Bilan d’Avril 2017
Posted By /*php the_author_posts_link(); */?>Svet Mori le 2 mai 2017
J’ai craqué. Beaucoup. Habituellement Avril n’est pas très propice au shopping NaNoWriMo oblige, mais là, la santé n’a pas suivi et c’est donc sur un petit 24432 mots que le mois s’est terminé. Ceci dit, c’est toujours 24k mots qui n’existaient pas il y a trente jours. Et le début d’un nouveau roman (qui n’est même pas encore listé sur la page « projets », cherchez pas).
Bref, pendant ce temps, j’ai stocké. Avec deux grosses razzias dans le mois et quelques petits achats isolés. Autant dire que tout faire tenir sur une photo n’a pas été évident.
Mais voilà qu’un vampire sollicite leur aide après avoir été envoûté par un inconnu, tandis que d’étranges incidents surviennent dans une usine dont les ouvriers sont des zombies… Tanit et Padmé pensaient mener des enquêtes de routine, mais leurs découvertes vont les entraîner bien au-delà de ce qu’elles imaginaient. En effet, à Jarta, les créatures de l’ombre ne sont pas les plus dangereuses…
Sorcières associées est, à l’instar des Chroniques de l’étrange, un coup de cœur immédiat. Entre la sublime couverture et le résumé pas piqué des hannetons, je n’ai jamais reposé ce livre sur sa pile (et même pas cherché à en extirper l’exemplaire le plus nickel, c’est dire) !
C’est le quotidien de Johnny Kwan, exorciste. Mais quand un richissime amateur d’antiquités fait appel à lui pour récupérer un manuscrit de sorcellerie volé dans de mystérieuses circonstances, il ignore que de la réussite de son enquête dépendra l’ordre de tout ce qui vit sous le Ciel.
Atteint par la perte de son mentor Eric Tse, illustre exorciste brutalement assassiné, Johnny devra naviguer entre rois-dragons avides et triades vengeresses, mais également combattre ses propres démons.
Les tomes des Chroniques de l’étrange se remarquent en rayon : format semi-poche, couverture cartonnée satinée et illustrations de couverture foutrement stylées.
Le résumé m’a immédiatement fait penser à l’excellente série Kakurenbô : un exorciste badass, un univers urbain contemporain, des embrouilles avec les créatures surnaturelles du coin.
Il n’en a pas fallu plus pour me faire embarquer les deux tomes sur-le-champ !
Le troisième et dernier devrait en principe sortir cet automne.
Pour Durzo Blint, l’assassinat est un art et il est l’artiste le plus accompli de la cité, grâce à des talents secrets hérités de la nuit des temps.
Pour Azoth, survivre est une lutte de tous les instants. Le petit rat de la guilde a appris à juger les gens d’un seul coup d’oeil et à prendre des risques – comme proposer à Durzo Blint de devenir son apprenti.
Mais pour être accepté, il doit commencer par abandonner son ancienne vie, changer d’identité, aborder un monde d’intrigues politiques, d’effroyables dangers et de magies étranges, et sacrifier ce qui lui est le plus précieux…
Les rééditions à bas prix chez Bragelonne/Milady, c’est toujours un petit évènement en soi : on trouve en général une tonne de trucs intéressants dans la liste… Le résumé de La Voie des Ombres m’a séduit illico et si j’étais tombé.e dessus plus tôt, nul doute que je n’aurais pas hésité à le prendre à plein tarif.
Au vu des critiques hyper positives et de mon faible pour la « fantasy à capuche », puisque les deux autres volumes étaient en rayon, je les ai récupérés moins d’une semaine plus tard.
Bon à savoir pour ceux qui voudraient découvrir l’univers sans prendre de risque, le premier tome (celui réédité à moins de 4€ donc) est auto-conclusif. En revanche, pour ceux qui voudraient continuer, ce n’est apparemment pas le cas du second (donc c’est soit un tome, soit les trois, mais pas deux). Il existe également une préquelle, L’ombre parfaite, que j’ai acquise plus tard.
Mais lorsqu’une terrible tragédie le frappe, le jeune Arlen décide qu’il ne veut plus vivre dans la peur : il quitte sa ferme et part sur les routes en quête d’un moyen de se battre contre les démons et de les vaincre.
Toujours dans la catégorie rééditions à bas prix, il y a aussi ces séries que l’on n’aurait pas osé commencer en temps normal. Le pitch de départ de L’homme-rune étant assez intéressant, on verra s’il tient ses promesses… En tout cas, les critiques sont bonnes et ça, c’est généralement plutôt rassurant.
Pourtant, maintenant que son père est mort, sa mère est convaincue qu’Alissa a hérité de ses dons magiques, et qu’elle doit se rendre dans le seul lieu où ses talents se révéleront : la mystérieuse Forteresse !
Mais le voyage ne sera pas solitaire, car Alissa rencontre un musicien ambulant qui détient une carte dont elle a grand besoin pour arriver à destination avant que les neiges l’en empêchent. Elle n’est pas sûre de pouvoir se fier à ce garçon, mais elle n’a pas le choix, si elle veut mettre la main sur le grimoire de pouvoir : la Vérité Première…
A force de remplir une wishoppinglist longue comme le bras, les algorithmes d’Amazon ont fini par cerner mes goûts. Du coup, le premier tome de Vérité a poppé dans la liste de recommandations. « Tiens, une nouvelle série chez Milady ? » Que nenni, plutôt une très vieille au contraire… Il aura fallu environ 10 secondes au résumé pour piquer ma curiosité, 3 minutes aux critiques pour me faire mettre directement les quatre tomes dans le panier et valider la commande. Ici, on est sur de la romance fantasy (plutôt mon rayon perso donc, et ça fait toujours plaisir d’en trouver), œuvre de jeunesse d’une autrice qui se fera plus tard connaître dans le domaine de la bit-lit sous le nom Kim Harrison (mais si, vous savez, la série Rachel Morgan ?). Une valeur sûre donc. Autrement dit, si vous aimez la fantasy mâtinée de romance, ne vous posez pas de questions et foncez.
Onze ans plus tard, la jeune fille découvre que sa mère avait peut-être raison… Son chemin croise celui du mystérieux Finn Holmes et sa vie bascule de nouveau : il lui révèle la vérité sur ses origines et ramène Wendy chez elle, dans un monde magique à la fois magnifique et effrayant. La voici face à un choix terrible : tirer un trait sur son passé et accepter le rôle qui l’attend dans son nouveau royaume ou rester auprès de ceux qu’elle a toujours connus ?
Traînait dans la wishoppinglist depuis suffisamment de temps pour être passée dans celle des priorités et figurer directement dans la liste des trucs à commander durant la grosse book razzia de ce mois-ci. Entre le résumé accrocheur, l’extrait plus que prometteur, et ces couvertures magnifiques, comment voulez-vous résister ?
New York est à la pointe de l’innovation et du rêve. La ville est désormais une tour de mille étages où les plus aisés vivent à son sommet. Tout semble parfait, lisse et idéal.
Jusqu’au jour où une jeune femme tombe du millième étage…
Meurtre ou accident ? Les suspects sont nombreux. La belle et riche Eris, qui découvre un secret familial terrible ? Rylin, qui travaille pour un garçon des étages supérieurs ? Watt, qui espionne tout le monde grâce à une IA qu’il a créée ? Leda, qui cache une addiction ? Ou Avery, la plus parfaite de tous, qui habite le penthouse du millième étage ? Entre soirées débridées, glamour et petits secret entre amis, la Tour aux mille étages va révéler ses mystères.
Découvert dans les listes d’une opération Masse Critique sur Babelio, le résumé d’Inaccessibles avait suscité ma curiosité, bien que le côté « strass et paillettes » soit pour moi un point négatif (qui aurait carrément été rédhibitoire sans l’aspect « polar futuriste »).
Le fait d’avoir tout sauf envie de commencer une nouvelle série l’avait relégué dans la to-remember-list, jusqu’à ce que tombe >la critique d’Allison< : il s'agit d'un tome qui peut être lu comme un one-shot !!
Du coup, forcément, plus de raison de se priver, hein ?
Acheter le tome 1 / le tome 2 sur Amazon
George R.R. Martin a convoqué les plus grands auteurs de fantastique autour de ce concept, tout en l’agrémentant d’une touche personnelle et inédite : la Danse des Dragons ! Vous saurez tout de la guerre civile qui a fait rage au sein de la maison Targaryen, provoquant ainsi la quasi-disparition de leurs créatures de feu…
Dangerous Women, c’est avant tout un concept : des nouvelles ayant pour seul point commun de mettre en scène des héroïnes, issues de la plume d’auteurs rassemblés par rien moins que George R.R. Martin (!) et Gardner Dozois. Et les auteurs en question ne sont pas n’importe qui non plus : Jim Butcher, Diana Gabaldon, Joe Abercrombie, Robin Hobb, Brandon Sanderson, Diana Rowland, ça vous parle ? Le premier tome regroupe les textes des auteurs, le second ceux des auteures, un découpage à première vue plutôt étrange, mais bon. Bref, a priori on y trouve de tout, aussi bien fantasy qu’autre chose. A découvrir pour ceux qui aiment bien les nouvelles !
Donc forcément, on trouve sur le net des gens déçus attirés là uniquement par la nouvelle inédite de Monsieur Martin, ou d’autres qui pensaient carrément avoir affaire à un livre entier de sa part, engendrant une note moyenne relativement basse, tant sur Babelio qu’Amazon. Mais on trouve aussi des critiques argumentées parlant de cette anthologie en de plutôt bons termes.
Les débuts de sagas qui peuvent être lus comme des one-shot, c’est toujours cool. Alors quand il s’agit en plus de la nouvelle série de l’autrice de La meute du Phénix, et que ça parle de démons… A priori, que du classique dans le genre paranormal romance pimentée, mais à moins d’en être lassé, pas de raison d’être déçu.
Le tome 2 sortira début Juillet chez nous !
Mon avant-dernière commande aux Éditions du Riez.
Impossible de passer à côté d’une histoire de pirate, surtout à moins de dix euros, et ce même si niveau ambiance, je plus axée « palmiers » que « froid ».
Pour vous le procurer, ça pourrait être assez coton, l’occasion étant à présent la seule solution.
Un achat imprévu.
Ce n’est un secret pour personne, Halloween est ma fête favorite de l’année, la seule que je « fête » vraiment, d’ailleurs. Du coup, le titre m’a attiré, la couverture m’a séduit, le résumé m’a accroché, le nom de l’auteur (dont la nouvelle « Le Vent », dans La dimension fantastique tome 3, m’avait beaucoup plu) m’a donné confiance et la faible épaisseur du livre a achevé de me convaincre (même si à ce stade, il n’y avait plus besoin).
J’avais bien accroché à l’extrait figurant dans les compilations thématiques de Bragelonne, mais la SF n’étant pas ma tasse de thé, Les chants de la Terre lointaine n’a même jamais rejoint ma wishoppinglist. Ce qui ne m’a pas empêché, depuis environ un an et demi, de scruter machinalement le rayon de temps en temps, « au cas où ». Et ce mois-ci, il était là.
Bref, comme toujours avec la SF, « on verra ».
C’est suite à >la critique d’Elbakin.net< que j'ai eu envie de me laisser tenter par l'Empire Électrique. Le fait qu'il s'agisse d'une édition Mois du Cuivre (traduction : c'est chéros mais c'est beau, avec tranche dorée et travail de mise en page soigné) a beaucoup joué (on voit qui recherche toujours désespérément « Confessions d'un automate mangeur d'opium » après l'avoir loupé).
Bref, si jamais il vous intéresse, ne tardez pas trop pour mettre la main dessus, parce qu’une fois les stocks épuisés, il n’y aura pas de réimpression (ou du moins pas tout de suite et, SI ça devait être fait, dans une autre collection).
Le film sorti récemment me faisait de l’œil, mais le souci quand on ne peut pas aller dehors sans accompagnant, c’est qu’il faut en trouver un qui ait envie de voir la même chose que vous… Vous l’aurez compris, la version ciné, il a fallu oublier. Et là, que vois-je passer dans mes notifs Babelio ? Une critique du… livre, dont j’ignorais jusqu’alors l’existence.
Profitez-en, vous ne verrez pas souvent de non-fiction chez moi !
Mais le Jarl, le maître des terres, les surprend. Dans l’échauffourée qui s’ensuit, il tombe de la falaise et perd ses deux jambes. Ivre de vengeance, il lance ses Walkyries à leur poursuite. Arrêtés, jugés, les trois pauvres hères ne doivent leur survie qu’à la cruauté du Jarl : il les condamne à se transformer en monstres, à devenir trois de ses fidèles berzerkirs.
Il leur reste sept jours d’humanité. Sept jours pour trouver le roi des fauves, le seul à pouvoir les arracher à leur funeste destin.
Repéré en rayon lors d’une sortie avec un ami. Le fait qu’il s’agisse d’un format poche peu épais (et donc pas cher) a encouragé ma curiosité. Ça s’annonce assez sombre, même s’il s’agirait apparemment d’un roman young adult à la base…
Les habitants se préparent à abandonner leurs maisons, mais Marine, Kana et Liam ne croient pas aux légendes de leurs parents. Ils décident de rester dans le village.
Alors que la Nuit les enveloppe, ils découvrent avec horreur qu’ils n’auraient vraiment pas dû…
ARGH. Je ne sais plus qui a parlé de Nightfall dans son article de wishlist/attentes livresques fin Mars/début Avril (si tu passes par là, manifeste-toi, le lien vers ton article pourra être mis ici ^^). Mais c’est comme ça que j’ai découvert ce livre et son résumé. 14 années de nuit succédant à 14 années de jour, il faut avouer que ça intrigue d’emblée…
Ben voilà. Le livre s’est retrouvé embarqué durant ma book razzia. J’ai donc quelqu’un à remercier, même si je ne me souviens plus qui.
Tout à tour drôles ou effrayants, plaisants ou fantastiques, ces 13 contes traditionnels sont ici illustrés et modernisés en partage d’un vrai patrimoine de l’Histoire et de l’Imaginaire.
Pour tout ce qui tient du folklore, des traditions, contes, légendes, anecdotes et autres superstitions, créatures surnaturelles d’ici ou d’ailleurs et ésotérisme, vous tenez votre spécialiste. Après, forcément, j’ai encore pas mal de lacunes à combler, notamment pour tout ce qui concerne le moyen-orient, l’Asie du sud-est, l’Amérique du Sud… et, plus localement, si je suis (forcément) blindé en matière de culture bretonne, s’il y a bien un coin du pays dont j’ignore presque tout, c’est définitivement notre capitale…
Du coup, même si cet ouvrage a poppé dans une Masse Critique « jeunesse », il a immédiatement atterri dans la wishoppinglist.
Accusé de sorcellerie, poursuivi par un inquisiteur, agressé par des sentiments qui ne lui appartiennent pas, il doit fuir pour retrouver son clan. Tant qu’il n’aura pas réussi à maîtriser cette puissante empathie, il sera menacé.
À moins qu’il ne décide de l’exploiter pour dominer les autres en manipulant leurs émotions…
Si vous voulez acquérir Le Jarwal, bon courage…
Faisant partie des premiers titres mis en arrêt de commercialisation après l’annonce de la fermeture des Éditions du Riez, il est très rapidement devenu introuvable partout (au moment où je n’avais pas le budget, forcément). Aussi, quelle surprise d’en voir apparaître un sur Amazon via un vendeur tiers, plusieurs semaines après sa disparition des radars… Sachant que parmi tous les romans de l’éditeur, il s’agissait de celui que je regrettais le plus de n’avoir pas pu prendre, il était hors de question de le laisser filer.
L’avant-dernier tome de la série d’urban fantasy/paranormal romance steampunk de Bec McMaster, sorti depuis un moment déjà. Toujours pas de date pour l’ultime volume de la série, même si ça ne devrait plus trop tarder (on peut espérer l’avoir en fin d’année).
Techniquement, The Bane Chronicles n’est pas vraiment une « suite », puisqu’il s’agit d’un recueil de nouvelles consacrées au personnage de Magnus. Le problème, c’est qu’il ne s’agit pas non plus d’un one-shot, mais bien d’un spin-off, et qu’il vaut mieux avoir lu ET les six tomes d’origine, ET les trois de la préquelle pour, au mieux, ne pas être largué, au pire, ne pas se faire spoiler.
Magnus étant mon personnage favori (et de loin), je ne pouvais pas passer à côté. Et pourtant, l’achat a longtemps été repoussé, en attendant désespérément une édition française en version physique.
Parce qu’il y a eu une édition française… mais exclusivement au format numérique, mais surtout chapitre par chapitre et pour la bagatelle de 3€49 l’unité ! A côté des 8€04 demandés pour cette édition papier VO (qui ne jure pas avec la charte graphique des tomes français, en plus) le choix a été très vite fait.
Jungle Magique, j’ai mis un certain moment avant de craquer. Alors que ce n’est un secret pour personne que j’aime à la fois les ambiances tropicales ET le trait de Johanna Basford. Je le trouvais un poil moins inspiré que Jardin Secret et Forêt Enchantée… Mais bon, ça reste largement au dessus de tout ce qui se fait à côté.
Des confiseries savourées par des générations de gourmands aux gâteaux dégustés avec plaisir à l’heure du goûter, en passant par les traditionnelles viennoiseries et tartes aux fruits… Découvrez des centaines de motifs aux couleurs tendres et acidulées. Réalisez un tableau en hommage aux délices faits maison, des frises ornées de cupcakes et religieuses, ou encore un abécédaire spécial bonbons. Appréciez le résultat et régalez-vous ainsi d’un simple regard !
Les « Point de croix et Cie » de chez Mango sont souvent intéressants. Celui-là propose une majorité de petits motifs dans une overdose de sucre. C’est joli et varié, en plus d’être original.
Plus de 35 grilles à broder, conçues comme des tableaux à l’aquarelle, qui invitent à se ressourcer : brodez ainsi des fleurs, des légumes et des fruits, des oiseaux, des papillons et des abécédaires fleuris.
Réalisez 7 créations raffinées : un tablier pour le potager, des sachets de graines, un sac printanier, un cahier, des gants de jardinage, un panier pour transporter sa récolte…
Ce livre a un côté un peu pot-pourri, on y trouve un peu de tout. Je l’ai pris surtout à cause des légumes (radis, gousses de haricot…) parce que côté floral, c’est un peu vache maigre. L’ouvrage est essentiellement articulé autour de tableaux relativement gros et des projets à réaliser (tablier, sachets de graines…).
Attention, ce livre est apparemment une édition « light » d’un autre ouvrage («Dans mon jardin au point de croix »), donc inutile si vous possédez déjà la version complète.
Il fut une lointaine époque, je collectionnais les artbooks. Si je les ai tous conservés, aucun n’était arrivé à la maison depuis plus de quatre ans. Mais je tenais à avoir celui-là, sorte de gros best-of récapitulatif de la série.
J’ai été au jardin jap avec un ami (la nendo Miku Senbonzakura ci-dessous lui appartient).
Le 25, on a eu droit à un spectaculaire coucher de soleil.
… ça faisait tellement longtemps que je rêvais d’avoir un Ruruko boy. Le problème, c’est qu’ils passent vite sold out… Bref, en voyant celui-ci en stock sur Hobby Search, j’ai supplié Chéri de m’avancer les sous. Coup de bol, c’était le tout dernier… Bref, je suis méga jouasse.
Niveau photo, la lumière commence à revenir et ça se voit. Un cliché pas bio du tout avec Locke (parce que j’avais envie d’expérimenter des trucs), un portrait de Noche où il n’a pas l’air tarte (une première !), la photo de présentation d’Oliver donc, un portrait de Beryl (j’aime mon cyborg ♥), une photo random de Seth qui ne colle pas du tout au perso mais osef (et encore, vous n’avez pas la photo complète) et enfin un portrait de Xenon là encore retouché à outrance mais qui rend bien (et sera sûrement sa photo de présentation).
Je vous épargne en revanche la version 2017 de « Jungle Wanderer », complètement foirée cette année…
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