. De son métier d’avocate. De son acharnement à défendre les causes les plus délicates. Et s’il s’est décidé ce soir à interrompre sa course, au risque de l’effrayer, c’est pour lui demander de plaider sa cause auprès des hommes. Les hommes qui l’accusent injustement de meurtre. Les hommes qu’il ne peut affronter, car s’il se fait prendre, il mourra. Lui, le dernier descendant d’une race ancienne qui se transforme en pierre au lever du soleil…
Repérés sur le site des éditions Harlequin, à l’origine pour compléter une commande de bouquins d’occasion. Une trilogie complète pour moins de 10€, c’est quand même tentant.
A la base, j’avais dit que je ne prendrais PAS Le pâtissier de mes rêves : un résumé niais comme tout, avec par dessus l’étiquette shôjo qui n’aide pas… Mais bon, les critiques étaient bonnes, le second et dernier tome sortira en Novembre… pourquoi pas ? En plus, ça parle de bouffe !
Mais il regrette bientôt sa curiosité. Prisonnier d’un vaisseau fantôme de sinistre réputation, le voici contraint de jouer une comédie macabre !
Aimablement suggéré par Amazon suite à mes recherches de couvs pour le loot du mois dernier. Donc, forcément…
Quand j’étais petit, il y avait à la maison une superbe édition de ce livre. Cependant, malgré mon avance, j’étais VRAIMENT jeune (5-6 ans peut-être), trop pour m’y attaquer.
Les années ont passé, je n’ai pas oublié ce bouquin, sans pour autant parvenir à remettre la main dessus (vraisemblablement volé et vendu par mon paternel, comme tant d’autres choses). Bref, après avoir cherché pendant des plombes au cours de ma razzia piratesque du mois dernier, je me suis résolu.e la mort dans l’âme à devoir en racheter un exemplaire. Idéalement, j’aurais bien aimé retrouver le même que celui de mon enfance, sauf que bien évidemment, je n’ai aucune idée de la version dont il s’agissait (et internet n’aide pas vraiment). Bref, j’ai fini par choisir parmi les vieilles éditions Folio selon la couverture qui me plaisait le plus.
She spoke the cantrip
The Hill opened…
Maddy Smith has always been an outsider. Born with a rusty-coloured rune on her hand – what the villagers call a ruinmark – she is scarred by this symbol of the old gods, a sign of magic.
And everyone knows that magic is dangerous. Except for Maddy, who actually thinks it’s rather fun. Until now. For suddenly her friend One-Eye, a rascally Outlander, wants her to open Red Horse Hill and descend into World Below – a world filled with goblins and far worse – to retrieve a relic of the old gods…
Dégotté à la bouquinerie. Je dois avoir un côté pie, dès qu’il y a un truc multichrome qui brille, il FAUT que j’aille voir ce que c’est. En l’occurrence, il n’y avait pas que la tranche, mais aussi toute la couverture d’incrustée comme ça.
Les incrustations multichrome en vidéo: pic.twitter.com/vuTSmOZ4NW
— Pois0n ✒ (@Svetlana_Mori) 4 août 2018
Bref, l’objet est magnifique et même s’il s’agit d’un tome 1 (ce qui n’est indiqué nulle part dedans), les reviews certifient qu’il peut tout à fait se lire comme one-shot.
Séraphe est l’une des dernières Voyageuses, un Corbeau-Mage, qu’un ancien soldat a sauvée in extremis. Ensemble, ils se sont construit une vie tranquille loin de tout danger. Séraphe se sent enfin libérée du fardeau de sa mission… Jusqu’au jour où sa destinée la rattrape brusquement…
Ça faisait très, très longtemps que j’avais repéré ce truc sur les rayonnages de l’Atalante, sans jamais craquer malgré le tarif attractif du truc. Faut dire que certaines critiques mitigées refroidissaient pas mal.
C’était sans compter sur mon habitude de ne jamais ressortir d’une librairie sans rien acheter. Cette fois-ci, je savais à moitié quoi choisir pour m’en tirer sans dépenser une blinde… :p
Mais à l’heure où magie et technologie se côtoient, et parfois s’affrontent, ses découvertes suscitent inquiétude et convoitise. Prêts à tout pour s’emparer les premiers de la puissance des sphinx, Traditionalistes et Techs font payer à Khephren le lourd tribut du savoir.
Tandis que le braconnage des sphinx prospère, la magie s’amenuise… Surgit alors du désert une aide inespérée : les envoyés des dieux marchent de nouveau parmi les hommes.
En fouillant dans la rubrique « soldes » du site de la Fnac.
J’ai hésité (11€50, même si le truc en vaut 23 à l’origine, ça reste de quoi prendre un paquet de trucs en occase à la place), puis le fait d’avoir été raisonnable lors de la sortie bouquinerie-Atalante m’ont incité.e à faire confiance aux critiques et à céder à l’attrait de son originalité.
Dégotté à la bouquinerie pour peanuts. Le résumé donnait envie.
– J’en doute. De toute façon, je ne leur pardonnerai jamais l’indifférence qu’ils ont témoignée à ma mère.
– Voyons, elle s’est enfuie avec votre père !
– Est-ce un crime ? répliqua vivement Tatika. Mes parents s’aimaient. Les Russes ne sont pas dépourvus d’émotion au point de ne pas comprendre ce qu’est l’amour !
– Et vous, le comprenez-vous ?
Le début était franchement pas mal, bien qu’il faille attendre la moitié du livre avant que Tatika ne parte pour l’Écosse. Et là, tout se casse la figure : mystère à peine survolé qui se résout toute seule, romance fade et méga-mièvre… Une vraie déception T_T
Une jolie romance contemporaine entre expats. C’est mignon, pas très compliqué, pas précipité non plus et relativement crédible.
Sans répondre, elle lui tendit son téléphone.
– Je vois… C’est pire que ce que j’imaginais.
Il fit défiler les photos. L’une les montrait main dans la main dans un ascenseur vitré. Sur une autre, ils apparaissaient étroitement enlacés, s’embrassant, devant la grande baie vitrée de la suite. Seigneur, la passion de leur étreinte ne laissait planer aucun doute ! La photo devait avoir été prise depuis le toit d’une tour adjacente. Le cliché figurait parmi d’autres illustrant la descente de police, l’arrestation des filles, la fuite effrénée des clients.
– Heureusement, aucune photo de nous n’a été prise dans la suite où se tenait la soirée, annonça Danny.
Bref, si à la base seul le cadre m’a fait craquer, je ne regrette pas du tout de m’être laissé.e tenter.
Bouleversée, elle se lance alors dans une enquête qui la conduit à La Nouvelle-Orléans. Et sur place, elle ne tarde pas à découvrir un lien effrayant entre le meurtre récent de la fille d’un certain Romain Fornier et le kidnapping de sa petite sœur.
Prête à tout pour découvrir la vérité, Jasmine prend contact avec Romain Fornier, seul capable de l’aider à démasquer le criminel. Elle se heurte alors à un homme mystérieux, muré dans le chagrin et vivant dans le bayou comme un ermite. Un homme qu’elle va devoir convaincre de l’aider à affronter le défi que leur a lancé le tueur : « Arrêtez-moi. »
Bon, vous me connaissez depuis le temps, suffit de mettre le mot « bayou » quelque part et hop, j’achète. Alors, d’occasion…
Autant l’enrobage bling-bling, bof, autant le cadre donne quand même envie. Puis c’était à moins de 2€.
… Et il faut avouer que les premières lignes sont priceless :
… Au final, on a frôlé le coup de cœur. Frôlé seulement parce que la seconde moitié s’avère moins bonne que le première absolument géniale, mais il n’en reste pas moins l’une des meilleurs Harlequin que j’ai pu lire jusque là (et de très loin le meilleur Azur).
Assis sur le canapé à côté d’elle, Donovan, qui répondait à un e-mail de son rédacteur en chef, leva le nez de son téléphone :
– Tu n’as besoin que des cinq boutons du haut, grosso modo.
– Alors, à quoi servent les douze mille autres ?
Je l’avais repéré à la bouquinerie il y a un moment, mais en découvrant qu’il s’agissait du premier tome d’une série (dont le dernier volume se monnaie juste une FORTUNE), j’ai longuement hésité… Puis zut, vu ce qu’il coûtait, j’ai décidé de prendre le risque.
Bien m’en a pris, parce que non seulement il peut se lire en one-shot (l’intrigue du tome étant bouclée à la fin de celui-ci), mais en plus c’est *vachement bien*.
Donc, en allant vendre quelques trucs et récupérer « Loup-garou contre dragon », j’ai repéré une pile de romances historiques sur le comptoir, tout juste revendue, même pas encore triée. Évidemment, je n’ai pas pu m’empêcher de jeter un œil aux résumés… Là-dessus, le vendeur a dit que si je les voulais, il n’y avait pas de problème, il pouvait déjà me les vendre. Du coup, comme effectivement certains m’avaient tapé dans l’œil…
… je les ai pris. D’autant qu’ils étaient en très bon état.
Avril soon discovers that on the Kester Estate nothing is as it seems. Creatures that belong in dreams or in nightmares emerge after dark to prowl the grounds, and hidden in the heart of the wood is something so important that people will kill, or die, for it. Ash and Michael become locked in a deadly battle for the Wildwood – and for Avril herself.
Dans le lot des VO bradés de la librairie. Une paranormal romance épicée pour 1€, moi, je prends.
Mentionné sur le topic livres… du forum dollesque où je traîne xD C’était un peu le dernier endroit où je pensais découvrir un bouquin pirate de plus à récupérer, et pourtant…
Une paranormal romance au thème original, qui sort largement des sentiers battus, et en bonus dans un cadre de rêve. Que demander de plus ?
Au final, c’est plus un thriller fantastique axé autour d’une romance qu’autre chose, et c’est foutrement bon d’un bout à l’autre ! Le coup de cœur n’est vraiment pas passé loin ; si vous voulez en savoir plus, la critique devrait sustenter votre curiosité !
– Corazón semble avoir beaucoup de légendes – déplaisantes, pour la plupart. Il faut vraiment être désespéré pour en arriver là.
– Désespéré ou très amoureux, répondit Sylvester.
Alwynn est rongée par le doute. A-t-elle bien fait de sauver cet homme retrouvé sur la plage après la terrible tempête qui a sévi la veille ? Et de lui dénicher un abri dans le plus grand secret ? Si les autorités apprenaient qu’elle soigne un étranger, elle le paierait très cher ! Depuis que les hommes du Nord ont décimé la région, tous les rescapés venus de la mer doivent être exécutés. Mais Alwynn ne peut se résoudre à donner l’alerte. Valdar ne peut pas être l’une de ces brutes sanguinaires venues pour les tuer : au contraire, il a juré de protéger le foyer qui l’a recueilli. Mais, pour une jeune veuve comme elle, s’exposer à un homme aussi puissant, vraisemblablement un guerrier, est très risqué. Peut-elle lui faire confiance ?
Eh oui, après les highlanders, j’ai fini par tomber aussi dans la romance historique version viking.
Jamais Anna n’a rencontré d’homme aussi mystérieux que Diego. Pourtant, même si elle brûle de connaître les raisons qui le poussent à l’abandonner chaque matin pour ne réapparaître qu’à la nuit, elle se refuse à l’interroger. Car elle aussi cache un terrible secret : elle n’a plus que quelques semaines à vivre et son amour pour Diego mourra bientôt. Avec elle…
La séduction de la nuit
Pour Vivi, chasser les vampires est plus qu’un métier : une passion. Jusqu’au jour elle rencontre Justin, un vampire très puissant qui vit sur l’île où elle a pris ses vacances. Amoureuse pour la première fois, Vivi refuse de penser à l’avenir. Sauf que ses supérieurs envoient des chasseurs pour traquer Justin, et Vivi, au désespoir, se retrouve partagée entre son devoir et son amour…
Le piège de l’aube
Un voyage en jet privé, une île paradisiaque, un maître des lieux séduisant et attentionné… Pour Patricia, le séjour qu’elle a gagné commence comme un rêve. Mais bientôt elle déchante. Car l’attitude de Roarke, son hôte, vient de changer à son égard. Comme s’il savait qui elle est réellement. Comme s’il connaissait le secret qui l’a contrainte autrefois à changer d’identité…
Repéré sur le site des éditions Harlequin. Les résumés des deux dernières histoires donnent plutôt envie !
Sinon, j’aurais jamais cru dire ça un jour d’une couv Harlequin, mais celle-ci est MAGNIFIQUE ♥.
… Je ne sais même plus comment je suis tombé là-dessus. Toujours est-il qu’un roman historique avec une romance et du pirate dedans, c’est achat immédiat.
When Master thief, Fin, is out of sight, everyone forgets he exists. He needs to find his mother – the one person who might remember him.
Schoolgirl, Marrill, boards a pirate ship in a car park and is carried off to another world. She needs to find her way home.
Fin and Marrill are on a wild adventure to find the Map to Everywhere, but can they escape the Oracle – a dark and powerful wizard who seeks the map to fulfil a terrifying prophecy ?
J’ai déjà parlé ici de La Carte des Mille Mondes, une de ces séries qui m’a over-hypé à mort… jusqu’à ce que les choses commencent à traîner. On aurait pu penser que l’annonce de la fin de la série, puis la sortie du dernier tome en VO auraient poussé Bayard à se sortir les doigts du cul, mais non. Si au début, il y avait un an entre la sortie d’origine et la VF, l’écart n’a cessé de se creuser, et le tome 3 prévu à la base pour Février est désormais repoussé à… Octobre. Sans déconner ?!
Bref, j’en ai eu ras-le-bol. Pas envie d’attendre encore trois ans pour avoir le droit de lire la fin. Donc j’ai fini par craquer.
Mais le PIRE, c’est quand à réception j’ai découvert que les versions originales… sont illustrées !
Donc en résumé, les frenchies attendent des plombes et paient deux fois plus cher (bon ok, le coût de la traduction, mais quand même) pour une « inferior version ».
Bilan, si j’avais prévu de prendre la VO de plus ou moins longue date, je n’ai plus du tout la moindre envie d’acheter EN PLUS la VF pour soutenir la série comme j’en avais originellement l’intention. Quand on est pris pour des cons…
Après la petite pause estivale, c’est reparti. Ne manquent plus que les trois derniers tomes, ça passe vite !
… Ceci dit, à ce stade, trop tard pour sauver la série. Désherbée en Juillet 2024.
Bon alors on va être honnête, j’ai rien foutu. Mais alors vraiment que dalle. J’avais ni le moral, ni la tête à ça. Une photo prise comme ça parce que j’ai trouvé joli les jeux de lumière sur les feuilles de mon chamaedora, la photo « regarde Twitter j’ai bricolé un truc » et un cliché plus « souvenir » qu’autre chose d’un impressionnant crépuscule nuageux.
… J’ai ENFIN reçu la facture pour la Azone précommandée fin Décembre. Ce matin. Jusqu’au bout, j’ai eu peur qu’elle soit ENCORE repoussée -_-
En toute franchise, je commence à en avoir sérieusement ras-le-c** d’Azone, de leur manie à repousser des sorties déjà bien à la bourre pour en insérer d’autres pas prévues à la dernière minute, des prix qui gonflent alors que la qualité des fullsets (fringues + chaussures + accessoires) a diminué de façon flagrante sur les deux dernières années… Bref, je renonce de plus en plus souvent devant leurs trucs (oui, même la réédition de la tavernière, c’est vous dire le degré d’agacement), mettre le réveil à 4h du mat’ pour une guerre de clic ne m’amuse plus du tout et a même un effet dissuasif, et j’ai plus envie d’avoir mon budget pris en otage pour une fourchette de 4 à 6 mois « parce qu’ils ne sont pas foutus de prendre leurs retards systématiques en compte ».
Alors pour l’instant je guette encore le Lil’fairy albinos et les jumelles de Re:Zero au 1/6 (plus jolies que les versions 1/3 et surtout plus abordables pour mon portefeuille), mais après ça… je sais pas. Le budget livres a pris le dessus depuis bientôt trois ans ; je ne dis pas arrêter totalement (je crois encore aux coups de cœur), mais au moins me concentrer sur ce qui est déjà là (et souvent à moitié à oilp).
Bon, mis à part ça, la nouvelle payée en fin de mois dernier est arrivée et elle est toute mignonne (même si le corps Cu-poche est un peu spécial à manipuler) :
En toute logique, elle a eu droit à son photoshoot de bienvenue. En début de mois, pendant la canicule, j’ai aussi voulu profiter de la lumière pour photographier Itsuki, mais impossible de laisser la doll dehors plus de 30 secondes d’affilée…
… Pour finir, j’ai sorti Axel de sa boîte. Si, si. Bon, pour faire une fois de plus des photos moches, à moitié floues et avec du bordel derrière, mais bon… L’important, c’est que j’aime toujours autant ma bestiole du désert ♥
Axel – 2018.08.17 by Poison, sur Flickr
Commentaires
2 commentaires sur “Bilan d’Août 2018, partie 1 – « généraliste »”
Poster un commentaire
Avertissement: La modération des commentaires est actuellement activée et votre message doit être approuvée manuellement avant d'apparaître sur le site.
Te lire parler de livres me donne toujours autant envie de lire à mon tour! Et les dolls sont superbes <3
Je suis captivée par la couverture de Runemarks, quel beau livre. En plus le résumé a l’air pas mal !!
Et j’avoue que je suis un peu étrangère au monde des dolls, mais Axel, avec la crinière rousse et des yeux à tomber par terre … wow wow :p