Bilan d’Octobre 2018, partie 1 – « généraliste »
Posted By /*php the_author_posts_link(); */?>Svet Mori le 1 novembre 2018
Un mois particulièrement riche en arrivages, grâce à l’occasion et aux suites de séries, mais avec assez peu de craquages déraisonnables au final. En revanche, niveau photo, ça a été du très très lourd ; l’appareil a été de sortie presque tous les jours.
Le NaNoWriMo commence aujourd’hui, mais en toute franchise je doute être en état de le faire cette année. Rien que rester derrière mon Pc me fait mal en ce moment, et souvent je dois l’éteindre à la mi-journée. Bref, à part préparer cet article, son pendant spécialisé et retoucher des photos, je n’ai pour ainsi dire rien foutu cet Octobre…
Un mois à peine moins prolifique que le précédent, avec de la romance, du thriller et la relecture d’un classique que je n’avais ni noté ni critiqué lors de sa première lecture il y a quelques années. Il y aurait même eu une critique en plus si mon mal de dos n’avait pas ralenti ma lecture en cours…
Si le temps vous manque pour jeter un œil à tout ça, sachez que le livre à retenir du mois est en toute logique le coup de cœur Le diable et son valet.
La fée des dents
Le Château des Carpathes
Le prix de son innocence (voir ci-dessous)
♥ Le diable et son valet
🔞 LovEroticArt (artbook) (pour adultes)
Piégée par le cheikh
Une union sulfureuse
Avec des lectures aussi variées, je n’ai pas eu de mal à grappiller quelques points au défi PKJ.
Bon, vous commencez à avoir l’habitude, loot coupé en deux, le lien vers l’article spécialisé « romance orientale » juste avant la partie photos (spoiler : c’est du LOURD).
Pour le reste, ce mois-ci, une grosse majorité de romance (aussi bien paranormale que contemporaine ou historique). Une overdose de guimauve tempérée par le très politiquement incorrect Allez tous vous faire foutre et le bouquin flippant du moment : Le signal de Maxime Chattam.
Enfin, le petit trésor de ce mois-ci est le polar Off course, parce que les romans ayant pour cadre le monde des courses automobiles sont vraiment trop rares !
Chose rare, pas de nouvelle série ce mois-ci !
Dégotté à la (nouvelle) bouquinerie. Après les romances écossaises et les romances vikings, voilà… *le mélange des deux*. Du coup, pourquoi pas ?
Ce titre français de la honte, bon sang de bois… >_> Bon, au moins, ça a le mérite d’annoncer directement la couleur et de donner une idée de l’histoire lorsqu’on ne voit que la tranche à la bouquinerie. Comme quoi, ça fonctionne.
– Les miennes ne sont pas très réussies.
– Avec un peu d’entraînement, elles seront parfaites.
Enfonçant les mains dans ses poches, il regarda le ciel avec un sourire satisfait.
– Rien n’est jamais parfait. C’est toute la beauté du monde.
Ça résume parfaitement ce bouquin : pas parfait non, mais vraiment plaisant.
Trouvé à la nouvelle bouquinerie. J’aime bien les romances royales, donc…
Katrine est désespérée. Depuis que l’Angleterre a imposé un embargo sur la vente de laine, son commerce est en péril. Son père n’étant plus là pour la protéger, elle est prête à tout pour conserver son indépendance et se soustraire à la cupidité de son oncle. Alors quand, après neuf mois d’angoisse, un mystérieux contrebandier lui propose de lui fournir de la laine anglaise, elle est tentée d’accepter. Quitte à faire affaire avec cet inconnu au charisme troublant, qui n’a que sa parole à offrir. Un inconnu qui exige, en plus du prix de la marchandise, d’être hébergé chez elle…
Repéré il y a quelques semaines sur le site des éditions Harlequin… Le truc, c’est que dans l’intervalle, la version papier n’était plus disponible ! Heureusement, on la trouve facilement en occasion sur le net.
L’histoire m’avait tout de suite emballé. Comme pour L’escroc de mon cœur, c’est la faiblesse face aux bad boys qui parle.
Héritière du prieuré de Sandrock, Aphra n’a qu’un seul désir : jouir de l’isolement du lieu pour faire la lumière sur la disparition brutale de son oncle. Le trépas de l’éminent pharmacien serait-il lié à la fuite précipitée de son disciple Léon Datini, avec lequel Aphra entretenait une liaison passionnée ? Bouleversée par cette hypothèse, elle se méfie aussitôt de l’homme qui se présente un jour à la porte du monastère pour lui demander l’hospitalité. Santo Datini, séduisant palladien aux yeux de grès, se trouve en effet être le frère de Léon ! Peut-elle le croire, lorsqu’il lui assure ne chercher qu’un toit, avant de gagner une nouvelle ville de Vénétie pour son commerce ? Si elle est sûre que Santo lui cache quelque chose, Aphra décide pourtant de l’accueillir chez elle, résolue à percer le mystère qui la tourmente…
Il était peut-être trop tard pour Un mystérieux hors-la-loi, mais pas pour celui-là. Un historique avec un meurtre à élucider, ça donne envie, forcément. Et comme il ne me manquait que quelques euros pour obtenir les frais de port à 1 centime avec ma grosse commande de romances orientales…
Précommandé le mois dernier. Le résumé m’a tout de suite séduit.e. le décor exotique en lui-même aurait suffi, mais l’intrigue est également prometteuse…
Pour une raison qu’il ignore, il semble avoir éveillé la colère d’Abaddon, le chef d’une gigantesque armée de fanatiques religieux pratiquant le sacrifice humain afin d’apaiser les Pierres de Sang, morceaux d’étoiles dotés d’étranges pouvoirs.
Mais Abaddon a commis une erreur : il a enlevé la seule femme qui compte aux yeux de Jon Shannow. Pour la sauver, l’homme errant est capable de remuer le ciel et la terre… et l’enfer.
La réédition en poche figurait sur ma wishlist officieuse. Alors, tomber sur la non moins jolie intégrale « édition 10 ans » à 3€80 et en parfait état à la nouvelle bouquinerie, c’était un sacré coup de chance !
Vingt-quatre heures d’un récit haletant, au rythme de la course et d’une vengeance implacable.
Dégotté par hasard en regardant les livres sur le thème des courses automobiles référencés sur Babelio. C’est fou comme il y a peu de romans sur le sujet…
… Comble de la poisse, le truc est bien évidemment devenu introuvable, hormis quelques anciens exemplaires de bibliothèque d’occasion. Or, pour moi qui suis maniaque, les livres de biblio avec les tampons et les étiquettes partout, c’est un cauchemar. Sauf que là, il n’y avait pas le choix. C’était ça, ou se ruiner…
À en croire le poète, « il vaut mieux avoir connu l’amour, quitte à le perdre, que n’avoir jamais aimé du tout… » Louna, dix-sept ans, est loin, bien loin, d’en être si sûre – et quand on connaît son histoire personnelle, difficile de le lui reprocher. Ironie du sort, elle qui a appris à la dure que les happy ends ça n’existe pas, passe son dernier été avant la fac à jouer… les assistantes wedding planners aux côtés de sa mère !
Le meilleur comme le pire l’attendant, de mariages désarmants d’émotion en désastres organisationnels, de témoins qui font leur diva en belles-mères obsédées du détail. Jour après jour, Louna va devoir se confronter au cynisme de sa mère et aux pitreries de ses collègues d’un été, mais surtout au souvenir obsédant d’une nuit parfaite, un an plus tôt à peine, qui la ronge comme l’acide un peu plus chaque jour… A l’autre bout du tunnel, il lui faudra sortir indemne – et peut-être même victorieuse, qui sait – des obstacles grands et petits que le destin a placés devant elle.
A la base, je ne me serais pas forcément intéressé.e à Once and for all s’il n’y avait pas eu >la critique de BettieRose<. Ce qui m'a donné envie, c'est surtout le cadre de l'histoire, à savoir le petit monde des wedding planners : ces gens qui passent leur vie à se prendre la tête pour que le plus beau jour de celle des autres soit parfait.
J’avais aussi envie d’une lecture feel good, d’un truc résolument positif.
… De la même façon, j’étais voué à prendre When it’s real tôt ou tard pour les mêmes raisons. On se doute de comment ça va finir dès le résumé, mais le chemin promet d’être mouvementé !
(Et sinon, la couv’ est absolument magnifique.)
Grosse erreur.
Énorme erreur.
Si Jack est un type vraiment très cool, il est aussi vraiment très barje.
Paix à leurs âmes.
Gagné grâce à l’opération Masse Critique de Babelio. Bon, vous me connaissez, une entrée en matière comme ça, ça m’attire comme un pot de confiote attirerait des fourmis.
Au final, c’était plutôt soft, bien plus que Servir Froid de Joe Abercrombie par exemple. Et si le truc regorge de bonnes idées, sa narration assez spéciale en fait un livre qui ne plaira clairement pas à tout le monde.
Repéré à la bouquinerie, sans avoir osé le prendre… Puis, finalement, l’extrait m’a convaincu.
L’histoire a l’air réellement axée autour de l’archéologie, donc si c’est bien géré, ça pourrait en faire une très chouette romance.
Lorsque Jonas Halstead lui propose ce marché, Kat est troublée. Épouser le séduisant milliardaire avec qui elle a eu une brève aventure et incarner son épouse durant un an, le projet aurait tout pour la séduire. Tout, si le contrat ne stipulait pas qu’aucun sentiment n’était permis entre eux… alors que le regard de braise de Jonas lui fait déjà bien trop d’effet…
Pour le bonheur de sa fille
Aider un père perdu et sa fille de quatorze ans à créer des liens, Ash ne demandait pas mieux. Elle qui a toujours aimé secourir les familles en détresse au sein du ranch de Cedar River qu’elle dirige, se retrouve pourtant démunie. Cole Quartermaine ne vient-il pas de lui dire qu’il voulait arrêter cette thérapie familiale sans lui fournir aucune explication ? Peut-elle encore le retenir alors qu’il doit quitter les lieux demain et qu’il se montre étrangement glacial avec elle depuis leur dernier tête-à-tête ?
Honnêtement, je ne voyais pas grande différence entre les résumés de la collection Azur et de la collection Passions… Du coup, comme les deux histoires de ce volume avaient l’air sympa, je me suis laissé tenter, pour tester.
Si ce n’était de vieilles rumeurs de sorcellerie, ces communications téléphoniques brouillées par des cris inhumains, ce quelque chose d’effrayant dans la forêt qui pourchasse leurs adolescents, et ce shérif dépassé par des crimes horribles.
AVEZ-VOUS DÉJÀ EU VRAIMENT PEUR EN LISANT UN LIVRE ?
Quand un auteur a envie de coller les miquettes à son lectorat, ça donne ça. Pour avoir déjà lu Les Abysses du Temps (>même que c’est plutôt cool<), je sais de quoi Chattam est capable et c'est précisément pour ça que j'ai plutôt confiance en lui pour avoir réussi son coup. J'espère en tout cas, parce que je n'ai *jamais* eu peur en lisant un livre !
ENFIIIIIIIIIN.
Sérieusement, j’ai cru qu’on y arriverait jamais. Après le tome sorti en Avril, ceux-ci auraient dû sortir respectivement en Mai, Juin et Juillet, puis le tout a été reporté à mi-Août et enfin à mi-Octobre. Autant dire que jusqu’au dernier moment, j’ai cru à un nouveau report…
… Surtout que contrairement à mes préco habituelles, ceux-ci n’ont pas été expédiés en avance. Le tome 6 était même indiqué « épuisé » le jour de la sortie… De quoi occasionner un joli petit coup de flippe. Finalement, le tout a été expédié le lendemain. A la bourre donc, mais à ce stade, tout ce que je demandais, c’était d’avoir la série complète et basta.
Le tome était plus joli en grand format avec les effets argentés, mais que voulez-vous, c’est ça que d’être radin (et pauvre).
Ça aura mis le temps mais voilà, une autre série de terminée ♥
Honnêtement, j’espère qu’on s’approche de la conclusion parce que 7 tomes, ça commence à faire beaucoup. Je ne m’attendais pas à ça en commençant la saga, j’ai fait l’impasse sur le spin-off en espérant ne rien louper… maintenant, si le volume suivant pouvait être le dernier, ça m’arrangerait.
Prudemment, Niall s’avance dans l’appartement voisin du sien et prend dans ses bras le nouveau-né posé dans un transat sur la table de cuisine, dont les cris persistants l’empêchent de dormir depuis plus d’une heure. Tout en berçant l’enfant, il tente de faire le point sur son étrange découverte : pourquoi Lucy, sa jolie voisine, a-t-elle quitté son appartement en pleine nuit en laissant sa porte ouverte ? Et, surtout, à qui peut bien être ce bébé, puisqu’il croise Lucy chaque jour et sait pertinemment qu’elle n’a pas d’enfant ?
Mission clandestine
Blottie dans les bras de Shane, Makena laisse peu à peu sa terreur s’apaiser. Dire qu’il a fallu qu’elle se fasse agresser chez elle pour que le meilleur ami de son frère vienne à son secours et semble enfin la remarquer ! Pourtant, tandis que Shane lui murmure des paroles de réconfort, Makena sent un malaise diffus l’envahir. Car cet intérêt soudain semble s’accompagner d’un très fort instinct protecteur. Et, si elle souhaite plus que tout être aimée de Shane, en aucun cas elle n’est prête à lui parler de l’enquête qu’elle mène en secret : une mission qui vise à dénoncer les faux héros de guerre et qui la met en danger quotidiennement…
Offert par les éditions Harlequin pour la découverte de la collection Black Rose. J’ai eu beau expliquer au gentil démarcheur que je n’avais pas les moyens de payer deux abonnements, il m’a convaincu de prendre le colis de bienvenue « puisque c’est gratuit »…
… faut pas me proposer des livres gratuits, parce que forcément j’accepte xD
Mais il n’était pas envisageable de dire non à sa petite sœur le jour de son mariage. Et c’est ainsi que, vêtu de son costume de garçon d’honneur, il se retrouvait face à la foule émue qui emplissait l’église.
De base, ce n’est pas forcément le Black Rose que j’aurais choisi, encore moins la première histoire. Plot twist : celle-ci n’est pas parfaite mais est en réalité bien meilleure que la seconde, qui souffre d’un héros tête à claques et d’une narration plombée par de nombreuses répétitions.
IL N’EN MANQUE PLUS QU’UN !!! Finalement, ça passe plutôt vite. Je n’ai pas l’impression d’attendre depuis bientôt un an, et pourtant…
BON. Avec ce 2/10, la raison du désherbage de la série en Juillet 2024 vous semblera évidente. (Plus encore si vous lisez la critique.)
… Également trouvé d’occasion. C’est moins l’histoire que le cadre qui m’a intrigué.
Finalement, le décor, on ne le voit pas du tout. A la place, l’autrice a exploité au maximum le peu d’espace dont elle disposait pour développer correctement l’idylle naissante entre ses personnages.
Ceci dit, avec le recul, je ne l’aurais pas relu. Donné à ma mère en Février 2023.
… ça a été du lourd ce mois-ci !
Bien évidemment, il y a eu les habituels couchers de soleil…
2018.10.27 – Like a dream by Poison, sur Flickr
… de la macro de gouttes m’ayant accidentellement fait découvrir que mon petit appareil était capable de faire du bokeh…
… ainsi que des photos en conditions extrêmes. Oui, encore plus extrêmes que le mois dernier : dans une obscurité quasi-complète, avec juste une petite loupiote jaune éclairant les platines.
Dans cas cas-là, deux options : faire des photos cramées au flash (ce qu’a fait le photographe officiel de la soirée) ou monter en ISO et sauver ce qui peut l’être en post-traitement.
Il y a deux écoles vis à vis du flash. Ceux qui disent qu’il n’est pas là pour décorer, et ceux qui jamais ô grand jamais ne s’en serviront. Perso, je tombe dans la seconde catégorie. Alors oui, c’est pratique quand tout bouge (le sujet, le sol…), mais je ne suis pas à l’aise avec. Ça crame tout. Ça annihile toute profondeur. Et oubliez toute idée de jeux de lumière. Bref, pour faire « des photos » pourquoi pas, mais « de la » photo, hors de question. Donc, forcément, j’ai eu du mal à me résoudre à faire quelques tofs au flash en désespoir de cause, préférant pousser mon appareil dans ses derniers retranchements. 1600 ISO (alors que déjà, 800 avec mon appareil c’est à n’utiliser qu’en cas d’extrême nécessité), 1/25s faute de pouvoir monter plus haut, et mes réglages habituels en matière de balance des blancs.
SAUF QUE. Juste avant que le set de l’ami que nous étions venus voir ne commence, j’ai eu un moment de panique. La basse lumière, c’est ma bête noire, et comme c’était un moment important pour lui, j’avais tout sauf envie de foirer. J’ai passé cette foutue balance des blancs en auto. J’aurais pas dû. Si les photos du set précédent faites avec mes réglages se sont avérées tout à fait récupérables, en dehors des photos dégueu au flash celles du sien ont été à peine sauvables.
La prochaine fois, je me ferai davantage confiance…
Bon, si ça a été un naufrage photographique pour moi, notre ami lui s’en est très bien tiré sur le plan musical et la salle l’a applaudi à la fin. J’en retiens surtout Back to the old school de Zatox, qu’il avait déjà passée à St Viaud en début d’année, et surtout Flame Up High d’Adaro (faut être breton pour comprendre l’impact que cette track peut avoir ici xD). Bref, c’était très très cool et Monsieur et moi espérons le revoir derrière les platines un de ces quatre !
Dr B-Core / Stunter
… deux nouveaux ce mois-ci, imprévus et gracieusement offerts par mon chéri. Jasmine doit son arrivée à une promo sur ShopDisney (le nouveau nom du Disney Store en ligne). La belle me tapait dans l’œil depuis un certain moment, sans être une priorité…
… quant à Dark Pit, il squattait ma wishlist depuis trois ans, après que le perso soit devenu mon main dans Smash Bros. Alors certes, j’ai soufflé l’idée à Monsieur pour nos cinq ans ensemble, mais reste que ce cadeau a du sens, parce qu’avant de le connaître, moi et les jeux Nintendo, ça faisait douze.
Sans lui, JAMAIS je n’aurais acheté Smash ; s’il ne m’avait pas si bien vendu Zelda BotW, je ne me serais pas pris une Switch (je faisais même partie des grogneurs initiaux) ; si je ne l’avais pas regardé jouer à Yoshi’s Wooly World ni aux jeux Mario, je n’aurais pas fini par tomber dedans (et pas qu’un peu : Odyssey, kart, golf…). Bon, lui de son côté n’est pas devenu pro-Sony, apparemment, ça ne marche que dans un sens… xD
Bref, mi-Août, je recevais une alerte Tsuki pour la mise en vente d’un Dark Pit neuf en boîte scellée à un prix tout à fait raisonnable. D’habitude, je supprime d’office ce genre de notif, mais pour une fois, j’ai laissé traîner, hésitant, mais-non-c’est-pas-raisonnable… Un mois et demi plus tard, il était toujours en vente… et voilà.
Dark Pit – Black Angel by Poison, sur Flickr
Enfin, il y a eu la traditionnelle photo d’Halloween. Comme en 2014 et 2015, c’est sur Russell, le perso dans le thème, que c’est tombé.
Vous noterez que même plus peur des photos dans le noir
Russell – Happy Halloween 2018 by Poison, sur Flickr
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