Bilan de Juin 2018
Posted By /*php the_author_posts_link(); */?>Svet Mori le 30 juin 2018
Le NaNoWriMo d’été commence ce soir et à l’heure où j’écris ces lignes, je n’ai pas la moindre p*** d’idée de ce avec quoi y participer. Mais bon, ce n’est pas comme si celui de Juillet n’était pas le plus difficile… En plus, il fait chaud et Cerveau est encore un peu aux Pays-Bas. Defqon.1 aura en fait conditionné toutes mes lectures du mois, puisque je n’allais pas me lancer dans une saga en sachant devoir la mettre en pause pendant plusieurs jours.
Que ce soit au niveau des critiques ou des achats, la variété est de mise ce mois-ci. Polar, fantastique, fantasy, post-apo et même de la non-fiction (ce qui n’arrive pas souvent).
Côté photo, on a eu un début de mois exécrable qui ne s’y prêtait pas du tout et en l’absence d’arrivage dollesque, vous aurez surtout, sans surprise, des photos du festival.
Conte-moi la Bretagne (voir ci-dessous)
L’horreur de Dunwich
Lagos Lady
Love, Simon (voir ci-dessous)
Magie de pacotille
Tragédie au cœur de l’océan
Aaaah, Juin. Comme tous les ans, Bragelonne en a profité pour sortir sa sélection de 10 tomes à 10€. J’en avais pris 4 en 2016, 5 l’an passé… le total se monte à 6 cette année. Si on suit la logique, ce sera 7 l’an prochain. Mis à part ça, quelques précommandes, quelques occasions et autres petits prix, mais surtout beaucoup de craquages spontanés, et pas des poches. Pas raisonnable, mais tant pis.
Rien ne paraît lui promettre un destin héroïque. Or, lorsqu’elle découvre par hasard le complot qui pèse sur sa patrie, Terre d’Ange, elle n’a d’autre choix que de passer à l’action. Commence alors pour elle une aventure épique et déchirante, semée d’embûches, qu’il lui faudra mener jusqu’au bout pour sauver son peuple.
Initialement laissé sur le côté de ma sélection de cette année, le côté pavé et le petit prix de La Marque m’ont convaincu de lui offrir sa chance.
Il s’agit du tome 1 d’une trilogie, même s’il n’est pas vendu comme tel. #boulets
C’est dire tout l’espoir que représentent les quatre petits qui viennent de naître au plus profond d’une caverne dans les montagnes. Mais les nains y font vite irruption, semant mort et désespoir.
Se retrouvant seul, le jeune Auron, spécimen rare de dragon gris sans écailles, à l’instinct de survie sans limites, décide de partir en quête de ses semblables. Dans un monde dangereux peuplé d’elfes mercenaires et d’humains violents, c’est le début d’un long périple, qui lui permettra de découvrira sa véritable nature.
Celui-là n’était pas censé être pris vu qu’il s’agit d’un début de série. Mais ma mère m’a fait remarquer qu’il ne serait pas toujours dispo à ce prix-là (voire dispo tout court)… et a carrément encouragé le craquage. On aura tout vu xD
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Bad boy écorché par la vie, la justice le rattrape à l’aube de ses 18 ans. La sentence ? Un an de conditionnelle durant lequel il devra se tenir à carreau s’il ne veut pas finir en prison.
Il ne lui reste qu’une chance de se remettre dans le droit chemin et c’est dans une ultime famille d’accueil qu’elle va se jouer. Mais la rencontre avec Elena, la fille aînée de la famille risque de compliquer les choses.
J’avais déjà lu de jolies critiques positives sur cette série, du coup, après avoir vu passer une conversation sur Twitter m’ayant rappelé son existence, et sachant que la Fnac locale l’avait en stock, j’ai récupéré les deux tomes sans les faire passer par la case wishlist.
Whether it is her sharp, ironic gaze at the Gothic genre invoked by the adventures of Catherine Morland in Northanger Abbey ; the diffident and much put-upon Fanny Price struggling to cope with her emotions in Mansfield Park ; her delightfully paced comedy of manners and the machinations of the sisters Elinor and Marianne in Sense and Sensibility ; the quiet strength of Anne Elliot in Persuasion succeeding in a world designed to subjugate her very existence; and Emma – ‘a heroine whom no one but myself will like’ teased Austen – yet another irresistible character on fire with imagination and foresight. Indeed not unlike her renowned creator.
Jane Austen is as sure-footed in her steps through society’s whirlpools of convention and prosaic mores as she is in her sometimes restrained but ever precise and enduring prose.
La mère de Monsieur est géniale. Venue nous rendre visite au début du mois, quand elle a vu, à la librairie, que je lorgnais sur cette grosse intégrale VO à petit prix, elle me l’a offerte. Parce qu’Orgueil et Préjugés est son roman préféré.
C’est au royaume des Sept Tours que Thédric Tibert, étudiant en mal d’aventures, a choisi de vivre un raid Emotions fortes. Mais il n’était pas du tout prévu que le royaume des Sept Tours entrerait en guerre contre les forces de l’Immonde, empêchant tout retour des touristes sur Terre.
Thédric est alors emporté dans la tourmente d’un conflit inimaginable…
Craquage spontané à la bouquinerie. Ce n’est écrit nulle part qu’il s’agit d’un tome 1 de série (même si c’est pourtant bien le cas) ; on peut donc raisonnablement penser qu’il a été écrit comme one-shot avant que des suites voient le jour. On verra bien, quitte à le bouger de catégorie si besoin.
Trouvé d’occasion pour presque rien. J’avais bien aimé la duologie David Eliot du même auteur, donc je n’ai pas beaucoup hésité. A en croire les critiques, il s’agirait même du meilleur des livres d’Horowitz…
– Tu n’aimes pas le théâtre, rétorqua Tom.
– J’adore le théâtre ! J’y vais tout le temps.
– Oui, mais pour vider les poches des spectateurs. »
Verdict, j’ai jamais eu aussi chaud en lisant un livre se passant en Décembre, pourtant Londres au 16e siècle et décrit par Anthony Horowitz, ça refroidit grave. Du moins, quand le plus sexy bandit de grands chemins n’est pas dans les parages, parce que dans ce cas, vous avez chaud. Très chaud.
Mis à part le coup de cœur pour le perso en question, c’en est surtout un pour le livre, très bon de bout en bout et sans temps morts, malgré une lente (mais nécessaire) mise en place et une intrigue finalement assez prévisible. Mais le suspense, les persos, les péripéties… c’est du très bon, COUREZ LE LIRE!!!
Dans un monde dévasté par une guerre atomique, qui n’est plus que ruine et désolation où des rocs tombent du ciel, les chauve-souris ont l’envergure d’un Boeing et les compteurs Geiger sont bloqués dans le rouge, Tanner constitue l’ultime recours à l’épidémie mortelle qui ravage les survivants. À la tête d’un convoi de véhicules blindés, équipés de roquettes et canons et chargés de vaccins, il va devoir traverser le pays de la côte Ouest à la côte Est en empruntant la route 666, la route de l’enfer.
Parce que j’aime paaaas revenir d’une sortie les mains vides et que la couv’ super badass a attiré mon attention. Si elle vous fait penser à Mad Max, c’est normal : c’est ce livre-là qui a inspiré le tout premier film à l’époque.
Dans l’attente des renforts promis par sa hiérarchie, le colonel Cérès Orkatz – surnommée la Salamandre – peine à assurer l’ordre sur place, la faute à un vice-roi bien intentionné mais trop faible. Dans ce monde de jungles et de brume, les colons venus faire fortune s’épuisent et meurent à petit feu, même si certains au sein du régiment espèrent toujours découvrir la mythique cité de Tichgu, qui abriterait selon les légendes locales la fontaine de Jouvence.
Alors qu’une éclipse lunaire sans pareille approche, Cérès va devoir tenter d’assurer la survie de ses hommes, au mépris peut-être de ses allégeances…
Un craquage spontané, à cause du cadre et du résumé diablement alléchant. Premier contact avec la flintlock fantasy donc, un genre que je ne connaissais pas du tout.
Tous les bons magiciens s’appellent Harry, et Harry Dresden est le meilleur. Techniquement, c’est même le seul dans sa « catégorie » : lorsque la police de Chicago est sur une affaire qui la dépasse, c’est vers lui qu’elle se tourne. Car notre monde regorge de choses étranges et magiques… et la plupart ne s’entendent pas très bien avec les humains. La magie, ça vous flingue un gars en moins de deux !
Attention, comme Nightside l’an passé, ce tome ne fait que regrouper les premiers volumes d’une série avortée par l’éditeur français. Pourtant, il a été le premier « 10€ » cru 2018 rajouté à ma wishlist vu le thème du truc, qui rappelle aussi bien Kakurenbô que Les chroniques de l’étrange en passant, bien évidemment, par Nightside. Sans parler de la réputation de Jim Butcher…
Dans une Grande-Bretagne mise au ban de la communauté internationale, bombardée au hasard, qui n’est plus que ruines, de minuscules communautés survivent tant bien que mal en se cramponnant aux traditions ancestrales et aux mythes qui structurent leur identité.
C’est dans cette Angleterre à la fois terrifiante et magique que l’instituteur Fen Morris va entreprendre un voyage afin de sauver celle qu’il aime…
Là encore, un achat obligatoire de ce cru « 10€ » 2018. Vous me balancez un post-apo avec un résumé comme ça sous le nez, c’est wishlist direct, forcément.
Mais Dismas n’est-il pas lui-même porteur d’un secret qu’il ignore ? Au cours de son enquête, il est assailli par des manifestations paranormales : est-il en train de passer sous l’emprise des « Autres » ? En tout cas, il fera tout pour atteindre une révélation plus effroyable et choquante que tout ce que vous pouvez imaginer…
Pareil, avec celui-là, je ne sais pas trop à quoi m’attendre. Paradoxalement, si le résumé m’attire moins que celui de La fée des dents, que c’est « moins ma came », j’ai davantage confiance. Les critiques sont plus positives, en tout cas…
Blue, c’est un garçon que j’ai rencontré sur le Tumblr du lycée. On se dit tout, sauf notre nom. Je le croise peut-être tous les jours dans le couloir, mais je ne sais pas qui c’est. En fait, ça me plaît bien : je ne suis pas du tout pressé d’annoncer à tout le monde que je suis gay. Personne n’est au courant, à part lui, Blue…
… et aussi cette fouine de Martin Addison, qui a lu mes e-mails et menace de tout révéler.
Parce que j’avais envie de lire un truc qui fait du bien, puis surtout de découvrir le support d’origine avant de voir le film.
Finalement, Kana semble parvenir à tenir un rythme régulier pas trop lent !
Et une fin de série, une !
La couverture FR est pour une fois plus sympathique que la VO, le bordeaux collant mieux avec les deux premiers tomes que le orange ^^
Initialement commandé à la Fnac depuis Janvier, le tome est arrivé dans un état lamentable, à la limite de l’accordéon. Retour en magasin… Ah mais non, on ne peut plus vous le commander ! Il a donc fallu avoir recours à Amazon pour finalement le récupérer en bon état. Laborieux.
J’espère juste que la série est bien une duologie, du coup…
Pris pour l’anniversaire de ma mère, parce que c’est putain de CUTE et qu’elle adore les mignoncetés de ce genre. Puis bon, comme j’aime bien colorier aussi et que le prix était raisonnable, j’en ai pris un second pour moi.
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Oh, tiens, un artbook. Ça faisait… plus d’un an depuis le précédent. Mais bon, au fil des années, j’ai perdu intérêt à les accumuler, préférant consacrer le budget aux mangas, puis aux dolls, et enfin majoritairement aux romans. Ce qui ne m’interdit pas de craquer de temps à autre.
Bref, je suis fan, même si j’avais renoncé aux figurines sorties par Orchid Seed, d’une parce que j’ai également perdu tout intérêt envers les figs (c’est sympa mais ça prend de la place ET la poussière), ensuite parce qu’elles n’étaient pas données du tout. Par contre, le jour où Azone a sorti Leviathan en doll, j’ai sauté dessus illico malgré le très imposant (et coûteux) format 1/3. Seul regret ? Qu’ils n’aient pas ensuite réalisé les autres persos.
Donc en découvrant qu’il existait un artbook, hop, panier direct.
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Outre l’artbook, j’ai aussi découvert l’existence d’une série animée. Bon, je n’ai jamais vraiment aimé les anime, mais là c’est The Seven Deadly Sins b*rdel. Donc j’ai maté ça durant un aprem de fatigue et ça a été une très bonne surprise. Et, tant qu’à commander un artbook, autant se prendre une double dose, hein ♥
Du coup j’ai un peu mis à jour ma wishlist coloriage, et pioché au milieu de la tonne de trucs labellisés « Halloween ». J’ai pris le 2e avant le premier parce que les illus étaient plus intéressantes. Là encore, c’est choupitrognon comme tout.
Ça y’est, on en est à la moitié ! \o/ Les tomes de Juillet et Août sont sortis en même temps, fin Juin. Mais du coup, pas de nouveau volume avant début Septembre.
La dégringolade des notes vous explique pourquoi la série a été désherbée en Juillet 2024.
… le patrimoine culturel est chargé de contes et de légendes qui éclairent son histoire. Martial Debriffe et Pierre Adam ont épluché les archives en quête d’anecdotes et de détails méconnus sur les faits les plus marquants de la région. Vous en saurez ainsi un peu plus sur les us et coutumes de vos ancêtres !
D’où provient la fascination pour l’Ankou ? Quelle est la véritable histoire des pierres de Plouhinec ? Quelle est la signification de la lutte perpétuelle entre Dieu et le diable ? Vous le découvrirez en français et en breton, langue qui a toujours été pour la Bretagne le symbole de la culture populaire.
Conte-moi la Bretagne allie ainsi la légende à la connaissance. Connaissance de la région, connaissance des gens… Prenant parfois de discrètes libertés avec l’espace et le temps, les auteurs ont opéré quelques retours en arrière et quelques bonds en avant afin de vous plonger au cœur de cet envoûtant ancien duché…
Qui dit voyage dit achat de livre en route, c’est une tradition qui remonte à mon tout premier. Celui-ci vient de l’aire d’autoroute de Parce sur Sarthe sur le trajet de Defqon.1, dégotté en prime à 8€ au lieu de 26. Bon, j’avais pas prévu de trimballer un pavé pareil dans mon sac déjà bien bourré, m’enfin, comment résister ?
… Mouais, ben j’aurais dû m’abstenir. Au lieu de s’appuyer sur les différentes versions d’un conte pour en livrer une seule, les auteurs ont fait le choix étrange de… toutes les inclure à la suite. Alors déjà que le contenu est répétitif, mais se farcir le même truc en boucle trois fois de suite (quand ce ne sont pas des éléments qui reviennent d’une histoire à l’autre), c’est juste pas possible. J’ai fini par jeter l’éponge.
Voilà qui n’était pas prévu… ni le fait que la créature, qui s’appelle Quenotte, se révèle bien différente de la fée bienveillante qu’imaginent les petits. Perverse, dangereuse, elle va poursuivre Sam et sa bande de copains tout au long de leur adolescence, rythmée par des drames affreux, et changer leur vie pour toujours…
Celui-là, c’était compliqué. Il était dans ma sélection « cru 2018 » initiale parce que le résumé était franchement intriguant. J’ai consulté des critiques pour savoir à quoi m’attendre… mais la plupart se sont avérées franchement mitigées. Donc je l’ai viré… puis remis… puis re-retiré… avant de finalement le prendre en magasin un jour ou deux après sa sortie. Critiques tièdes voire franchement froidasses ou pas, autant se faire son propre avis.
Verdict… mitigé. C’est pas complètement mauvais mais plusieurs points m’ont vraiment dérangé et je ne vois pas comment recommander ce truc à quiconque.
Bref, comme je ne l’aurais probablement jamais relu, je ne l’ai pas gardé.
… Comme dit précédemment,ça a été la grosse loose niveau météo, même si on a eu quelques couchers de soleil assez sympa.
*Quelques* clichés de nature qui m’auront permis de me familiariser avec mon nouveau matos…
Red Sunset by Poison, sur Flickr
… Une très bonne idée, vu qu’à la fin du mois, il y a eu…
Defqon.1 !!!!
Bon, le voyage en lui-même ça a été le radeau de la méduse d’un bout à l’autre (y compris au retour), mais le festival a juste été la meilleure expérience de toute ma vie. On a malheureusement pas eu le temps de tout voir, tout juste de s’arrêter deux secondes devant quelques scènes…
Gold / White / Yellow / U.V. stages from #Defqon1 pic.twitter.com/5EzDbyM3yY
— Pois0n✒ (@Svetlana_Mori) 24 juin 2018
… avant de rejoindre la red (mainstage) :
#PowerHour #Defqon1 #festival #hardstyle
The ground was SHAKING.
Seeing everyone moving together was really something! 😍 pic.twitter.com/KRpSVlTN5K— Pois0n✒ (@Svetlana_Mori) 24 juin 2018
J’ai pu me faire VRAIMENT plaisir en photo là-bas :
@RymelleGarrix J'ai fait au mieux, mais bon, réglages à la volée, APN brandi au dessus de la tête au pif parce que reflets sur l'écran… c'était pas de la tarte xDDDD
(Tu m'enverras ton adresse par DM sinon, j'ai pu ramener un bracelet! ♥)#Defqon1 #DBSTF #hardstyle pic.twitter.com/9OlSUPqjV5— Pois0n✒ (@Svetlana_Mori) 24 juin 2018
Et la dernière (la meilleure pour la fin forcément) ♥@RymelleGarrix pic.twitter.com/kDfQwCUwbf
— Pois0n✒ (@Svetlana_Mori) 24 juin 2018
.@wildstylez #Defqon1
Loved this set! So much "feel-good" tracks ♥ pic.twitter.com/f5FZOIxtEw— Pois0n✒ (@Svetlana_Mori) 24 juin 2018
.@djrandofficial #Defqon1 #hardstyle pic.twitter.com/65D622QyoG
— Pois0n✒ (@Svetlana_Mori) 24 juin 2018
… du moins jusqu’à ce que la lumière baisse :
.@WarfaceOfficial THIS WAS INSANE!!! 🔥
(Sorry for the pics quality, the light was starting to lower 😭)#Defqon1 #hardstyle #rawstyle pic.twitter.com/h4tzqXg0FA— Pois0n✒ (@Svetlana_Mori) 24 juin 2018
Du coup, au début du set des SZP il faisait nuit, et comme tout bougeait (eux, les gens autour, la base des barrières…), impossible de faire mieux que ça. C’est dommage, c’est d’EUX que je rêvais de faire de jolis portraits… mais ce n’est que partie remise !
.@Sub_ZeroProject No words to describe this set!!! 🔥🎶🎵
So glad to have been able to be there ♥(Very sorry for these awful pics, low light = photographic nightmare 😭)#Defqon1 #hardstyle #rawstyle pic.twitter.com/V9OOjZFEmr
— Pois0n✒ (@Svetlana_Mori) 24 juin 2018
Bonus pics from @Sub_ZeroProject 's #Defqon1 set ♥🔥🎶🎵🔥♥
Wish Nigel came in front of the stage too xD 😭Thank you again! Please never change anything, stay yourselves and may you keep creating wonderful music forever♥🎧♥#hardstyle #rawstyle pic.twitter.com/PoNwnkKmyu
— Pois0n✒ (@Svetlana_Mori) 25 juin 2018
Juste après, il y a eu le feu d’artifice de clôture.
#TheEndshow #Defqon1 #hardstyle #festival pic.twitter.com/VTbJMT1oBE
— Pois0n✒ (@Svetlana_Mori) 24 juin 2018
Photos bonus : les héros invisibles qui nous font toujours de magnifiques clichés et, en plus, ont dû ce coup-ci composer avec un contre-jour atroce :
When you realize official photographers sometimes struggle as much as you, even if they have better gear.
Shoutouts to all these men-of-shadow we see-without-seeing: photographers, cameramen. We owe you all the beautiful pictures and aftermovies♥@Q_dance @rossumedia @dirtyworkz pic.twitter.com/ASsFyLvZle— Pois0n✒ (@Svetlana_Mori) 25 juin 2018
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