Bilan de Novembre 2018, partie 1 – « généraliste »
Posted By /*php the_author_posts_link(); */?>Svet Mori le 30 novembre 2018
Attention, c’est du lourd ! Entre les livres et la photo, Novembre a été un très bon mois…
… nettement moins du côté de l’écriture ceci dit, puisque mon NaNoWriMo est très loin des 50k mots requis. Ceci dit, ce sont toujours 10014 mots qui n’existaient pas au début du mois et reprendre l’écriture du Mercenaire de l’Ombre m’a fait un bien fou. Alors peu importe que ce soit à un rythme d’escargot.
Dix ! Le record n’est pas battu, mais ça reste un gros mois.
Vous y trouverez de tout, mais en proportions variables… autant dire que la romance domine, sous toutes ses formes. La moitié des critiques sont consacrées à de très courts ebooks disponibles gratuitement sur le site des éditions Harlequin. Autant être honnête, il y a plus de bof que de bon là-dedans, à l’exception de Le Philtre d’Amour ou de l’encore plus courte nouvelle érotique Sexcort – Amsterdam.
Si la romance n’est pas votre tasse de thé, vous pouvez toujours vous rabattre sur du polar islandais, un manga, ou surtout le très chouette roman fantastique/fantasy La Maison des Secrets, indéniablement LE livre du mois !
Descendants – Rotten to the core (manga)
Hana to Asashin (voir ci-dessous)
Impossibles retrouvailles
L’homme du lac (voir ci-dessous)
La maison des secrets (voir ci-dessous)
Le bébé de l’inconnu / Mission clandestine (recueil)
Le Philtre d’Amour
🔞 Sexcort, tome 1 – Zurich
🔞 Sexcort, tome 6 – Amsterdam
Un loot qui fait très mal (au portefeuille…), entre les précommandes, les achats d’occasion et les craquages en magasin dus au shopping de Noël.
Il y a un peu de tout là-dedans, de la romance évidemment (puisque je zone désormais tous les mois sur le site des éditions Harlequin) mais pas seulement : polar, fantasy, fantastique sont comme toujours au rendez-vous.
Chopé en état neuf à 10€ à la nouvelle bouquinerie. Il figurait sur ma wishlist depuis sa sortie, mais comme d’habitude, j’avais prévu d’attendre que la série soit complète avant de craquer.
Du coup, même si le second est déjà disponible, je ne le prendrai qu’à la sortie du dernier. Ça ne devrait pas être trop long, l’autrice l’ayant déjà terminé.
Là encore, au milieu du rayon, difficile de choisir entre tous ces romans mettant en scène le même personnage mais pas numérotés. L’intrigue de L’homme du lac ne ressemble là encore pas à celle d’un polar classique, le cadavre n’étant plus très frais.
– Une exécution ? s’étonna Elinborg. Nous sommes islandais. La dernière exécution en date s’est passée à la hache.
Au final, si l’intrigue en elle-même est très réussie, le livre pèche sur d’autres points, qui hérissent régulièrement le poil et empêchent de se plonger totalement dans l’histoire. Dommage.
« Celui-là c’est pour le boulot ! » Bon, j’ai jamais vraiment eu besoin de prétexte pour fourrer le nez dans un bouquin du genre, mais ce truc-là, ou en tout cas un ouvrage consacré spécifiquement au folklore transylvain, je cherchais depuis un bail. Histoire de vérifier si Snowfrost n’était pas trop à côté de la plaque, ou de rajouter des détails au besoin.
Bref, pas une lecture loisir, enfin « pas que » !
CERTAINS SONT ESCLAVES DES DIEUX ; D’AUTRES, DES HOMMES.
Protégée par les quatre divinités, vivant dans le luxe et le confort, la famille royale dirige Quandis d’une main de fer. Jeune princesse à l’ambition dévorante, la princesse Phela ne rêve que d’une chose : accéder au pouvoir détenu par sa mère, la reine, et son frère, l’héritier du trône. Même si pour cela elle doit faire appel à la magie des Quatre, bannie depuis des siècles.
Au ban de la société se trouvent les Baju. Pauvres et opprimés, les membres de cette caste n’ont que deux manières d’échapper à la servitude : la prêtrise… ou la mort. Blane, esclave baju épris de liberté, découvre lors de son initiation mystique que seule la magie interdite pourrait délivrer son peuple.
Or si la magie des Quatre réapparaît, les conséquences, irréversibles, pourraient bien détruire le fragile équilibre du royaume tout entier…
15€ neuf à la nouvelle bouquinerie, qui dit mieux ?
Pour la petite histoire, la libraire m’a expliqué que c’est l’illustrateur qui revend ses exemplaires faute de savoir quoi en faire. Apparemment, il en a filé à tout le monde et même ses amis n’en veulent plus ! xD
Londres, 1872. Dans le monde d’Arcadia, la réalité a les couleurs du rêve : un royaume idéal, baigné de féerie arthurienne, dans lequel les ministres sont poètes et les artistes sont rois, où le futur est tabou et la mort improbable. Un jour pourtant, d’étranges présages viennent troubler la sérénité de la belle capitale. Neige bleutée, vaisseau fantôme… Le peintre Rossetti et ses amis se sentent mystérieusement concernés. Cent quarante ans plus tard, dans un Paris agonisant plongé sous les eaux, quatre jeunes gens férus d’art victorien entendent le même appel, et s’apprêtent à déchirer le voile qui sépare les deux mondes.
Ouiiii, je sais, j’avais dit que je ne prendrais pas Arcadia vu les avis négatifs majoritaires et l’extrait pas du tout engageant que j’avais pu lire. Enfin ça, c’était avant de le dégotter état neuf à moitié prix. Dans le pire des cas, même si le truc devait s’avérer aussi mauvais que les critiques le disent, le bouquin est très joli et rien que pour la collec, ça valait le coup de craquer.
En atterrissant dans le Missouri balayé par la neige et le vent d’hiver, l’agent du FBI Jordon James n’a qu’une image en tête : la plage de Floride où elle ira se reposer après sa mission. Très vite, pourtant, la réalité la rattrape. Accueillie à son arrivée par Gabriel Walters, le très séduisant chef de la police locale, elle décide, contre l’avis de ce dernier, de loger seule dans le B&B où plusieurs touristes ont été assassinés. Comme si, dans ce chalet perdu en pleine forêt, elle avait décidé de donner rendez-vous à l’assassin fantôme qui terrorise la région…
Double revelation
Joe McCullen a été assassiné… Abasourdi, Roan dévisage Megan Lail qui vient de lui faire cette révélation. Pendant quelques secondes, il s’imagine dénouant le chignon serré qui donne un air beaucoup trop sérieux à la jeune médecin légiste, puis la phrase le percute à nouveau. Ainsi, le patriarche du clan n’est pas décédé de mort naturelle… Mais qui l’a supprimé ? Quel terrible secret a-t-on voulu taire par ce crime ? Autant de questions auxquelles Roan va tenter de répondre. D’abord en tant que shérif de la ville. Ensuite — et surtout — parce qu’il porte lui aussi un lourd secret : il fait partie du clan McCullen car il est le fils naturel, et caché, de Joe…
Encore un achat d’occasion. Les deux histoires donnent envie, du coup, zéro raison de ne pas craquer. Enfin si, la première de couverture est assez abîmée, le genre de détail qui m’horripile, mais bon…
Gareth n’est guère enclin à pervertir cette candide jeune femme. Il accepte pourtant, et cette initiation sensuelle va les conduire bien plus loin qu’ils ne l’avaient imaginé…
Avouez que l’intrigue de cette romance historique sort sacrément des sentiers battus ! Alors, forcément, quand je tombe là-dessus à la bouquinerie, je prends direct.
It is London, 1756. In his Bloomsbury attic sits Dr Sabian Blake – astronomer, scientist, and master of the Cabala. Dr Blake is in possession of the Nemorensis, an ancient leather-bound book that holds the secrets of the universe. Scribbled into one of its margins is a mysterious prophecy, and deciphering it could prove the ley to saving London from a catastrophic fate. But there are others interested in the Nemorensis too, for more sinister reasons…
Comment résister à la fois à une aussi belle couverture et à un résumé aussi emballant ? La nouvelle bouquinerie n’a pas beaucoup de livres en VO, doncWormwood sortait pas mal du lot.
Lorsque ces secrets parviennent aux oreilles de Bushi, l’un des chefs du réseau d’espionnage de Torenaga, celui-ci décide d’accéder à la requête de Saizo et de prendre la jeune fille sous son aile. Il confie à son Ombre, Joshiro, assassin renommé et craint de tout le shogunat, la garde et la protection d’Aiko. Homme froid et sans âme, Joshiro est réputé pour sa cruauté. Mais l’assassin est captivé par la beauté innocente de la jeune esclave qu’il doit côtoyer au quotidien. Et ses sentiments naissants pourraient bien être réciproques…
Dans un monde dur et sans pitié, une romance torturée, des intrigues de cour, un climat politique tendu, et deux shogunats ennemis qui cherchent à se détruire…
Quand Aurélie Chateaux-Martin a posté un extrait et la couv’ accompagnés de l’étiquette « romance dark-fantasy », j’ai immédiatement voulu le lire… Pourtant, en inconditionnel.le des good endings, je savais qu’il risquait de faire mal, celui-là ! xD
Finalement, pas tant que ça. Alors bien sûr ce n’est pas joie et paillettes tout ça, mais c’est une très chouette histoire, avec autant de guimauve que de violence.
Dix ans ! Voilà dix ans que Sarah a échappé au massacre perpétré par le tueur en série Archibald Lemming. Un drame dans lequel l’une de ses amies a trouvé la mort et au cours duquel Lemming lui-même a été tué… Et voilà qu’aujourd’hui, le cauchemar recommence : une autre de ses amies est retrouvée assassinée dans les mêmes circonstances que la première. Terrifiée à l’idée qu’elle sera sans doute la prochaine victime de ce nouveau tueur, Sarah accepte la protection de Tyler, son ex petit-ami devenu détective. Tyler dont elle s’est séparée à la suite du drame mais dont elle est restée secrètement amoureuse…
Piège dans les Appalaches
Inquiet malgré lui, Colby tente de faire bonne figure pour ne pas inquiéter Piper, sa séduisante compagne d’infortune… Pourtant, il le sait, la situation est grave. Car s’ils ne succombent pas au froid glacial qui les enveloppe, ils auront le plus grand mal à retrouver leur chemin dans les montagnes hostiles où les hommes qui les ont kidnappés viennent de les abandonner. Des truands sans foi ni loi qui les ont voués à une mort certaine, lui parce qu’il enquêtait sur eux et Piper parce qu’il l’a secourue alors qu’ils venaient de voler son cheval…
J’ai passé commande chez Harlequin pour le Noël de ma mère. … Devinez qui n’a pas été foutu de résister à l’appel des Black Rose repérés quelques semaines plus tôt ?
Muet de stupéfaction, Marcos regarde la femme que son hôte vient de lui présenter comme étant une de ses amies. Par quel hasard, Brenna Hartwell, son premier amour, se trouve-t-elle dans la demeure du baron de la drogue qu’il est venu espionner ? Priant pour qu’elle comprenne, à l’écoute de son nom d’emprunt, qu’elle ne doit pas révéler sa véritable identité, il croise alors le regard de Brenna et se détourne aussitôt. Car ce qu’il a lu dans ses yeux le déstabilise au plus haut point : la surprise, bien sûr, la méfiance aussi, mais surtout un trouble égal au sien, preuve que les sentiments qu’ils partageaient autrefois n’ont rien perdu de leur intensité…
L’instinct de protection
Dans la cabane de rondins où elle vient de se réveiller, Ella lutte contre une terrible douleur à la tête et se demande comment elle est arrivée là, alors qu’elle effectuait une randonnée en solitaire sur les terres de son père. Mais bientôt elle aperçoit une silhouette d’homme dans la pièce et sent une vague de panique la submerger. Car elle ignore tout des motivations du mystérieux inconnu qui l’a amenée dans ce refuge précaire. L’a-t-il enlevée pour demander une rançon à sa riche famille ? Ou doit-elle au contraire le remercier pour lui avoir sauvé la vie ?
Les deux résumés sont franchement emballants, plus particulièrement celui du deuxième, qui en dit à la fois trop et pas assez !
Kelly enrage : on lui a volé sa voiture, et à présent qu’elle est arrivée à Mustang Run, où elle doit emménager, elle découvre que sa maison tombe en ruine ! Où vont-elles aller, elle et Jaci, sa fille de cinq ans ? Certes, Wyatt Ledger, son nouveau voisin, leur propose de les loger, le temps qu’elle fasse les travaux nécessaires. Mais Kelly refuse. Car Wyatt est policier. Or personne ne doit découvrir qui elle est vraiment, sous peine de les plonger, Jaci et elle, dans le plus grand danger…
Que tu le veuilles ou non
Que fait-elle dans un lit d’hôpital ? Et pourquoi Jack, son ex-mari, est-il à son chevet ? Cassie ne se souvient de rien. Contre toute attente, c’est Jack qui apporte des réponses à ses questions : elle a été témoin d’un meurtre — commis par un tueur qu’elle est la seule à pouvoir identifier. Pis, Jack a exigé d’être chargé de l’affaire. Il la protégera, qu’elle le veuille ou non…
Ensemble face au danger
Savez-vous où se trouve mon frère ? Meredith n’en croit pas ses yeux : l’homme qui vient de sonner à sa porte ressemble trait pour trait à Garrett Hill, son voisin ! Mais, alors que celui-ci lui apprend qu’il est en fait Jeremy, le jumeau de Garrett, un homme surgit et tente de les tuer… Qui est-il ? Et que leur veut-il ? Des questions qui restent sans réponses. Car Jeremy la sauve de justesse et l’oblige à fuir avec lui…
Trois histoires bien différentes mais toutes intrigantes. Vu le prix, ça aurait été bête de ne pas craquer.
Là encore, un tome proposé à petit prix sur le site éditeur.
Le genre d’histoire qui pourrait tout à fait m’arriver, vu que la baraque isolée au fond des bois, c’est précisément ce que je recherche xD
Une nuit. C’est le temps que Lainey s’est accordé pour séduire Damian McKnight, avant de quitter définitivement Melbourne pour Londres. Et quelle meilleure occasion qu’un bal masqué ? Le visage dissimulé sous un fin voile de dentelle, elle pourra charmer Damian, puis disparaître aux premières lueurs de l’aube. Mais Lainey saura-t-elle se contenter de cette seule nuit dans les bras de celui qu’elle aime depuis toujours ?
A la base, j’avais prévu de découvrir la collection Magnetic via Son séduisant ennemi dans les précommandes du mois. C’était sans compter sur Passion secrète, son pitch accrocheur et son petit prix…
Voici l’histoire de l’évolution d’un homme… et de son improbable rédemption.
Précommandé après l’avoir repéré sur le planning de Bragelonne.
De la fantasy et des pirates, y a-t-il besoin d’arguments supplémentaires ?
D’où vient cette fille à la voix qui l’ensorcelle ? Que lui veut cet homme en noir, qui contrôle les vagues et les vents ? Et surtout, quelle porte ouvre une vieille clé rouillée, dotée d’un pouvoir obscur, ramenée du fond de l’océan ?
Repéré dans la liste de l’opération Masse Critique. Finalement, vu son faible nombre de pages, j’ai préféré postuler pour autre chose, tout en le rajoutant illico à la wishoppinglist. Son petit prix m’a poussé à l’achat moins de deux semaines plus tard… #indécrottable
1 COURONNE.
LA COMPÉTITION DE LEUR VIE.
Trois cents ans ont passé et les États-Unis ont sombré dans l’oubli.
De leurs ruines est née Illeá, une monarchie de castes.
Mais un jeu de téléréalité pourrait bien changer la donne…
A l’origine, La sélection ne m’intéressait pas plus que ça… En revanche, une intégrale en édition collector limitée, c’est une autre histoire : pouvoir découvrir une série à prix moindre et dans un très beau bouquin par dessus le marché, pourquoi pas ?
Les hommes ont régressé à un stade primitif après une catastrophe nucléaire qui a bouleversé la planète. La survie s’est organisée au cœur de tribus. Dans l’une d’elle vit un enfant noir, rejeté par les siens à cause de sa différence. Lorsque l’enfant est condamné à mort par leur chef, il se met alors en route vers Niourk, la ville des dieux, en quête de nourriture. Mais dans cette métropole abandonnée ne subsistent que ruine, radiations et machines étranges…
Figurait sur ma wishlist officieuse, celle qui n’est que dans ma tête, rassemblant tous les trucs repérés une fois en rayon où en lisant une critique et restés dans un coin du cerveau. L’édition poche à petit prix a achevé de me convaincre.
De la même façon que certain.e.s ont parfois envie de chocolat ou de pizza, j’ai eu une méchante envie de polar nordique vers le milieu du mois. Sans doute une conséquence de l’approche de Qlimax, sur la route duquel j’avais acheté mon premier, Snjor, l’an dernier.
Le résumé de L’énigme de Flatey fait plus penser à celui d’un thriller ésotérique, ce qui n’est pas pour me déplaire.
C’est sans doute la lecture récente de Hana to Asashin qui m’aura poussé à regarder de plus près le résumé de l’autre côté de cette très belle couverture. Bref, l’oriental fantasy, j’aime bien, donc j’ai craqué.
Grand amateur d’art comme elle, il est à la recherche d’un objet précieux qu’on lui a volé.
Et ça, se lancer dans une folle aventure pleine de rebondissements avec un jeune gentleman juste un peu débauché et vraiment très séduisant, l’intrépide Elinor n’est pas sûre de pouvoir y résister !
Repéré quelques temps plus tôt à la nouvelle bouquinerie, il y était encore lors de mon passage suivant destiné à y récupérer des romances de Noël. Bon, ceci n’est pas une romance de Noël, mais c’est une romance quand même, craquage à demi-pardonné ?
Si la plume de Louise Allen est toujours aussi efficace et que tout la partie chasse au trésor est vraiment réussie, le derniers tiers du livre retombe hélas comme un soufflé. Et le fait que les protagonistes soient cousins est un peu gênant… Néanmoins, ça se lit quand même avec plaisir pendant la majeure partie du truc.
Gagné lors de la dernière opération Masse Critique de Babelio ♥ Le truc rigolo, c’est qu’il figurait en VO dans ma to-remember-list depuis une éternité…
– Herbivore ! Je ne plaisante pas, Bren. Ferme-moi cette fenêtre.
Autant ne pas y aller par quatre chemins : malgré quelques défauts qui transparaissent occasionnellement, c’est excellent. Non, pas « très bon », mais le niveau carrément au dessus. C’est bourré de rebondissements, et même si la recette est au final assez classique, on ne s’y ennuie pas une seule seconde.
– Oh que oui !
– Et vous pourrez m’y ramener ?
– Évidemment… Bus, expulsion, on trouvera bien un moyen.
Sans la newsletter de l’éditeur qui présentait le résumé sous un jour beaucoup plus attrayant, je n’aurais toujours pas calculé ce livre. Mais, quand vous lisez ça :
… vous commandez direct.
Elles apprendront à se connaître au sein de cet événement de trois jours rempli de passion, d’espoirs et de rêves…
Comiket Pandemonya est un récit léger d’amitié, centré sur l’événement otaku majeur, le Comic Market, et sur ses deux protagonistes empreintes de bonnes intentions.
Il y a quelques semaines de ça, Yorak organisait une campagne de financement participatif pour son second light novel, L’agence des magical wargirls. Sauf que ce qui m’intéressait le plus, c’était le bundle avec son roman précédent, or, je n’avais pas les sous à ce moment-là…
Par chance, il avait prévu des exemplaires en rab’ pour les étourdis et les retardataires. Bon, je n’avais toujours pas assez de thunes pour choper les deux livres, donc j’ai préféré prendre le one-shot.
– Ça te va bien…
– Merci ! Kon kon !
– T’es vraiment sûre que les renards font « kon kon » ?
– Ah ? Ce n’est pas le cri du renard ?
– Je suis pas convaincue…
– Alors je dis quoi ? Waf ?
– J’en sais rien… Bon, je vais chercher sur internet. Finis d’installer le stand.
Aaaaah comme ça fait du bien, un récit léger et sans prise de tête, avec juste une pointe de fantastique, beaucoup d’amitié et une bonne dose de passion !
Une délicieuse surprise
Skye aurait dû se douter qu’aller travailler à Good Riddance, Alaska, n’était pas une bonne idée. Primo, pour rejoindre cet endroit perdu, elle a dû monter dans un vieux coucou piloté par un homme aussi sexy que moqueur. Deuxio, elle va devoir loger dans un chalet appartenant à Dalton Saunders, le pilote à l’ironie mordante. Malgré tout, vivre aux côtés d’un homme irrésistible pourrait aussi avoir de bons côtés…
Nuits de feu
Tessa sait que Clint Sisnuket, le superbe guide dont elle a loué les services, n’est pas un homme pour elle. En effet, celui-ci appartient à une communauté indienne dont les règles sont claires : ses membres ne doivent en aucun cas avoir de relation avec une étrangère. Et pourtant… Tessa sait aussi qu’elle ne résistera pas au charme de cet homme si sexy, et qui éveille en elle des envies parfaitement inavouables…
Troublantes caresses
En comprenant que le sublime inconnu qui vient d’entrer dans son restaurant n’est autre que Nick Hudson, un influent journaliste venu écrire un article sur Good Riddance, Gus panique. Car cet homme a le pouvoir de faire basculer son existence. D’abord parce qu’il lui inspire un désir ardent. Ensuite, parce qu’il pourrait essayer de connaître la raison qui l’a poussée à se réfugier dans cette ville perdue de l’Alaska…
Des résumés fleurant bon la campagne perdue, qui ont propulsé le truc en haut de ma liste de précommandes du mois. En un sens, heureusement que la couverture n’était pas en ligne à ce moment-là, ou je n’aurais pas forcément cliqué…
Bonus, si habituellement les séries de la collection Sagas sont soit inédites, soit piochées dans les collections dites « sentimentales » (Azur, Passions…), cette trilogie nous vient elle du catalogue Audace.. comprenez un peu plus pimentée !
Lorsqu’un certain Augustus Riley arrive à Oakway et annonce à tous son intention de s’y installer, Charlotte Larkin s’interroge. Que vient faire cet homme mystérieux, au charme ténébreux et à l’élégance raffinée, dans ce petit village isolé ? Décidée à en apprendre plus sur lui, elle mène son enquête… et découvre avec stupeur qu’il écrit des romans policiers inspirés de faits réels. Désormais, pour Charlotte, le doute n’est plus permis : Riley n’est pas là par hasard et doit croire, comme beaucoup de gens en ville, qu’elle a assassiné l’homme retrouvé noyé quelques semaines plus tôt dans le lac voisin…
Mariés sur contrat
Tout juste embauchée par les services secrets, Gillian Ridgeway apprend qu’elle doit se rendre en Chine pour y démanteler un réseau de dangereux criminels. Une entreprise qu’elle se sentirait de taille à réussir si on ne lui avait assigné Mike Callahan comme coéquipier, un ami de sa famille, qui l’a formée et qu’elle aime en secret depuis des années. Une tâche d’autant plus difficile qu’elle devra se faire passer pour son épouse, et refréner en permanence les sentiments véritables qu’elle éprouve à son égard.
Entre le lac mystérieux et l’écrivain du coin, et la mission d’infiltration en Chine, ce recueil avait vraiment TOUT pour me plaire. Là encore, pas de question à se poser au moment des précos.
Irlande, 1192
Cela fait un an que Brianna Mac Egan ne pense qu’à une chose : venger la mort de Murtagh, son défunt époux. Mais aujourd’hui, face à son assassin, le terrible Kaall, Brianna sent sa détermination faiblir. Car le Viking qui se tient devant elle menace de tuer Arturo, le séduisant Espagnol qui la trouble bien malgré elle depuis son arrivée en Irlande quelques semaines plus tôt…
Le retour d’une ombre
Perdue au cœur d’une tempête de neige, Rhiannon voyait sa fin proche jusqu’à ce qu’un guerrier viking lui porte secours. Mais, en découvrant l’identité du héros qui l’a extirpée de son enfer de glace, elle est bouleversée. Car celui à qui elle doit la vie est aussi celui qui a ravi celle de son cousin bien-aimé. Le seul ennemi qu’elle se doit de haïr de toute son âme…
Le souffle du pardon
Lorsqu’elle retrouve les bras de Liam Mac Egan, après des mois de séparation, Adriana est parcourue d’un frisson. Un frisson doux comme la caresse de l’homme qu’elle aime, glacial comme la menace qui pèse sur leur union. Si Adriana confessait à Liam qu’elle a dû le trahir de la pire des façons pour le sauver, pourrait-il jamais lui pardonner ?
Là encore j’ai hésité, mais pas pour les mêmes raisons… Si les deux premiers résumés suffisaient à expédier le livre directement dans le panier, le dernier, plus bof, et surtout le faible nombre de pages du livre pour trois histoires m’ont refroidi après coup. Puis, finalement…
– Comment va votre bras ? demanda-t-elle.
– Un loup a essayé de me l’arracher. Comment voulez-vous qu’il aille ?
Bilan : une première histoire sympa, une troisième histoire sympa… Le hic, c’est celle du milieu, blindée à un tel point de validisme puant que j’ai vraiment été en colère tout au long de ma lecture.
Si ce n’avait pas été un Azur à 4€ et des brouettes, je n’aurais probablement pas laissé sa chance à cette histoire. En l’état, l’ancien bad boy devenu prince et une romance interdite, ça donnait assez envie…
… Finalement, le truc est pour l’instant l’un des meilleurs Azur que j’ai pu lire. C’est blindé de bonne humeur, aussi réaliste qu’un téléfilm de Noël (autant dire : pas du tout), mais c’est pour ça que ça marche.
Une excellente surprise !
Roman Bassani, ici ? Allie n’en revient pas : l’impitoyable homme d’affaires qui cherche à s’approprier son entreprise l’a suivie sur la petite île des Caraïbes où elle pensait couler quelques jours tranquilles, loin de ses problèmes quotidiens. S’il croit pouvoir la faire capituler, il se trompe ! Mais c’est compter sans son charme magnétique et sensuel, qui fait bientôt vaciller toutes les certitudes d’Allie…
La collection Magnetic ne m’attire pas des masses, ni au niveau de ses résumés, ni de ses couvs. Cependant, ce résumé-là a changé la donne, et les critiques anglophones, mentionnant une héroïne ronde, ont achevé de faire pencher la balance.
Chaque année, à Noël, Sage dispose au pied du sapin des cadeaux que son petit garçon n’ouvrira peut-être jamais. Car Benji, deux ans plus tôt, a eu un accident de voiture avec Ron, l’homme qui partageait alors la vie de sa mère. Après quelques vaines recherches, la police a conclu que les corps avaient été emportés par la rivière. Mais, pour Sage, pas question de perdre espoir. D’autant qu’un homme, Dugan, détective farouche et déterminé, la soutient et refuse de clore l’enquête. Comme elle, il est persuadé que Benji est toujours vivant. D’ailleurs, il le lui a promis : il le lui ramènera avant Noël…
Une proie consentante
L’amour peut être un piège diabolique. Rachel qui était procureur au sein d’une cour martiale l’a bien compris le jour où elle a appris que Jack, son amant, était en réalité un tueur à gages payé pour l’éliminer…
Aujourd’hui, des années plus tard, elle a rejoint une unité des forces spéciales, et c’est elle cette fois qui s’apprête à tendre un piège à Jack. Car elle vient de retrouver sa trace et, si elle est décidée à servir d’appât en dépit du danger, c’est pour mettre fin à ses activités criminelles… Et parce qu’elle sait que, quoi qu’il advienne, Dylan, son chef, la protégera.
J’ai craqué. Devoir lire La rivière des disparus au rythme pachydermique d’un chapitre par semaine, avec bien évidemment d’autres livres au milieu, c’était plus possible. Alors, j’ai commandé la version papier d’occasion…
Si les deux histoires, très différentes, se lisent sans déplaisir, il leur manque toutefois un je-ne-sais-quoi qui les ferait vraiment sortir du lot. Reste que je ne regrette absolument pas d’avoir craqué.
Et une série finie, une !
Il y a déjà plus d’un an et demi, je craquais sur les deux premiers tomes, attiré par les magnifiques couvertures. Et voilà enfin la série enfin complète ♥
Il *semblerait* que la série se finisse en sept tomes, même si une seconde série prenant place trois ans plus tard a commencé au Japon.
Le sixième volume est prévu pour Février chez nous.
Le dernier tome de la trilogie des Dunes bleues.
Le plus beau garçon du lycée… C’est l’image que Lacy aurait aimé garder de Travis, le séduisant shérif du comté de Rayford. Malheureusement, les trois années qu’elle vient de passer en prison à cause de lui ont sérieusement entaché ce souvenir. Et, bien qu’aujourd’hui il s’excuse et jure qu’il fera tout pour rétablir la vérité et arrêter le véritable coupable du meurtre dont elle a été injustement accusée, elle a bien du mal à lui pardonner…
Association à risques
Alors qu’elle enquête sur la disparition de la fille de sa meilleure amie, Charlotte arrive dans une petite ville éloignée de son terrain d’investigation habituel. Mais, tandis qu’elle surveille une riche demeure — dont les propriétaires se livrent selon elle à des trafics suspects —, elle est blessée et trouve refuge chez l’adjoint du shérif : James Tedder, qui la secourt et accepte de l’aider dans ses investigations. Réunis par le danger et par une attirance mutuelle qui grandit de jour en jour, Charlotte et James se lancent alors dans une mission de plus en plus complexe et périlleuse…
Pour celui-ci, j’avais davantage hésité. Finalement, les résumés m’ont convaincu.
Enfin dernier tome. Après un an d’attente, je vais enfin pouvoir attaquer Calendar Girl xD
En Juillet 2024, j’ai décidé de désherber la série, sachant que je ne la relirais pas.
Et, quand on est expédiée à Hex Hall pour usage inapproprié de la magie, que l’on y côtoie vampires, spectres et loups-garous, qu’on doit empêcher une vampire aux cheveux roses de prendre feu, lutter contre trois ravissantes sorcières aussi dangereuses que des top models en manque de magazines, et résister à un séduisant sorcier très très agaçant, on n’a aucun besoin qu’une élève soit retrouvée vidée de son sang. C’est pourtant ce qui arrive à Sophie. Et Sophie, il ne faut surtout pas l’énerver…
Quand vous chopez un petit machin au résumé sympa, sans savoir qu’il s’agit d’un tome 1 ni que le dernier n’est jamais sorti en poche. C’est ballot.
– Le vampire se trouve à côté d’elle, a-t-elle confié la bouche pleine. C’est le jeune homme aux boucles brunes, Lord Byron.
– Prendre le nom d’un poète mort, ai-je commenté. Quelle prétention !
Jenna m’a regardée.
– Non, c’est le vrai Lord Byron.
… D’autant plus que si l’intrigue du tome se veut bouclée à la fin, la conclusion demeure assez ouverte et plutôt frustrante. Au terme de ma lecture, j’ignorais si je prendrais la peine de traquer la suite ou non ; finalement, je ne l’ai pas gardé.
Le fils de l’Empereur d’Occident, Tamino, s’est juré de délivrer la princesse Pamina, fille de la Reine de la Nuit et prisonnière du magicien Sarastro. Très vite, l’amour entre eux est réciproque, mais bien des épreuves attendent les deux jeunes gens avant que ne leur soit révélé le chemin de la Sagesse et la la Lumière…
Encore un achat d’occasion. En général, quand je tombe sur de la romance fantasy c’est achat immédiat sans se poser de questions, plus encore en VF tant le genre est mal représenté. Sauf qu’en fait, ce n’était pas de la romance fantasy…
– Ils nous ont complètement oubliés !
– Mais non. Aie confiance ! dit Tamino pour le rassurer. Tôt ou tard, ils vont venir, c’est certain.
– Probablement plus tard que tôt, ça c’est sûr, glapit l’homme-Oiseau entre des dents.
Pour faire court : fuyez, c’est mauvais. Et surtout très, très nauséabond. La note n’est pas catastrophique parce que sur la forme, ça se lit, mais sur le fond… aïe, ça craint un max.
Forcément, pas besoin d’expliquer pourquoi j’ai préféré m’en séparer, je n’avais absolument pas envie de relire ça.
Au début du mois, j’ai eu l’envie subite d’aller faire un photoshoot dollesque en extérieur. Sauf qu’un habitant local, occupé à casser la croûte, n’a pas tardé à monopoliser toute mon attention.
Les grands formats et plus de photos ICI
Évidemment, la lumière d’automne a continué à illuminer les feuilles d’arbre… tant qu’il y en avait.
Dans la rubrique saugrenue :
Diluer de la peinture métallisée pour récupérer uniquement les pigments irisés en les laissant se déposer au fond avant d'assécher le tout.
Bilan: c'est joli, des pigments libres pic.twitter.com/nn8cZYIKzW— Pois0n ✒ (@Svetlana_Mori) 23 novembre 2018
Le 29 du mois, le crépuscule a décidé de se prendre pour une peinture :
Quelques photos, et un nouveau.
AZONE A SORTI UN TRUC À L’HEURE. Je répète : AZONE A SORTI UN TRUC À L’HEURE. Donc il a plombé mes comptes, je ne m’attendais pas du tout à le recevoir aussi vite, et n’avais même pas eu le temps de vraiment réfléchir à ce que j’allais en faire x)
… Au tout début du mois donc, Sword a eu droit à un photoshoot en extérieur. La présence de l’écureuil ne m’a pas laissé beaucoup de clichés potables, mais j’ai quand même pu faire à peu près ce que j’avais en tête avec.
Sword – A Goth in Autumn by Poison, sur Flickr
Ensuite, il y a eu une photo rapide de Frikk pour son arrivée (enfin plutôt pour faire sa plaque)…
… puis, Qlimax oblige, j’ai ressorti Kurat de sa boîte. Pas parce que j’avais les boules (par contre, de ne pas pouvoir aller à Lyon voir les SZP début décembre, ÇA OUI) mais tout simplement pour marquer le coup et souhaiter bon voyage aux autres.
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