Bilan de Juillet 2018
Posted By /*php the_author_posts_link(); */?>Svet Mori le 31 juillet 2018
… Ça aurait dû être un petit article, sans beaucoup de critiques, ni d’achats, ni de photos. Bon, concernant ce dernier point, ce Juillet a effectivement été famélique. Par contre, en ce qui concerne les livres…
Un mois finalement assez chargé en critiques, même si entre manga, BD, loisirs créatifs et recueils, on ne pourra pas dire que j’ai beaucoup lu. Le seul « gros morceau » a été ce livre trouvé dans le hall de l’immeuble et entamé illico, puisque Dragon est également une nouvelle.
Contes des sages créoles
Dragon (voir ci-dessous)
Eternalis (voir ci-dessous)
La porte condamnée (recueil)
Le Livre de la Jungle (manga)
Petits chats – Le kit prêt à broder (loisirs créatifs)
« Oups, j’ai ptet un peu abusé… » Entre les craquages, les soldes, le code filé par un ami et l’occasion, ce mois de Juillet a, comme souvent en période estivale, été propice au shopping sauvage… Préparez-vous à ce qui sera très probablement le plus gros loot de l’année , et d’ores et déjà l’un des plus gros depuis les débuts du blog !
J’avais trouvé franchement sympathique L’affaire des coupeurs de têtes (critique >ici< ) du même auteur. Donc, en le trouvant dans le bac à soldes, j'ai embarqué L’affaire du renard sans hésiter une seconde.
Acheter la préquelle / le tome 1 sur Amazon
Il affirme qu’Anna est non seulement sa compagne, mais qu’elle est aussi une Omega d’une puissance rare… ce qui se révélera très utile pour traquer un loup-garou doté d’une magie si sombre qu’il pourrait menacer l’ensemble de la meute.
Craquer sur un tome 1 à petit prix en espérant pourvoir s’arrêter là, lire quelques critiques, puis le début, et comprendre que c’est même pas la peine d’essayer sans avoir lu… la préquelle. Bon, tant pis, vu le prix réduit du tome 1 on ne va pas trop grogner ; après tout, c’est ça que de ne pas avoir eu le temps de vraiment se renseigner avant d’acheter…
Ruby et quelques autres refusent cette fatalité et s’enfuient. Échapperont-ils à leurs poursuivants ? Et surtout, parviendront-ils à maîtriser leurs pouvoirs sans perdre leur âme ?
Dans un monde à la dérive, leur liberté fait peur. Pourtant, l’avenir est entre leur mains.
Série découverte grâce à la bande-annonce du film à venir, qui donne quand même bien envie. Du coup, malgré quelques craintes vis-à-vis de l’éditeur (La Martinière ayant déjà censuré les ACOTAR), j’ai craqué sans trop d’hésitation pour les livres.
Red est un orphelin adopté par une ancienne mercenaire issue de la pègre. Il est devenu un voleur et un escroc au talent inégalé.
Quand un chef de bande sanguinaire passe un marché avec les biomanciens pour contrôler les bas-fonds de la dangereuse cité de Laven, les destins de Hope et de Red se croisent. Et leur alliance improbable va faire autant d’étincelles que de dégâts…
Vous le savez, d’habitude, j’attends que les séries soient parues dans leur intégralité avant d’acheter. Sauf que là, un ami m’avait filé un code de réduc’ et vu le prix des tomes, ça aurait été bête de ne pas en profiter puisque de toutes façons, j’aurais fini par les prendre. D’autant plus que ça commence à devenir ardu de trouver des romans sur le thème des pirates.
Acheter le tome 1 / le tome 2 sur Amazon
QUI ne connaît pas la sorcière du placard aux balais, celle que l’on fait sortir de sa cachette en chantant « Sorcière, sorcière, prends garde à ton derrière! » ?
Depuis le temps, je me devais donc de découvrir les autres nouvelles de Pierre Gripari.
Acheter le tome 1 / le tome 2 / le tome 3 / le tome 4 sur Amazon
Donc il existe des romans Pirates des Caraïbes. Bon, ok, dans la bibliothèque verte soit pour les 8-10 ans, mais c’est déjà cool.
La présente série est une préquelle aux films, mettant en scène un Jack Sparrow adolescent mais déjà doué pour s’attirer des ennuis.
La série compte pas moins de douze tomes en anglais. A voir si le quatrième tome possède une fin acceptable camouflant le statut de la série chez nous, ou non.
Il en existe une seconde en cinq volumes faisant suite à celle-ci et parue en France dans son intégralité (cherchez pas la logique), consacrée à une autre chasse au trésor. Enfin, il y en a bien évidemment une troisième reprenant l’histoire des films, sauf que le quatrième tome est introuvable à un prix décent.
Je n’exclus pas de compléter la collection *au moins* avec la seconde série, quant aux romans des films, je ne sais pas encore…
LE bouquin qui a déclenché ma frénésie d’achats piratesques de ce mois-ci. Ça me prend par périodes, comme c’est un thème que j’adore, j’ai tendance à vouloir compléter ma bibliothèque au maximum.
Bref, on ne dit pas merci au CM des éditions Harlequin qui a très bien su vendre le truc sur Twitter :
#Victoria
En route pour l’Angleterre, Virginia se fait kidnapper par Devlin O’Neill, un corsaire Irlandais aussi séduisant qu’implacable…
Embarquez dans la romance palpitante de @bjoyceauthor "L'héritière de Rosewood" ! Pour en savoir plus ➡ https://t.co/aJ3Pann2Mi pic.twitter.com/odeDT3FbWj— Harlequin France (@harlequinfrance) 20 mai 2018
Moi, je lis ça, c’est whishoppinglist direct. Et comme peu de temps après, un exemplaire d’occasion état neuf à petit prix est apparu sur Amazon…
Découvert dans les compilations d’extraits de Bragelonne il y a un sacré bail. J’ai profité de sa réédition au format poche pour le faire sortir de la to-remember-list officieuse (celle qui n’est que dans ma tête et dont le contenu est totalement oublié jusqu’à ce que les livres ressurgissent d’une façon ou d’une autre).
Malgré un début qui le laisse penser, Snowblind est moins un récit d’horreur que fantastique. En revanche, il s’agit clairement d’un très bon roman !
Un voyage bouleversant dans l’univers du désir féminin, où l’érotisme se révèle une voie vers l’amour de l’autre.
Dégotté chez Durance pendant que ma mère regardait autre chose. Donc c’est de sa faute ! xD
Le titre m’a attiré.e (surtout en pleine écriture d’Après la fin du monde, où le love interest est escort-boy) et le résumé a achevé de me convaincre.
Alors attention, à ne clairement pas mettre entre toutes les mains, c’est bien évidemment érotique et cru (mais pas vulgaire), sans pour autant se vouloir émoustillant (oui, certaines clientes de Ryô sont VRAIMENT très âgées). Du sexe oui, mais pas pour divertir.
Xandra Vardan, fille d’un vampire et d’une courtisane, est membre de l’élite de la Garde royale. Mais quand sa sœur est portée disparue, Xandra tombe sur un secret qui pourrait renverser l’Empire… et lui coûter la vie. Que se passe-t-il, vraiment, à l’asile psychiatrique de Bedlam ?
Les bacs à soldes de ma Fnac étaient si merdiques pour la troisième fois d’affilée que j’ai religieusement parcouru le site, en désespoir de cause. Là encore, sans trouver grand-chose de folichon (ou alors en grand format à seulement -20%), hormis deux trucs. Dont God Save the Queen, à 3€38 au lieu de 17… Du steampunk, des vampires, une ambiance rappelant vaguement Le protectorat de l’ombrelle… Zéro raison de ne pas craquer !
Les moustiques, la chaleur, les dangers de la jungle… c’est tout ce dont elle a horreur, elle, la Parisienne un brin snobinarde ! Mais le pire est à venir : son guide, William, mâle alpha et charmeur invétéré, s’avère être le moins gentleman des hommes. Elle le déteste tout autant qu’il l’attire car, sous ses airs frustes et séducteurs, se cache le plus sexy des amants. Diane succombera-t-elle ? Quitte à y perdre la raison ?
Achat casse-gueule s’il en est, sur la base des critiques positives et non de ma première impression, l’héroïne étant une pure « pétasse superficielle », le genre à me filer de l’urticaire mental en deux secondes. Et en plus, elle ne sait pas ce qu’elle veut. D’un autre côté, l’aspect quiproquo sauve le truc et les commentaires piquants de l’un et de l’autre sont, il faut l’avouer, super drôles. Bref, j’ai eu envie de tenter quand même, dans tous les cas, j’aurai sans doute déjà lu pire.
Le régime politique vient de changer.
Le dérèglement climatique global a enfanté une mousson qui n’en finit plus.
Dans la mégapole thaïlandaise pour partie inondée, un assassin implacable s’attaque à la facette la plus sordide du tourisme sexuel. Pour le lieutenant Tannhäuser Ruedpokanon, chargé de mettre fin aux agissements de ce qui semble bien être un tueur en série, la chasse à l’homme peut commencer. Mais celui que la presse appelle Dragon, en référence à la carte de visite qu’il laisse sur chacune de ses victimes, est-il seulement un homme ?
J’ai dit plus haut que les bacs de déstock n’étaient pas folichons pour la 3e fois de suite, hein ? Oui, ben ça, c’était lors des deux premières semaines. Il a suffi que j’y jette un œil mi-Juillet au cas où histoire de ne pas revenir bredouille d’une mission course pour que… patatras ! L’un des bacs s’avère plein à ras bord de SFFF et de polars. S’en est ensuivi une jouissive razzia sans limites de trucs à -40%. Mais, genre, sans limites, façon shopping sauvage à la Wasabi, pour ceux qui connaissent le film. Et ça fait un bien fouuuuu au moral d’entasser des bouquins dans ses bras en pouvant se foutre de la facture x)
Certaines destinations sont à même de me faire craquer direct, donc un polar mâtiné de fantastique dans une Thaïlande légèrement futuriste, c’est un gros OUI.
Ils s’enfoncent, la peur au ventre mais déterminés, dans les gigantesques forêts. Ils connaissent leur mission : elle pue le sang et la mort. Elle a le son des chairs qui se déchirent et des os qui rompent, des incantations vaudou, des balles qui sifflent et des molosses qui aboient. Au loin, les premiers hurlements se font entendre. La chasse commence… Une chasse qui doit réussir quel qu’en soit le prix…
Déjà plus ou moins repéré sur les étagères de mon rayon favori, il y a longtemps. Mais bon, c’est du Mnémos Hélios, donc pas donné du tout, et même si le résumé était intriguant, il fallait bien les fameux -40% pour me convaincre de craquer.
Après le Cussler, le « truc figurant sur ma wishlist officieuse » ! Repéré en rayon, jamais ajouté à la wishoppinglist officielle (sûrement par pur oubli d’ailleurs, je photographie tellement de trucs…), là encore ça a été une très bonne surprise de le découvrir soldé. Et hop, sur la pile! ♥
Un vrai paradis. Du soleil, la mer à perte de vue, des îles, des nourritures marines à profusion. Les castes des Détourneurs, des Voyous, des Canailles et des Publicistes se sont adaptées sans peine à cet environnement enchanteur.
Mais tout paradis a ses démons. Les Kragens sont des monstres marins semi-intelligents qui dévorent volontiers les réserves des humains. Le plus redoutable d’entre eux est le Roi Kragen, qui protège les humains s’ils le nourrissent. Un protecteur de plus en plus avide à mesure qu’il grossit.
Mais comment s’en débarrasser sans armes et sur un monde liquide où le métal est introuvable ?
Celui-là, je ne l’ai pas pris sur le coup lors de ma folle razzia. Le résumé était intriguant, mais le côté SF m’a freiné.e. J’ignore quel est mon problème avec la SF, c’est un genre qui ne me donne vraiment pas envie et dont je me méfie énormément, encore davantage que la littérature blanche (à laquelle je dois pourtant des déconvenues quasi-systématiques). Bref, c’est pas logique, mais c’est comme ça.
Ceci dit, j’ai pris le temps de me renseigner dessus, il semblait avoir conquis pas mal de lecteurs, n’être pas trop connoté « sf », puis à 4€14, c’était pas un gros risque, non ? Bref, il a été récupéré le lendemain.
Et, éclairée par quelques rares rayons de lune, une masse sombre et inquiétante : un sinistre château que même les oiseaux évitent.
Depuis sa plus tendre enfance, Ashlyn Darrow est harcelée par des voix surgies du passé. Des voix qui lui restituent inlassablement d’anciennes conversations et qui, jour après jour, ont transformé sa vie en cauchemar. Prête à tout pour se libérer de ce don maléfique, elle se rend à Budapest pour rencontrer des spécialistes en la matière, des êtres étranges dotés, dit-on, de singuliers pouvoirs.
Mais à peine arrivée dans l’antique château perdu au cœur de la forêt où ils mènent leurs travaux, elle tombe éperdument amoureuse de Maddox, le plus dangereux d’entre eux – un homme aussi séduisant qu’inquiétant que ses pairs disent immortel et habité d’un dangereux démon. Et peu à peu, au mépris de la raison et de sa sécurité, incapable de résister à la fièvre dévorante qui la pousse vers cet homme maudit, Ashlyn se laisse emporter par la passion. Une passion qui la rapproche dangereusement de la terrible preuve d’amour qu’elle va devoir fournir.
Traînait dans ma wishlist depuis une éternité. Comme le mois s’annonçait assez creux, j’ai cessé de tergiverser et l’ai ENFIN commandé… Bon finalement le mois n’a pas été creux du tout mais ceci est une autre histoire.
Les coutumes cajun, créole et anglo-saxonne se mélangent dans cette trilogie, entre fête typique et bayou mystérieux.
Bon, depuis le temps, vous connaissez l’attrait particulier que les bayous exercent sur moi. Donc couplé à de l’urban fantasy, c’est un craquage immédiat.
En récupérant Dragon, le nom de l’auteur sur la couverture me disait quelque chose… Ah, mais oui, ce truc, là, repéré il y a quelques mois sur les étagères de L’Atalante…
Du coup, ayant entamé le roman précité peu de temps après son acquisition et ayant directement accroché à l’ambiance, je me suis empressé.e de récupérer La Cité des Crânes sans attendre.
Des Antilles aux côtes africaines, des goélettes battant pavillon noir aux négriers sordides et puants, suivons Nancy et son inséparable compagne Minerva qui, dans un monde régi par la recherche du pouvoir et les préjugés raciaux, feront le rude apprentissage de la liberté.
Du coup, quelques jours après avoir récupéré « L’héritière de Rosewood », la prévisible boulimie piratesque a frappé. Direction Babelio, recherche sur le tag pirate. Ne restait plus qu’à trier tout ce bazar (plus de 3000 livres répertoriés, parmi lesquels un bon paquet de doublons, d’essais et de vieux trucs totalement introuvables. Au passage, Abyss figure en première page des résultats et ça fait plaiz’ ♥).
Alors oui, ce n’est pas la version avec le super belle couverture. Celle-ci fait plus jeunesse et moins sérieux alors qu’il s’agit bien d’un bouquin young adult. Mais vu la différence de prix entre les occasions des deux version et que c’est quand même le contenu qui compte, la raison a pris le dessus.
C’est l’âge d’or de la piraterie et du Nouveau monde. Attiré par les promesses de fortune de ces temps troublés, Edward Kenway, fils cabochard d’un marchand de laine, rêve de prendre la mer en quête de gloire.
Le jour où la chaumière familiale est attaquée, il juge le moment opportun pour fuir sa vie de misère. Très vite, il devient l’un des plus redoutables pirates de son temps.
Mais la convoitise, l’ambition et la traîtrise sévissent dans son sillage et, lorsque Kenway découvre l’existence d’un terrible complot qui menace tout ce qui lui est cher, la vengeance devient son nouveau but.
C’est ainsi qu il va se retrouver propulsé au cœur de la lutte séculaire qui oppose les Assassins et les Templiers.
Traînait dans la wishlist officieuse depuis longtemps. J’ai simplement profité du fameux code de réduc’ pour l’ajouter au panier.
À bord, Siri se lie d’amitié avec Fredrik, le cuisinier du navire. Mais l’équipage, persuadé que la fillette va leur porter malheur, l’abandonne lors de leur première escale. Bien que terrifiée, Siri est prête à tout pour retrouver sa sœur et se glisse clandestinement dans le canot de deux apprentis pirates…
Donc, ne trouvant plus grand-chose sur internet, j’ai décidé que pour une fois, il était grand temps d’aller en librairie pour me faire conseiller. Première vendeuse un peu perplexe devant ma recherche (« point >vade retro »), seconde vendeuse un peu désolée (la mode des pirates fonctionne par vagues et en ce moment, on est en plein dans le creux), troisième et quatrième vendeuses un peu embêtées (le collègue spécialiste fantasy est en vacances et les seuls trucs qu’ils auraient à proposer, ce sont les Alexander Kent chez Libretto). Bref, merci à Chéri pour avoir repéré le seul livre du magasin correspondant au thème, n’étant pas déjà à la maison et figurant en plus déjà dans ma to-remember-list.
J’avoue, ça m’emmerde un peu de filer des thunes à Oskar en sachant comment il traitent leurs auteurs. J’avais donc prévu de récupérer Jack Bright d’occasion, sauf que… quand l’occase revient plus cher que le neuf, les intérêts du porte-monnaie prennent le pas sur le boycott.
Entre les critiques négatives ou mitigées et les extraits franchement sympa, ce sont ces derniers qui ont fait pencher la balance. Il suffit de savoir à quoi s’attendre, la biographie de l’auteur donne direct le ton :
Un autre livre que la fille de Maureen ne lira pas.
Donc ceci tape dans le cru, le vulgaire et l’humour pipi-caca, et propose par conséquent une alternative totalement honorable aux romans trop historiques et trop sérieux ! \o/
Trouvé dans les bacs à soldes à -40%. Comme entretemps j’avais lu (et bien aimé) Dragon du même auteur, je n’ai pas hésité une seconde.
Encore un qui n’est plus dispo en neuf depuis longtemps. Mais bon, il est sorti il y a presque vingt ans…
Influencé par ses compagnons de bord, Williams tente de se faire une place au sein de l’équipage, pendant que la Marine Royale les poursuit et que le fanatique Capitaine Roberts entraîne son navire vers la récompense ultime – un mystérieux navire au trésor…
Lui aussi date d’une vingtaine d’années. La différence, c’est qu’on ne peut pas dire que les infos dessus abondent… Un achat presque à l’aveugle donc, mais d’occase pour pas grand-chose, ça aurait été dommage de se priver.
Moonfleet, lui, figurait dans ma wishoppinglist depuis très longtemps. Mais le prix des Libretto étant ce qu’il est, c’était d’occasion ou rien.
Bon, ben voilà, une série de terminée. Ça a été très vite et pour ça, on peut remercier Castelmore.
Ô JOIE.
EN-FIN.
Si vous vous souvenez, choper les quatre premiers tomes n’a déjà >pas été de tout repos<. Or, les mois passaient et le dernier n'arrivait toujours pas en papier... J'ai donc fini par renvoyer un message à Ines Johnson pour lui demander (sachant que ce n'est pas elle mais Jasmine Walt qui gère les versions papier). Dix jours plus tard, paf ! Le dernier tome en papier. J'ai jamais passé une commande aussi vite de toute ma vie xDDDDDD
Du coup, comme j'avais promis à Ines Johnson de faire une photo de la série complète le moment venu...
Nia Rivers Adventures by Poison, sur Flickr
Dégottés au magasin de beaux-arts. Tropiques figurait dans ma wishlist depuis une éternité mais était devenu introuvable. Autant dire que le voir offert pour l’achat de deux livres de la collection, sachant que dans le stock figurait Hawaï, également dans ma wishlist, a été une aubaine inespérée. ♥
proverbe haïtien
Les deux sont très chouettes et se complètent plutôt bien ! Hawaï est plus axé « vacances » et tropiques, « nature ».
Marcel Proust
Déjà plus ou moins repéré je-ne-sais-plus-où. Déjà que de base le truc était à petit prix, mais à -40%, même si l’exemplaire est un poil abîmé, on ne se pose même pas la question.
BON.
C’était chelou.
Mais alors, vraiment très, très chelou. Le genre de truc dont on se demande ce que l’auteur a fumé au moment de l’écrire.
Bref, malgré des idées sympa ici et là, j’ai pas aimé, mais alors pas du tout.
Ma réconciliation avec la SF, ce ne sera pas cette fois-ci.
Beyrouth, 2006. Mia a à peine le temps de faire connaissance avec sa mère Evelyn, archéologue émérite et passionnée, que celle-ci est enlevée sous ses yeux. Un antiquaire venait de lui remettre un codex orné d’un ouroboros – le serpent qui se mord la queue – et Evelyn avait compris la portée vitale d’une telle relique…
Entre mystères de l’Histoire et intrigues contemporaines, une femme se retrouve au milieu d’une conspiration dont la clé pourrait bien changer la face du monde…
Déposé par des voisins inconnus dans le hall de l’immeuble. Je ne lis jamais de thriller ésotérique, ça tombait bien, sortir des sentiers battus ne fait pas de mal de temps en temps ! xD
Bon, au final, le truc s’est avéré être assez moyen (ma critique en dit plus si le cœur vous en dit), et comme il ne bénéficiait du coup d’aucun « capital sympathie » dû à une quelconque subjectivité, ses défauts n’en sont que davantage ressortis…
… c’est pourquoi on a fini par le donner à une autre voisine qui, elle, est davantage friande de ce genre de récits et l’appréciera peut-être.
Ellen Covert vit dans un manoir victorien sujet à d’étranges manifestations : empreintes de pas mouillés, robe de mariée qui saigne,…
L’atmosphère se charge de mystère jusqu’au jour où le corps de son futur époux est retrouvé mort au matin de ses noces.
En dépit des conventions, Ellen enquête sur le mystère de la demeure et sur son entourage.
Dépourvue de droits, elle se heurte aux secrets de son père et à la mort mystérieuse d’une esclave.
Perdue entre intimes convictions et troubles, elle s’apercevra que le plus grand danger ne vient pas d’où elle pense…
Noces d’éternité figurait lui aussi dans le listing de soldes du site de la Fnac. Au début, je l’avais écarté à cause du rapport prix/nombre de pages… Jusqu’à ce qu’un ami me file un code de réduction. J’ai foncé illico voir s’il était toujours là, ce qui était le cas. ♥
Finalement, je n’ai pas apprécié ma lecture plus que ça et ne l’ai pas gardé.
… Il y a eu la traditionnelle photo annuelle du calliandra, qui a tellement grandi que l’option « macro dégueu au téléobjectif depuis la fenêtre » devient parfaitement valable (non, en vrai, ne le faites pas, c’est pas terrible) :
#photo Calliandra, version 2018. #photography #nature #flowers #CanonSX60HS
J'aime tellement cet arbre, dommage que sa floraison soit si courte 😭
(et oui, faire des macros dégueu au téléobjectif c'est concept)
Côté technique: F/6.3, 1/50s, ISO 250, 212mm pic.twitter.com/uCfQN2cOQC— Pois0n✒ (@Svetlana_Mori) 5 juillet 2018
Et en vrac, quelques photos de nature pas forcément réussies, un truc expérimental foireux avec les jeux de lumière sur mes Précieux (pour une fois que je ne les avais pas au bras)…
J’ai payé la Cu-Poche Alice de Kotobukiya à la toute fin du mois donc celle-ci devrait en toute logique faire partie du loot d’Août.
Rien n’est moins sûr en revanche pour la Jun Goto d’Azone, ENCORE repoussée…
Niveau photo, entre le NaNo et un manque global de motivation, je n’ai fait qu’un seul photoshoot. Au moins, ça a été uploadé aussitôt.
Commentaires
Poster un commentaire
Avertissement: La modération des commentaires est actuellement activée et votre message doit être approuvée manuellement avant d'apparaître sur le site.