[JV] Test – Summer Paws (Switch)

Posted By Svet Mori le 27 juin 2021

Tous les propriétaires de chats le savent, même lorsque l’on habite dans un placard, ce p*** de chat trouvera toujours moyen de disparaître pour causer à ses humains de longues heures d’angoisse, pendant que cette bête machiavélique roupille dans un coin tranquille auquel l’on ne penserait jamais. Eh bien, Summer Paws, c’est ça : des chats qui piquent un somme dans des décors enchanteurs, que vous allez devoir examiner minutieusement.



Le petit studio polonais Manic Hyena n’en est pas à son coup d’essai puisque deux autres opus sont précédemment sortis sur Pc. Toutefois, ce troisième volet est à l’heure actuelle le seul disponible sur Switch. De toutes façons, les titres sont indépendants et il n’est absolument pas gênant de commencer par cet épisode de saison.

Bienvenue dans un monde où les chats vivent leur meilleure vie

Vous connaissez « Où est Charlie » ? Eh bien, Summer Paws en reprend globalement le concept. Si certains poilus sont placés bien en évidence, d’autres en revanche se sont habilement planqués et seule la manipulation de la caméra pour observer le décor sous différents angles vous permettra de les trouver. Mais ce n’est pas tout : vous aurez également parfois besoin d’interagir avec celui-ci ! Soyez curieux, testez tout ce qui est susceptible de s’ouvrir : valises, volets, tonneaux, etc.

Parfois, vous trouverez même plus que des chats

Les dix-huit îles du jeu sont de taille variable et plus ou moins croissante. Évidemment, les premières îles visitées sont plutôt petites et rapides à parcourir, là où les dernières sont plus étendues. La « difficulté », si tant est qu’on puisse utiliser ce mot dans un jeu aussi chill, va de paire : d’île en île, certains félins vous donneront parfois vraiment du fil à retordre.

Chaque île possède une identité visuelle et une atmosphère propre ; jusque dans la musique, toutes ne partageant pas les mêmes morceaux, dans l’ensemble très reposants et parfaitement adaptés. Si, sur le plan technique, le jeu reste assez sobre, esthétiquement parlant par contre, le dépaysement est assuré. Îles tropicales diverses, phare, camping dans les bois, serres… Perso, j’ai eu un énorme coup de cœur pour celle avec le concert, à cause de la lumière. Chacune raconte une histoire et bien que les chats soient assez statiques, leur placement suffit à rendre certaines scènes évocatrices.

Certaines îles sont vraiment très belles, comme le marché et ses lampions

Outre nos amis à quatre pattes, il vous sera aussi demandé de repérer des coquillages. Bien que ceux-ci soient plus petits, ils sont en réalité plus facile à trouver : d’une part grâce à leurs couleurs vives, ensuite parce qu’ils sont toujours dissimulés au bord de l’eau.

La première île, minuscule, fait office de tutoriel

Bien qu’il ne soit pas forcément très long, le jeu permet tout de même de s’amuser au minimum l’espace d’un après-midi. A titre indicatif, il m’a fallu un peu moins de trois heures pour en voir le bout en ayant tout trouvé. Si vous bloquez, sachez qu’il n’est pas nécessaire d’avoir tous les chats pour passer d’une île à l’autre et que vous pouvez revenir sur les précédentes à tout moment via le menu principal pour choper ceux qui vous manquent. A l’inverse, pour les amateurs de challenge, il est possible de cacher les jauges indiquant ce qu’il vous reste à découvrir ! Une fois le 100% atteint, une option vous permet d’effacer votre progression si vous voulez refaire une partie.
Pour 2€79 en promotion (3€99 en temps normal), on en a largement pour son argent.

Si vous recherchez un jeu détente auquel il est possible de jouer autant par courtes sessions qu’en le finissant d’une traite, avec des plantes, des chats partout et des musiques apaisantes, Summer Paws se pose en candidat idéal.

Espérons maintenant un portage des deux autres épisodes sur Switch !

Pour en savoir plus :

Site officiel
Page eShop du jeu
Twitter du développeur

About the author

Svet Mori
Auteur de romance fantasy et paranormal romance, photographe, brodeur, buveur de Monster. Au service et à la merci d'une lapine bouffeuse de futals nommée Myrtille, collectionne entre autres les livres, les dolls et la poussière.

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