Loot bouquins de Décembre 2016 / Janvier 2017
Posted By /*php the_author_posts_link(); */?>Svet Mori le 1 février 2017
Si vous n’avez pas le temps de regarder toutes les critiques, retenez Odd et les Géants de Glace ainsi que le manga Orgueil et Préjugés.
Le secret du bayou
🔞 nude (manga) (pour adultes)
Odd et les Géants de Glace
Orgueil et Préjugés (manga)
Sleepy Hollow (voir ci-dessous)
[EN] Whisper Hollow, tome 2 – Shadow Silence
Ma lecture du mois de Janvier est sans hésiter Le secret de l’île maudite, avec son parfait équilibre entre mystère, romance et touche de surnaturel.
Le secret de l’île maudite
Les Chroniques de Spiderwick (intégrale)
Retour à Whitechapel
Ayant un peu trop tardé à finir l’article sur le loot du mois dernier et sachant présumant que le suivant serait plus que famélique, j’ai préféré vous présenter d’un seul coup les habituels craquages imprévus, précommandes attendues avec impatience et squatteurs de wishlist longue-durée dans un post « double », couvrant les acquisitions de Décembre et Janvier. … Bon, entretemps il y a eu une book razzia à la Fnac locale, du coup, préparez-vous, car c’est un GROS article qui vous attend *:p*
Je n’avais pas accroché plus que ça à l’extrait VO, quelque peu refroidi par le mélange oriental/far-west, mais après tout, le désert, un univers fantasy, un résumé prometteur, des critiques archipositives… Tout, absolument tout, poussait à laisser sa chance à Rebelle du Désert.
Attention toutefois s’il vous intéresse, au vu des critiques il ne peut pas se lire en tant que one-shot. La série comportera trois tomes, dont le second est attendu pour Février 2017 en VO, presque pile un an après le premier. On peut donc espérer en voir la fin l’année prochaine, aussi bien en VO qu’en VF.
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LE classique à lire pour quiconque s’intéresse un minimum à la piraterie ; LA référence absolue pour tous ceux qui ont un jour écrit sur le sujet. Vous pouvez vérifier, vous le trouverez systématiquement cité dans les références bibliographiques ou la postface.
Alors, certes, les spécialistes débattent encore de la part prise par la vérité et la fiction là-dedans. Peu importe ; l’image du pirate telle que nous la connaissons aujourd’hui vient de là.
Bref, quelle que puisse être l’étendue de mes connaissances, je ne pouvais pas me permettre de passer à côté.
Ce principe, personne ne l’a fait autant sien que Kaz Brekker, dit « les Mains Sales ». Quand le voleur se voit offrir une mission impossible mais qui le rendra riche, il réunit son équipe : un soldat assoiffé de vengeance, un tireur d’élite accro au jeu, un jeune fugueur des beaux quartiers, une espionne défiant les lois de la gravité, et une Grisha aux puissants pouvoirs magiques.
Six dangereux hors-la-loi seuls capables de sauver le monde – s’ils ne s’entretuent pas avant…
Vous n’avez pas pu manquer de remarquer les deux magnifiques tomes VO du dyptique ainsi que leur coffret sur la photo de Décembre ^^ Précommandé de longue date, je n’ai pas pu m’empêcher de le mettre de côté sous le sapin.
Les livres en eux-mêmes sont absolument magnifiques, entre les tranches teintées (pour de vrai : chaque page est imprégnée différemment), les jaquettes gaufrées rehaussées de vernis sélectif et la mise en page, sans parler de la reliure brochée impeccable. Du côté du coffret en lui-même par contre, la déception est de mise : on n’a ici pas un beau truc bien solide comme celui qu’avait fait Michel Lafon pour La trilogie de Bartiméus, mais un simple emballage carton tout fin et un peu cheap, ce qui est quand même dommage. Ce pack reste tout de même un bel objet à offrir (ou à s’offrir).
J’avais longuement hésité entre commencer la série en VF en sachant devoir attendre longtemps la sortie du tome 2, ou craquer pour la VO. Mais après lecture des extraits disponibles, la traduction française, beaucoup trop « gamine » à mon goût (surtout vu l’ambiance du truc) a définitivement fait pencher la balance en faveur de la VO, surtout avec l’existence de ce coffret au prix finalement pas plus élevé.
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Que se passe t-il quand vous avez des envies irrépressibles de shopping livresque, mais pas un rond sur votre compte en banque ? … Vous cherchez des séries courtes et au format poche (pas les tétralogies en gros pavés à 20€ chacun sur lesquelles vous flashez toujours donc). Et disponibles dans leur intégralité en rayon, tant qu’à faire.
Du coup, Katana, c’est complet en deux tomes et c’est de la fantasy japonisante, ce qui change un peu de mes lectures habituelles (le seul autre exemple dans le même genre à ma connaissance étant la trilogie steampunk « La Guerre du Lotus » de Jay Kristoff, encore sur la wishoppinglist).
Clod a quinze ans et possède un don singulier : il est capable d’entendre parler les objets… Tout commence le jour où la poignée de porte appartenant à Tante Rosamud disparaît. Les murmures des objets se font de plus en plus insistants. Dehors, une terrible tempête menace. Et voici qu’une jeune orpheline se présente à la porte du Château…
Merci aux personnes qui ont mal reposé ce livre en rayon. Deux fois. Parce qu’avec sa couverture en papier vergé et au style assez particulier, Le château attire l’œil et son résumé fait le reste. Et en bonus, c’est illustré dans le même style à l’intérieur. Ambiance !
Bon, la mauvaise nouvelle, c’est que c’est le premier volet d’une trilogie. Trilogie dont le dernier tome paraîtra ce printemps en grand format chez Grasset, autrement dit, il ne faut pas espérer avoir la fin avant deux ans en poche. Bref, pour les pressés alpagués par le résumé, mieux vaut prendre le grand format si vos finances et/ou l’espace libre dans votre bibliothèque vous le permettent.
La sibylle a prédit ceci : à l’aube du XXe siècle trois sœurs atteindront l’âge de décision, toutes les trois sorcières, et l’une d’elles, sera la plus puissante sorcière de tous les temps. Cate, je suis inquiète pour toi. Si, après Maura, Tess est sorcière aussi, il semble hélas probable que vous soyez les sœurs sont parle la prophétie. Tu seras alors traquée par ceux qui voudront se servir de toi. Cette prophétie dit autre chose encore, bien pire à mes yeux, mais je préfère ne pas tout écrire dans ces pages, de crainte qu’elles ne tombent en de mauvaises mains.
Avec tout mon amour, Maman
C’est en lisant une critique positive appréciée par un membre de ma liste d’amis Babelio que j’ai entendu parler pour la première fois de Soeurs Sorcières.
A première vue, malgré son thème, malgré l’aspect historique du roman qui change un peu du fantastique contemporain, malgré le bien qui en était dit (notamment sur le fait que l’écriture soit un poil plus élaborée que ce qui se fait habituellement en jeunesse et young adult), la série ne m’emballait pas plus que ça et j’avais suffisamment de choses sur la to-buy-list pour la laisser de côté. Sauf que quand on tombe sur une série complète en rayon, ça change pas mal de choses. Surtout quand d’autres critiques positives ont fleuri entretemps et qu’on a trouvé l’extrait sympathique.
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Résumé éditeur du tome 1 :
Il se retrouve alors dans une école bien étrange, sur la sinistre île du crâne, au large de l’Angleterre.
Très vite, il soupçonne le pire.
Mais il est encore loin de la vérité…
L’île du Crâne apparaissait régulièrement dans mes suggestions Babelio… du coup, je l’ai reconnu en le croisant au détour d’un rayon x) Je me suis donc laissé tenter, d’autant qu’à 4,95 le livre, on ne peut pas dire que le diptyque soit coûteux.
L’île du Crâne peut parfaitement être lu comme un one-shot (il en en était d’ailleurs un à l’origine, sa suite n’ayant vu le jour que huit ans plus tard) et, s’il est perfectible (notamment au travers de son humour douteux), il n’en reste pas moins une perle de suspense et d’ambiance angoissante pour un roman jeunesse.
Maudit Graal, lui, ne peut être abordé sans avoir lu le tome précédent et corrige tous ses défauts, en échange hélas d’une prévisibilité à en pleurer. L’ambiance est complètement différente, et on gagne en action ce qu’on perd en mystère.
Les critiques des deux tomes sur sur Babelio. Les liens figurent un peu plus haut.
Connor a 18 ans, elle vit avec son père à Eden Lake, une petite ville des Adirondacks et, en dehors du fait que son meilleur ami a subitement pris ses distances, elle mène une existence plutôt tranquille.
Le jour où sa tante débarque, les choses se compliquent. Car les cauchemars qui assaillent Connor depuis quelque temps pourraient bien devenir réalité…
Un achat imprévu… Une couverture énigmatique, un résumé l’étant encore plus…
Les intrigues basées sur les rêves ou les cauchemars offrent des possibilités infinies aux auteurs pour exploiter les univers oniriques et leurs liens avec la réalité. Bref, j’ai hâte de voir ce qu’aura fait H.Roy de ce thème.
Certains disent « vivement la suite », à voir si ce livre peut se suffire à lui-même ou non, mais mieux vaut ne pas trop compter là-dessus (apparemment surtout si vous êtes allergiques aux questions en suspens). Il semblerait que ce soit un diptyque.
N’est pas rangé dans la partie « séries » car « La dernière aventure » est un chapitre tronqué du manuscrit original.
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Parce que L’île au trésor reste mon bouquin préféré, je pouvais difficilement dire non à du rab’ !
Cette fois, c’est l’aussi charismatique que retors cuistot qui est mis à l’honneur. L’un des personnages les plus insaisissables de l’œuvre d’origine, aux multiples facettes, méritait bien un bien un spin-off officieux lui étant consacré… en espérant que Bjorg Larssen ait respecté l’esprit du bouquin d’origine et saisi l’essence du personnage.
Au cours de sa quête, elle rencontrera le peintre Niklaus Manuel Deutsch, un alchimiste nommé Paracelse et une mercenaire néerlandaise amatrice d’armes à feu, sans se douter que le destin de ces trois étrangers est inextricablement lié au sien.
Et tandis que Manuel décore toiles et murs d’église des scènes de sa macabre aventure, Awa comprendra peu à peu que la mort est le cadet de ses soucis…
A l’instar de La triste histoire des frères Grossbart du même auteur, la couverture sur papier vergé de Danse Macabre attire l’œil en rayon, et le résumé fait le reste. Mais s’il s’est retrouvé plus tôt que prévu à la maison au lieu de traîner indéfiniment sur la wishoppinglist, c’est parce qu’il était sold out sur Amazon…
Comme d’habitude avec Jesse Bullington, c’est clairement à ne pas mettre entre toutes les mains, l’auteur ne se refusant rien. C’est morbide à souhait, c’est glauque ; comme le disent si bien les avertissements : âmes sensibles, passez votre chemin sans regrets !
Ainsi s’exprime le jeune Antoine, âgé d’à peine dix-sept ans, accusé à tort du meurtre de sa fiancée. Le salut viendra d’une rencontre faite avec des gentilshommes de fortune sur une grève loin de chez lui. Ces hommes de mer, portés par les turbulences mêmes de l’aventure, cherchent l’argent, tuent, trahissent pour certains, et meurent sans regret. Antoine, plutôt que d’être pendu, part avec eux vers les Caraïbes. Le récit de sa vie ira bien au delà de ce que promettent d’ordinaire les récits de pirates…
Il y a pas mal de romans ayant pour thème la piraterie sur ma wishoppinglist, et si celui-ci a été pris plus tôt que d’autres, c’est simplement parce qu’il était en stock à la librairie du coin le jour où j’ai acheté Danse Macabre.
Là encore, on récupère un spin-off officieux de L’île au trésor puisque le héros se retrouve sur le Walrus aux côtés de Flint. Certains grognent sur le fait que les auteurs en question pourraient trouver d’autre grain à moudre que de réutiliser encore, toujours et éternellement Flint et compagnie, mais personnellement, je pense que le truc intéressant avec toutes ces réinventions et réappropriations d’un récit devenu culte, voire même mythe, c’est précisément de découvrir la vision qu’il a inspirée à chacun des auteurs qui s’en sont emparés, qui, bien qu’issues du même tronc, s’orientent dans des directions complètement différentes.
Dans les entrailles de la cité, ils rencontreront deux membres de la Restauration Française, en mission suicide pour un colonel putschiste qui a fait main basse sur l’Assemblée nationale. Si cette paire de nazillons s’imagine pouvoir sauver la Ville Lumière, les vagabonds poursuivent un objectif plus modeste : renflouer leur stock d’alcool.
Le « truc de zombies du mois », qui rappelle quand même un peu beaucoup Le club des punks contre l’apocalypse zombie à travers son plot et ses personnages… Est-ce un mal ? Non, d’autant que là encore, il se peut que les deux récits ne partagent rien d’autre que Paris, des zombies et un groupe de marginaux en guise de héros. Bref, on verra à la lecture s’il y a vraiment lieu de comparer les deux…
Petite discussion avec une momie, L’ange du bizarre, Le chat noir, Hop-Frog, L’homme des foules et La barrique d’Amontillado : ces six nouvelles troublantes et même diaboliques sont traduites par Charles Baudelaire.
Ça faisait un moment que j’étais censé.e me pencher sur les textes de Poe… et la déception est à la mesure de l’attente. Si la nouvelle qui donne son nom au recueil est aussi sombre que réussie, les suivantes s’avèrent de plus en plus décevantes tant l’auteur aime brasser du vent pour pas grand-chose.
Alors oui, son écriture ne manque pas de style, mais souvent sans but, ce qui est fort dommage. J’en parle plus en détails dans ma critique (lien plus haut).
Avec sa peau pâle et ses cheveux de neige, Alice détonne à Ferenwood, ce monde éclatant où les couleurs sont révélatrices d’un don magique. L’incolore jeune fille de douze ans n’a donc apparemment aucun intérêt, et les habitants de ce lieu en ont fait une paria. Aussi, lorsque Oliver lui propose de l’aider à chercher son père, la seule personne qui a toujours cru en elle, Alice accepte. Même si le garçon est son ancien ennemi de classe et que son talent consiste à tromper son monde. Même si, pour retrouver celui qui a disparu trois ans plus tôt, ils devront explorer le dangereux pays de l’Ailleurs… Un endroit où rien n’est ce que l’on croit, et où les pièges pullulent. Un endroit où ils trouveront peut-être plus que ce qu’ils sont venus y chercher.
Un des livres qui m’ont échappé lors d’un Masse Critique, mais qui a tout de même retenu mon attention… Le genre de récit baignant dans une atmosphère onirique en permanence et qui nécessite qu’on soit prêt à se laisser embarquer dans son univers sans y chercher de repères familiers, sous peine de s’y sentir perdu.
Tentez le coup, allez lire les premières pages, et laissez-vous séduire.
Patiente et intrépide, Agnieszka parvient toujours à glaner dans la forêt les baies les plus recherchées, mais chacun à Dvernik sait qu’il est impossible de rivaliser avec Kasia. Intelligente et pleine de grâce, son amie brille d’un éclat sans pareil. Malheureusement, la perfection peut servir de monnaie d’échange dans cette vallée menacée par la corruption.
Car si les villageois demeurent dans la région, c’est uniquement grâce aux pouvoirs du « Dragon ». Jour après jour, ce sorcier protège la vallée des assauts du Bois, lieu sombre où rôdent créatures maléfiques et forces malfaisantes. En échange, tous les dix ans, le magicien choisit une jeune femme de dix-sept ans qui l’accompagne dans sa tour pour le servir.
L’heure de la sélection approche et tout le monde s’est préparé au départ de la perle rare.
Pourtant, que le Dragon leur rend visite, rien ne se passe comme prévu…
Déracinée, c’est un de ces livres sur lesquels vous tombez un peu au pif en rayon et regardez la 4e de couverture juste pour savoir de quoi ça parle. Et c’est généralement là que peut survenir le fameux coup de cœur imprévu, le « mais c’est tout ce que j’aime ! » qui fait instantanément passer à la caisse.
En dépit des critiques mitigées, Déracinée est donc le « craquage du mois » !
Au fil des énigmes, en compagnie de sa fidèle compagne, la Corneille, le jeune homme goûte la saveur des âmes des êtres humains, découvrant les travers de l’humanité et y apportant sa propre justice… d’une manière bien singulière…
C’est toujours triste d’apprendre qu’un éditeur met la clé sous la porte, surtout quand il s’agit des Editions du Riez, dont presque la moitié du catalogue m’intéressait… Malgré les importantes remises sur leur stock, il a donc fallu choisir et vu l’état de mes finances, un titre, un seul, a fini dans le panier.
Comme mentionné précédemment, c’est à l’issue de la lecture de ce tome que je déciderai ou non de poursuivre l’aventure SAO.
« Plus qu’un et on aura la fin !!! »
J’ai été agréablement surprise de voir ces deux tomes sortir avec un intervalle de temps relativement court par rapport au précédent. Espérons que le 12e continuera sur cette lancée plutôt que d’emprunter celle de la série Le secrets de l’immortel Nicolas Flamel dont le dernier tome s’est vraiment fait désirer…
Le 7e (en réalité 11e, puisque les quatre volumes du spin-off Les Cavaliers de l’Apocalypse s’intercalant entre le 5e et le 6e sont indispensables à la compréhension de la seconde partie de la série principale, d’ailleurs, en VO, le tout ne forme qu’une seule série…) et surtout DERNIER tome de la saga d’urban fantasy/paranormal romance érotique de Larissa Ione !!!
Je ne savais pas que la saga s’arrêtait là, et ignore si nous aurons droit à des traductions françaises des nouvelles parues en VO (pour l’instant, nous n’en avons eu aucune).
11 tomes, c’est finalement pas si mal (si je n’ai *pas* commencé la Confrérie de la Dague Noire, c’est hélas à cause de sa longueur…) pour une série du genre.
Là encore, juste un que je n’avais pas pris à sa sortie ^^
A noter que les deux premiers tomes de la nouvelle série de l’autrice, Noirs Démons, sortiront respectivement le 21 Avril et le 7 Juillet en français. Un troisième est actuellement en cours d’écriture.
Un tout, tout petit livre à 3 euros… qui auraient mieux été investis dans n’importe quoi d’autre !
S’il n’est pas important que le livre n’ait pas le moindre rapport avec le film (dont il reprend pourtant l’affiche), le texte n’est qu’un enchaînement aussi interminable que soporifique de descriptions de paysages. Et 60 pages de décor, malgré quelques piques humoristiques glissées ça et là, c’est long.
J’ai vraiment eu du mal à venir à bout de cette nouvelle et, chose rare, ai failli abandonner plus d’une fois malgré la faible épaisseur du livre ! Non, vraiment, ce truc est une des pires, si ce n’est LA pire purge littéraire que je me soie jamais infligée, le genre de bouquin qu’on n’offrirait même pas à son pire ennemi, « parce que faut pas déconner ».
Pour les détails, c’est dans ma critique sur Babelio, et le lien figure au dessus du résumé.
C’est l’hiver, la lumière est toute pourrie, donc les occasions de dégainer l’appareil se font plus rares…
Bien sûr, il y a eu du nouveau : mon cadeau de Noël, déjà évoqué ici il y a quelques mois. Un résineux, et pas des moindres, l’Iplehouse JID Daniel qui traînait dans ma wishlist depuis perpète. C’est la vague d’arrêts de commercialisation de début d’année qui m’a fait prendre conscience que je regretterais vraiment de le louper…
Au début, il était prévu qu’il serve à incarner Shadow, l’incube de Last Sorceress, mais le moule ne correspondait vraiment pas à ma vision du perso.
Il a eu droit à son photoshoot d’arrivée, le jour même :
… les trois clichés ci-dessous sont inexploitables…
… contrairement à celui de Leviathan au début du mois.
(Pour celles et ceux qui se demanderaient pourquoi elle est toujours en petite tenue, la réponse est simple : je n’ai rien d’autre à lui mettre xD )
Leviathan – Darkness Goddess by Poison, sur Flickr
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