Loot bouquins de Novembre 2016
Posted By /*php the_author_posts_link(); */?>Svet Mori le 4 décembre 2016
Le mois de Novembre a véritablement été pauvre en achats comme en critiques, puisque NaNoWriMo oblige, j’ai passé tout mon temps à écrire sans en avoir à consacrer ni à la lecture, au dépouillement de librairie.
Ça a été payant, puisque non seulement j’ai atteint les 50k pour la première fois en Novembre depuis 2012, mais le roman issu du défi est d’ores et déjà terminé et les tirages d’épreuve seront sous presse d’ici quelques jours. Plus d’infos à venir très vite !
« Tu veux que je le tue ? »
Charlotte n’en croit pas un mot, d’abord. Mais bientôt elle découvre dans son salon une version vingt-cinq ans d’Élias, un grand brun aux yeux bleu outremer. Adam, le frère aîné, vient d’entrer dans sa vie, et celle-ci va tourner à la cavalcade.
Comment réagir quand on a vingt-trois ans, qu’on est seule et plutôt pacifique, et qu’on tombe amoureuse d’un tueur à gages qui n’est même pas humain ?
Alors ? Prêts à suivre ceux qui marchent dans les ombres ?
Scorpi, j’avais vu traîner le premier volume en magasin sans jamais prendre la peine de regarder le résumé. Que voulez-vous, une couverture satinée métallisée fuschia pétant, moi, ça me donne plutôt envie de fuir en courant.
Le tome figurant dans la liste de la dernière opération Masse Critique de Babelio, j’ai donc pu en lire le résumé à cette occasion… ce qui l’a propulsé immédiatement en tête de wishlist. La découverte, à la librairie du coin, du fait que l’intégralité de la série était déjà disponible m’a poussé à l’achat immédiat.
Kirito a accepté cette certitude depuis qu’il a décidé de combattre en « solo » à l’intérieur de l’Aincrad, cette gigantesque forteresse volante qui sert d’univers au redoutable jeu en ligne connu sous le nom de Sword Art Online.
Comme lui, des milliers de joueurs connectés, pris au piège dans ce monde virtuel où le moindre faux pas peut être fatal, luttent pour regagner leur liberté.
Kirito veut conquérir seul les cent étages qui le mèneront au combat final, mais c’est sans compter sur l’obstination d’Asuna, une habile épéiste avec qui il va devoir s’allier.
Démarre alors une course effrénée pour survivre dans un monde où l’art de l’épée fait loi.
Peut être considéré à la fois comme un début de série et un one-shot, sachant que ce tome lui-même en contient deux. Le second n’étant qu’un regroupement de quatre histoires courtes, se déroulant avant le premier…
Sword Art Online, j’y ai longtemps été hermétique, le concept n’étant quand même qu’une repompe grossière de .hack. Et .hack, c’est sacré. On ne touche pas à .hack. Sauf que .hack, on n’en entendra plus parler en France, Panini semble avoir totalement lâché les mangas de la licence (et on peut déjà s’estimer heureux d’avoir eu la fin de G.U.+).
Du coup, plutôt que de continuer à grogner et à faire le vieux con, autant aller voir par soi-même où sont les différences entre les deux licences. Dans le même genre, je n’exclus pas de jeter un œil à Log Horizon, tant qu’à faire.
Pour moi, ce sera donc « début de série », le second volume, Fairy Dance, m’intéressant de base davantage. En fonction de ce qu’auront donné ceux deux tomes (correspondant aux quatre premiers de la version japonaise donc), je verrai si je poursuis l’aventure ou pas, sachant que l’ambiance peut radicalement changer d’un volume à l’autre (il y en a un dans une ambiance plus western, semble t-il).
Nat, elle, a assez d’argent pour quitter cet infâme New Vegas plongé dans l’ère glaciaire, et rejoindre le Bleu, là où l’air est pur et la mer azur. Là où des renégats comme elle peuvent vivre en paix.
Il suffit juste de payer grassement un mercenaire.
Mais le passeur, ô surprise, n’est autre que Wes…
Je ne me suis arrêté devant Frozen que parce que mon cher et tendre n’a pas pu s’empêcher de ricaner devant le titre (ah, ben oui, maintenant, le mot fait forcément penser à la reine des neiges…). Et parce qu’à côté, il y avait un bouquin qui avait l’air intéressant. Finalement, « autre bouquin » ne l’était pas ; par contre, quand j’ai jeté un coup d’œil au résumé de Frozen, il a atterri direct sur la pile d’achats du jour.
C’est peut-être un pitch classique et très con, mais c’est le genre d’histoire qui marche très bien sur moi :p
Là encore, une histoire séduisante. La light fantasy n’est pas spécialement ma tasse de thé, mais les critiques étaient bonnes, et >cet extrait< a achevé de me convaincre.
Traînait dans la wishlist depuis un bon moment, à cause des critiques sur Fablehaven qui comparaient les deux séries. Problème, les cinq tomes individuels, très fins, sont vendus chacun six euros pièce, là où cette intégrale, épuisée, n’en coûtait que 16 (un tarif nettement plus acceptable au vu de la quantité de lecture)…
Il aura fallu que le livre apparaisse en occasion dans la liste des autres ouvrages proposés par le vendeur auprès duquel j’ai acquis le tome 3 de Blart, et à un tarif relativement raisonnable, pour que je me décide à le prendre.
Tour à tour angéliques et diaboliques, fées et sorcières vous ouvrent les portes du merveilleux.
Une anthologie fantastique dans le même esprit que les quatre tomes de La dimension fantastique ou Les cent ans de Dracula, qui squattait elle aussi la wishlist depuis trop longtemps. Au final, heureusement qu’elle ne coûtait que 2€, parce que contrairement aux autres, la sélection est loin d’être intéressante, à l’exception d’une seule des treize nouvelles !
L’idée lui venait seulement à présent que peut-être il était justement en train de se conduire comme le rêveur inutile, le sot oisif que Dorothée l’avait accusé d’être. C’était une faiblesse de sa part que de s’être laissé affecter par un refus.
La critique complète est disponible sur Babelio (lien au dessus du résumé) .
Un ouvrage découvert via une critique sur Babelio. Intrigué.e par le travail de recherche monumental effectué par l’auteur (durant trois ans !!!) et par son idée de mêler réalité et fiction pour proposer son hypothèse sur l’identité du célèbre assassin, il ne m’a pas fallu plus de quelques semaines pour craquer.
Je suppose que le docteur Bond n’a jamais envisagé, en écrivant ce qui va suivre, que la fille de la jeune femme morte qu’il examinait aurait un jour à lire ses constatations.
When villagers begin to lose their sight, deliveries from the zipline shrink, and many go hungry. Fei’s home, the people she loves, and her entire existence is plunged into crisis, under threat of darkness and starvation.
But soon Fei is awoken in the night by a searing noise, and sound becomes her weapon.
Soundless était précommandé depuis le début de l’année, votre humble serviteur étant trop radin pour investir dans la version reliée sortie depuis belle lurette. Au final, cette édition brochée est très jolie, de grand format, avec une couverture gaufrée ornée de vernis sélectif. On a vu pire, à ce prix.
Et une fin de série, une !
Enfin tout du moins, fin de la trilogie, puisque l’auteure a enchaîné sur une autre série en quatre tomes, dans le même univers… Qui sait, peut-être les éditions Kennes en feront-elles l’acquisition ?
N’ayant toujours pas lu Alice au pays des morts vivants, j’ai été surpris.e de tomber sur une suite en rayon… Du coup, n’ayant pas envie de prendre du retard pour une autre série de plus…
L’histoire du roman Another se finit réellement en deux tomes ; cette suite propose donc une toute nouvelle histoire inédite.
… deux nouvelles. S’il y avait une Mini Animators que je tenais à choper, c’était bien Alice. Alors, dès que le Disney Store local l’a à nouveau eue en stock, j’ai sauté dessus xD Anika, quant à elle, est un cadeau de Monsieur pour avoir réussi à boucler le NaNoWriMo. Je l’avais repérée en vitrine en ville à cause de sa ressemblance, de loin, avec une pullip x)
Sur le plan photographique, rien à déclarer à part les photos de présentation de Kristoff. Et encore…
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