Bilan de Septembre 2018, partie 2 – spécial romance orientale
Posted By /*php the_author_posts_link(); */?>Svet Mori le 30 septembre 2018
Ce loot romance orientale s’avère nettement moins costaud que celui du mois dernier… mais néanmoins plus que certains loots généralistes déjà postés sur le blog !
En parlant de loot généraliste, si vous ne l’avez pas encore lu, vous pouvez y accéder en cliquant sur l’image ci-dessous :
Et maintenant, place à la suite ! Pas de packs éditeur cette fois-ci, mais de l’occasion, des promos et des précommandes !
Manque sur la photo l’achat tardif « Sous l’emprise d’un cheikh »
A la base, j’avais écarté ce tome de ma sélection mensuelle, parce que les histoires de famille, d’enfants cachés&co, c’est tout sauf ma tasse de thé. Mais dans la perspective où les volumes suivants m’intéresseraient, je me suis dit autant avoir la collection complète.
En plus, avoir des a priori négatifs sur une histoire à cause de certains aspects alors que je sais qu’elle peut me plaire grâce à d’autres, c’est pas dans mes habitudes…
Même si tous les Ispahan ne sont pas disponibles en occasion, il est parfois possible de trouver les nouvelles séparément dans leurs anciennes éditions. C’est comme ça que j’ai récupéré La revanche du sultan version 2006.
Face au cheikh Rashid al Harum, dans son royaume du Quishari, Bethanne retient son souffle. Voilà que ce prince ténébreux et autoritaire la tient pour responsable de la fuite de sa fiancée ! De toute évidence, il n’est pas le genre d’homme à supporter qu’on l’éconduise… Ni à essuyer un refus. Alors, quand il exige de Bethanne qu’elle remplace sa promise et l’épouse, la jeune femme est désarmée. D’autant que, en dépit de la situation, elle ne peut empêcher son cœur de s’affoler à chaque regard brûlant que lui lance Rashid…
Un refuge au Quishari
Pour fuir sa famille et son passé, Ella s’est réfugiée au Quishari, un paradis de sable chaud et de jardins luxuriants, où elle est enfin heureuse. Du moins, jusqu’à l’arrivée du cheikh Khalid al Harum. Cet homme mystérieux et solitaire — qui se présente comme le nouveau propriétaire de la maison qu’elle occupe — la somme en effet de quitter les lieux sans tarder. Un ordre auquel Ella refuse d’obtempérer. Personne ne lui dictera sa conduite ! Pas même un prince au regard envoûtant…
Un achat d’occasion datant du mois dernier, réceptionné au début de celui-ci. J’aime bien quand les recueils sont composés de livres de la même auteure et situés dans le même « univers », comme dans la collection Sagas.
Figurait dans les romances orientales à petit prix du début du mois. Donc, évidemment, comme le résumé semblait prometteur…
Là encore dans les promos de début de mois. Je ne l’aurais jamais découvert autrement vu le nombre faramineux d’Azurs sortis depuis (11 par mois !) et ça aurait été dommage, parce qu’Olivia a l’air de savoir ce qu’elle veut, tant en cheffe d’état qu’en tant que femme.
Et une petite histoire compliquée, une ! Là encore eu à petit prix, là encore une histoire que j’aurais regretté de n’avoir pas pu découvrir.
Un plot classique, mais néanmoins toujours efficace. Dans la sélection des promos, je n’allais pas résister.
Megan est furieuse : au sein du cabinet d’affaires où elle travaille, voilà qu’on lui annonce que son futur client, le richissime émir Qasim, refuse de collaborer avec elle sous le prétexte qu’elle est une femme. Pour elle, un tel machisme est inconcevable. Qasim figure peut-être parmi les hommes les plus séduisants au monde – à ses yeux, il est surtout l’un des plus rétrogrades qui soient ! Alors, altesse ou pas, Megan a bien l’intention de lui dire sa façon de penser !
Amoureuse d’un cheikh
En partant pour une mission humanitaire en Asie centrale, Lana n’imaginait pas y retrouver son amour de jeunesse, le beau Tarek, cheikh de la tribu d’Aram. Ensemble, ils ont vécu une folle passion avant que Tarek, rappelé par le devoir, ne retourne dans son pays en guerre. Si Lana est heureuse de le revoir, Tarek en revanche, avec son regard dur, ne semble plus être le même homme…
Celui-là, je l’ai payé plein pot pendant qu’il était encore dispo sur le site éditeur. Les deux histoires donnent envie, mais plus particulièrement la seconde.
Pris d’occasion. C’est pourtant une sortie assez récente… mais il était déjà trop tard.
Si jamais le travail des protagonistes fait partie prenante de leur histoire, la recette pourrait bien s’avérer savoureuse.
En mission au Datar, un petit émirat du Moyen-Orient, Bethany redoute d’y revoir le cheikh Razul, avec qui elle a eu une liaison orageuse, quelques années auparavant, avant qu’il rentre dans son pays pour en devenir le chef. Cependant, elle est loin de se douter que, dès son arrivée, des hommes armés vont la conduire de force dans le palais du prince qui, en attendant de faire d’elle sa seconde épouse, la fait enfermer dans son harem !
Prince et pédiatre
Engagée comme médecin privé d’une riche princesse orientale, Alexandra est accueillie dans le somptueux palais de sa patiente par le fils de celle-ci, le puissant cheikh Azzam Ghalid ben Sadiq. Un homme fier et ténébreux qui se montre froid à son égard, comme s’il voulait à tout prix garder ses distances. Des distances qu’Alex rêverait d’abolir, car elle se sent chaque jour plus attirée par ce souverain inaccessible…
Oui, oui, moi aussi, je me suis marré.e la première fois que j’ai lu le titre de la seconde nouvelle. Et le plus beau, c’est qu’en VO, c’est encore pire… (Au passage, l’auteure semble spécialisée dans la romance orientale hospitalière. Plus « de niche » que ça, tu peux pas test.) … Vous l’aurez compris, c’est surtout la première histoire qui a motivé l’achat, et si le tome n’avait pas été en promo, je ne l’aurais sans doute pas pris. Déjà que j’ai hésité… Mais, comme toujours, il faut se méfier des apparences et il se peut que la (bonne) surprise soit au rendez-vous. Affaire à suivre !
A la mort de sa mère, Eva apprend avec stupeur qu’elle est liée à la famille princière des Azharim, et qu’on veut lui faire épouser un homme qu’elle n’a jamais vu, le cheikh Karim Al-Nasr ! Impossible d’accepter une telle union de convenance, songe aussitôt Eva, effarée. Mais ne lui est-il pas tout autant impossible de renoncer à cette famille qu’elle vient de se découvrir, alors qu’elle a toujours souffert d’être une enfant unique ?
Dans les bras d’un cheikh
Traiteur de talent, Emily s’est bâti une solide réputation auprès de la riche clientèle de Manhattan. Aujourd’hui, elle a un nouveau défi à relever : organiser un dîner pour le compte du plus bel homme qu’elle ait jamais rencontré. Un homme au regard énigmatique et brûlant, dont elle ignore encore qu’il s’agit du cheikh Madani Abdul Tarim…
L’enfant du désert
C’est avec la ferme intention de se montrer le plus froide possible avec le cheikh Salim Al-Mansour que Celia a accepté de travailler pour lui. Car elle ne lui a jamais pardonné la manière brutale dont il l’a quittée quelques années plus tôt et, surtout, elle veut à tout prix lui cacher l’existence de leur enfant…
… Celui-ci aussi était à petit prix. La variété des trois histoires m’a incité.e à me laisser tenter.
Dans ma bouquinerie, il y a manifestement une abonnée Harlequin qui revend très vite les Azur dont elle ne veut pas… Celui-ci date d’Août, mais il y avait carrément des sorties de Septembre sur l’étagère !
Donc non, les histoires de grossesse et d’enfant caché ne sont toujours pas ma came, mais à 1€30, ça ne coûte pas grand-chose d’être curieux.
La seconde précommande de ce mois-ci. Oui, maintenant, tous les 20 du mois, j’écume minutieusement le site des éditions Harlequin à la recherche des sorties à venir pour ne pas me retrouver le bec dans l’eau trois mois plus tard. x)
Un achat d’occasion à la nouvelle bouquinerie. La seule romance orientale dans le volumineux lot d’Azur…
Le résumé donne vachement envie, après, je n’avais pas vraiment accroché à Prisonnière du cheikh de la même auteure, alors… on verra bien.
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