Loot bouquins d’Octobre 2016
Posted By /*php the_author_posts_link(); */?>Svet Mori le 13 novembre 2016
Très bonne surprise que Zombie Thérapie, qui n’a l’air de rien mais s’avère un véritable roman z-lit, le côté rafraîchissant en plus.
Les Amants de l’Apocalypse
Mademoiselle Blanche (voir ci-dessous)
Zombie Thérapie
Bon, ben finalement, Octobre ne sera pas un si petit mois que ça. La faute à l’agonie franchement pénible de ma tablette graphique ayant mené à l’acquisition d’une remplaçante. Et donc, de quelques bouquins avec pour pouvoir payer à crédit…
La suite d’Autumn Thorns, précommandée au début de l’année sitôt le premier tome fini.
En commandant Autumn Thorns, je commençais tout juste à lire en VO et ne savais pas si j’allais m’en sortir. Non seulement oui, mais j’ai dévoré ce bouquin en quelques jours à peine tant j’avais du mal à le lâcher. Voilà. Si vous aimez la paranormal romance et que l’anglais ne vous rebute pas, la plume de Yasmine Galenorn se lit facilement et le bouquin est génial.
J’en suis pour le moment à la moitié, et les évènements figurant dans le résumé viennent tout juste d’avoir lieu… donnant l’impression que le truc est lent à démarrer, alors qu’en fait, pas du tout, puisqu’il s’en passe, des choses, avant d’en arriver là.
Bref, carton rouge pour l’éditeur, sur ce coup-là.
Pour l’instant, c’est bien, et ça ne fait que devenir de plus en plus intéressant.
Pour la suite, par contre, il faudra investir : l’autrice se tourne vers l’auto-édition, ce qui, pour nous autres petits frenchies, signifie que les chances que Milady poursuive l’édition des Sœurs de la Lune sont nulles et qu’il faudra donc désormais tout lire en VO. Les bouquins imprimés à la demande étant naturellement plus chers, et le taux de change fluctuant, ça risque de faire mal au portefeuille.
La bonne nouvelle, c’est qu’on va avoir droit à une réédition des Chintz n’ China dont certains sont introuvables en neuf !
Il y a quand même pas mal de critiques mitigées sur Magies Secrètes. Parmi les choses en sa faveur, son univers original. En sa défaveur, la trop grand importance accordée audit univers par l’auteur, qui s’est bien fait plaisir avec les notes de bas de page, au point de perdre bon nombre de lecteurs en cours de route à cause de ces interruptions constantes.
En ce qui me concerne, les notes de bas de page, depuis Bartiméus, même plus peur. Du coup, comme il s’agissait d’un poche à petit prix, la curiosité l’a emporté…
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Quand Deva découvre enfin le secret de Tristan Grant, il est déjà trop tard… Elle est tombée amoureuse d’un vampire ! Attirée malgré elle par ce sublime garçon, la jeune fille découvre un monde insoupçonné de magie, de violence et de passion.
Lorsque Tristan et son frère Elliott, tous deux aussi beaux que dangereux, lui révèlent qu’ils sont là pour la protéger, Deva ne veut pas y croire. Elle, la jolie étudiante, serait une Mona, créature aux pouvoirs immenses ? Pourchassée par un clan de vampires, Deva devra comprendre qui elle est si elle veut survivre et protéger son unique amour.
Bon, il faut avouer que les tranches épaisses de ces deux gros pavés de plus de 500 pages chacun attirent méchamment l’œil posés à côté des Milady qui paraissent tous fins à côté. Ensuite, on tombe sur ces couvertures hideuses dignes des plus mauvais auto-édités et on rigole un bon coup. Puis on se rappelle qu’au rayon romance historique, romantica & co, c’est pas forcément mieux et qu’une couverture moche peut cacher un bon truc. Que, de toutes façons, 90% des bouquins romance ont des couvertures moches. Plus gênant, très peu de critiques en ligne, les existantes comparant la série à Twilight, ce qui donne cette fois carrément envie de fuir à toutes jambes.
Qu’à cela ne tienne, le début du premier est disponible gratuitement en ebook. Idéal pour savoir à quoi on a réellement affaire… Une chose m’a dérangé : soit la traduction est très très mauvaise (ce que certaines tournures de phrases laissent sérieusement penser), soit c’est le style d’origine qui l’est, mais malgré ça, j’ai eu envie de continuer.
A noter que l’auteure, Alice Hannah Kinney, a actuellement tout juste dix-huit ans !
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Vu le cadre des aventures de Tom Sawyer, c’est à se demander comment ça se fait que je ne me soie jamais penché dessus. « Je ne savais pas . » Je connaissais de nom ce classique du livre d’aventure, j’ai lu deux mangas en ayant été inspirés de très très loin… mais il aura fallu que je tombe sur cette édition-là en librairie pour devenir un peu plus curieux.se et réaliser que ça se passe sur les bords du Mississippi.
Pourquoi jeter mon dévolu sur l’édition de Tristram, plus chère que l’édition poche classique ? D’abord parce que certains poches ne contiennent pas le texte intégral, ensuite parce que Tristram a fait entièrement retraduire l’œuvre dans un esprit plus fidèle à la version originale.
Blart, un simple gardien de cochons, n’a pourtant pas le choix. Il doit obéir au sorcier Capablanca flanqué d’un chevalier ivrogne, un cheval volant, une princesse grincheuse et un nain coléreux. Une bande de bras cassés, pour sauver le monde ? Bon courage !
Dans le même esprit que les Chroniques du marais que pue, chez le même éditeur. De la light fantasy, donc (mais si, vous savez, Naheulbeuk ? Voilà, vous connaissez !).
J’ai hésité, hésité, hésité… puis, à dix euros le petit pavé de 300 pages même-pas-imprimé-gros, dans une édition avec dorures et couverture à rabats encore plus soignée que celle du Marais qui pue, j’ai décidé de laisser sa chance à Blart (alors qu’il me manque toujours la seconde trilogie du Marais…).
/!\ Le tome 3 étant épuisé /!\, je me suis aussitôt jeté dessus d’occasion, avant de récupérer le second dans la foulée. Si Blart vous intéresse, vous voilà prévenus, vous n’aurez accès à la fin de la série que tant qu’il y aura des volumes de seconde main…
… à moins que vous ne préfériez vous rabattre sur la VO, dont les couvertures sont en plus quand même BEAUCOUP plus belles :
« – Vous devez vous préparer à être assiégée ! »
Meg tremble en repensant aux derniers mots de son frère, parti pour tenter de repousser l’ennemi. Sa sinistre prédiction se révèle juste. A dix-sept ans à peine, Meg va devoir protéger le château familial avec une poignée de gardes, alors qu’elle n’y connaît rien en combat. Mais que peut-elle contre l’armée des MacDonald, bien plus nombreuse que ses propres hommes ? En bas des remparts, elle aperçoit déjà celui qui s’apprête à forcer leurs défenses. Une silhouette massive, des cheveux noirs comme les ténèbres, une épée maculée de sang… Le Loup de Lochaber. Sa réputation de guerrier sanguinaire est terrible, et Meg sait que, comme ses ancêtres avant lui, il est déterminé à récupérer les terres de Castle Fynn – en d’autres termes, sa dot. Et quelque chose, dans le regard intense et impérieux qu’il fixe sur elle, lui dit qu’il sera prêt à tout pour l’obtenir…
Trouvé chez le bouquiniste. Encore de la romance historique donc, cette fois-ci très très historique même, puisque cet aspect a été trop poussé au goût de certaines lectrices… Qu’importe, mettez-moi un beau ténébreux en face d’une héroïne loin d’être idiote, et je signe.
Ainsi débute le récit du capitaine Villon. Il lutte avec son équipage de pirates pour préserver sa liberté dans un monde déchiré par d’impitoyables perturbations temporelles. Son arme : le Déchronologue, un navire dont les canons tirent du temps.
La première fois que j’ai vu Le Déchronologue en rayon, la classification « SF » m’a rebuté : le truc sentait un peu trop l’OVNI pour risquer l’achat. Puis, comme les critiques s’accordaient presque unanimement sur le fait qu’il s’agissait beaucoup plus d’une histoire de pirates que d’autre chose, je me suis laissée convaincre.
L’autre particularité de ce roman vient de l’ordre décousu de ses chapitres : point de déroulement continu ici, mais un désordre total, où il vaut mieux soigneusement prêter attention à la date à chaque nouveau passage. Un ouvrage nécessitant donc d’aimer les puzzles et de faire un petit effort mental pour situer les évènements les uns par rapport aux autres.
Échaudée par les infidélités de son précédent mari, Glynis refuse de se laisser amadouer par un autre coureur de jupons. Mais Alex n’est pas n’importe quel séducteur…
Mis dans la rubrique « one-shot » car, comme souvent en romance et sous-genres, la série a un format épisodique, et que les trois autres tomes qui la composent ne m’intéressent absolument pas.
Récupéré pour pas grand-chose chez le bouquiniste en état quasi neuf, encore un de ces bouquins que je n’aurais jamais pris à plein tarif, mais que j’ai regretté trois semaines durant de ne pas avoir embarqué durant ma razzia. Par chance, il attendait encore sagement sur son étagère…
Jusqu’à cette nuit où, sous une pluie torrentielle, il vient au secours d’une mystérieuse jeune femme à la merci d’un enlèvement. L’aventure a commencé. À lui de justifier son surnom.
Si j’ai visionné Discworld, je n’ai jamais réussi à me plonger dans La Huitième Couleur et sa suite directe. Un ami me les avais prêtés, mais je n’avais pas été très loin, faute d’accrocher au côté porte-nawakesque et sans queue ni tête à l’extrême.
Bref, Roublard n’a rien à voir avec les Annales du Disque-Monde et a su, par son résumé accrocheur, me laisser donner une seconde chance à Pratchett… Les inconditionnels du Disque-Monde ont trouvé ça trop sérieux… avec un peu de chance, l’ouvrage va être pile ce que j’espère qu’il est ?
Un arbre tombe et c’est sur son pied qu’il s’écrase, le rendant boiteux pour toujours. Mais un jour, Odd délivre un ours pris au piège. Une quête fantastique commence pour lui, le fragile petit humain. Un voyage vers un pays de glaces, de géants et de dieux. Et ce monde attend quelqu’un de souriant, d’exaspérant, d’intelligent, de surprenant. Quelqu’un comme Odd…
Odd et les Géants de Glace, c’est le fameux livre acheté au petit cousin pour son anniversaire. Et comme il m’avait tapé dans l’œil, et que les stocks d’Amazon diminuaient dangereusement sans réassort prévu…
– Humpty Dumpty’s sister hires a private detective to investigate her brother’s death.
– A teenage boy who has trouble talking to girls finds himself at a rather unusual party.
– A boy raised in a graveyard makes a discovery, and confronts the much more troubling world of the living.
M is for Magic, ce sont dix nouvelles, plus ou moins courtes, selon l’auteur « tantôt effrayantes, tantôt drôles, parfois inclassables ».
La première fois que j’ai croisé M is for Magic, c’était dans le rayon VO de la librairie du coin, dans sa belle édition anglaise. Le fait qu’un bon cinquième du livre soit occupé par l’un des chapitres de Nobody Owens (également lu en VO il y a quelques mois) m’avait freiné. Mais en découvrant récemment que l’édition américaine n’est qu’à 3€50 sur Amazon…
Ce dédale souterrain est gardé par une armée de guerriers terrifiants… et par un terrible monstre.
Je n’ai toujours pas eu le temps de me mettre aux jeux (bien que Monsieur les possède). Il faut dire que vu l’inconfort que me procure la position assise sur une chaise, la ps4, je n’y joue qu’en remote play depuis la Vita…
… Par chance, il n’est semble t-il nul besoin d’avoir fait les jeux pour apprécier Uncharted – Le quatrième labyrinthe en tant que roman d’aventure classique.
Vous me connaissez, j’adore les Cussler, proposez-moi un truc dans la même veine et je prends.
Attention, malgré son titre, ceci n’est pas le début d’une nouvelle série, mais une suite à celle des Wickedly. Certaines blogueuses US qui n’ont pas lu la première trilogie se sont donc fait avoir, puisque ça spoile dans tous les coins et sans reposer les bases de l’univers. Donc, lecture préalable des trois Wickedly absolument indispensable.
Ouais, je sais, acheter le tome 3 avant d’avoir le 2, c’est concept. Mais il était à bas prix chez le bouquiniste, du coup, quitte à devoir acheter le second en neuf plus tard, autant en profiter pour boucler la première trilogie de la saga Clan Murray. J’ai beau avoir dit que je ne ferais pas la série… elle m’attire, la bougresse. Mais avec certains tomes épuisés en neuf, s’y mettre réellement risque d’être plus compliqué que prévu.
Pas grand-chose à dire, juste la suite des Cartographes fraîchement sortie, toujours un gros pavé (de près de 600 pages cette fois!), toujours une couverture aussi travaillée.
Avec un peu de chance le dernier tome ne mettra pas trop longtemps à nous parvenir.
La suite de Pax, achetée à sa sortie surtout pour soutenir l’éditeur, puisque pour rappel les tomes ne peuvent pas se lire en tant que one-shots et la série VO en est déjà à six… Et cette fois, la VO en question, c’est du suédois, donc si on veut avoir la fin, on donne gentiment 12€ à Slalom et on prie. Très fort.
Un livre que je n’ai PAS gagné lors du Masse Critique mais qui m’intriguait tellement que…
Bilan : c’est absolument génial et ça change du coloriage. Tout est dans la critique !
En effet, je fus brusquement réveillée par des coups sourds et répétés. On aurait dit que quelqu’un cognait à ma porte… Intriguée, je me redressai sur mon lit et j’allumai ma lampe de chevet : il était trois heures du matin. Qui donc pouvait taper à ma porte à pareille heure ? J’avais dû rêver. On n’entendait plus rien. Rassurée, j’éteignis, bien décidée à dormir jusqu à neuf heures, quand tout à coup les bruits reprirent, bientôt suivis de plaintes et de pleurs…
Gagné lors de l’édition d’Octobre de Masse Critique sur le site Babelio. D’habitude, seule une poignée d’ouvrages me tente, du coup, donc mes chances d’être tiré.e au sort sont généralement assez minces. Mais cette fois, pas moins de dix livres avaient piqué ma curiosité, et cette sélection massive a payé : même si Mademoiselle Blanche n’était pas en haut de ma liste, ça m’a fait plaisir de pouvoir le découvrir.
Bon, au final, même si le livre possède une très bonne ambiance, l’ensemble ne casse pas trois pattes à un canard, la faute à une histoire très convenue et un style d’écriture peu convaincant. Pour les détails, c’est dans ma critique (lien ci-dessus).
Revendu peu après, je savais que je ne le relirais pas.
Lys tigré et ciel de feu.
… deux nouveaux. Leigh, précommandé depuis un bail. Je craignais être rebuté par ses gros sourcils mais finalement, il est adorable. Puis Kristoff, en guise de cadeau d’Halloween. Faut avouer qu’il est choupi.
Niveau photo, il y a d’abord eu >un shooting random avec Khamsin qui a donné sa photo de présentation< (qui aurait dû ressembler à tout autre chose...) ; les photos d'arrivée de Leigh (qui ne sont pas d'une qualité terrible, mais j'adore la lumière) ; quelques photos rapides pour le 4e anniversaire de l'arrivée de mini-Opium ; des clichés random de Sonico et enfin >le shooting d’Halloween avec Sorbet<, ma Kikipop choupikawaii au sujet de laquelle tout le monde se demande ce qu'un truc pareil fout chez moi x) Bon, il y a eu en réalité bien plus de séances photos que ça, mais le résultat ne valait vraiment pas le coup d'être posté.
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