Loot bouquins de Janvier 2018
Posted By /*php the_author_posts_link(); */?>Svet Mori le 1 février 2018
Une fois n’est pas coutume, cet article commencera par un lien vers le précédent…
En effet, je n’ai pas l’habitude de faire d’articles « de fond » et il aurait été un peu dommage que celui-ci tombe direct dans l’oubli, évincé de la page d’accueil à peine une semaine après sa mise en ligne, juste parce que l’idée de le faire a germé à la fin du mois x)
Bref, si ça vous tente, c’est par là :
En toute logique, s’il ne fallait retenir qu’une lecture ce mois-ci, c’est le coup de cœur The Emperors’s Revenge.
L’aile d’airain (voir ci-dessous)
L’œuf de dragon
Patissier and Vampire (manga)
♥ [VO] The Emperor’s Revenge
Your Name. (voir ci-dessous)
Janvier, c’est habituellement synonyme de « bacs à soldes à la Fnac ». Sauf que… ce coup-ci, la chasse a été sacrément mauvaise… L’occasion tout de même de sortir des sentiers battus et découvrir un nouvel éditeur par la même occasion. Enfin, une fois de plus, j’ai filé beaucoup trop de fric à Bragelonne… Un mois placé sous le signe de l’Asie et de la fantasy à capuche, donc !
Excusez la qualité dégueulasse de la photo, mon nouveau bridge n’aime VRAIMENT PAS la basse luminosité… >_<
Il aurait normalement dû y avoir deux livres de plus dans ce loot. Le premier est toujours sur la route et sera donc (en théorie) dans l’article de Février ; le second, vendu comme une intégrale, s’est avéré être ni plus ni moins qu’une arnaque (tome 1 d’une série + chantage à la review pour avoir la suite). Bref, autant dire que j’ai retourné le bouquin illico.
Réfugiée à Paris pour échapper à sa famille, Violette Baudoyer est une jeune fille assez ordinaire… à un détail près : elle voit le passé et l’avenir dans l’eau. Sous l’identité de madame Euryale, elle devient la coqueluche du Tout-Paris. Les plus grandes personnalités de la capitale s’arrachent les prédictions de cette mystérieuse devineresse ! Mais Violette se sent prisonnière de l’emprise de madame Bouteloup, qui lui a tout appris et en profite pour s’approprier ses revenus…
De son côté, Florimond Valence, un journaliste bohème qui déambule toutes les nuits à la recherche de nouveaux sujets, enquête sur le meurtre d’une femme retrouvée atrocement mutilée.
En apparence, rien en les unit. Mais le destin a plus d’un tour dans son sac, et même le don de Violette ne peut dévoiler ce que le sort leur réserve…
La première fois que j’ai entendu parler de ce livre, c’était dans la liste d’une sélection Masse Critique (décidément très efficaces lorsqu’il s’agit d’allonger les shopping list). Bon, en fait, je ne l’avais pas rajouté sur ladite wishoppinglist… mais visiblement, gardé au chaud dans un coin du cerveau. Craquage semi-spontané donc ? xD
A l’époque de la sortie du manga, son résumé m’avait intrigué. Mais bon, le shôjo et moi, ça fait douze… Alors quand les éditions Akata ont annoncé une collaboration avec les éditions Nisha pour éditer en français la version roman, celle-ci s’est directement retrouvée dans la wishoppinglist, à plus ou moins moyen terme. Au final, comme souvent, j’ai attendu la sortie du troisième et dernier tome pour craquer.
Mais quand elle pirate la finale du grand tournoi de l’année, elle est repérée par l’intrigant créateur du jeu : Hideo Tanaka, un jeune et beau génie dont les fans se comptent par millions. Emika sent pourtant que les intentions d’Hideo dépassent le cadre de Warcross et pourraient bien faire vaciller la frontière fragile entre réel et virtuel…
Craquage spontané.
Je n’ai appris qu’après coup que c’était le tome 1 (mettez un petit chiffre sur les couvertures dans ces cas-là nom de Zeus ! >_< ) d'une trilogie. ... Bon, ok, tant pis, je l'aurais pris plus tard, de toutes façons. Mais j'aurais aimé le lire *rapidement*, moi... *mode chouine*
Thanh-Van Tran-Nhut signe ici la quatrième enquête du jeune mandarin Tân, dont le dénouement marquera non seulement son existence, mais aussi l’avenir du pays, en ce XVIIe siècle déchiré par les luttes de pouvoir.
Les soldes ont commencé, synonymes des fameux bacs de livres à l’entrée de la Fnac !
Outre des cadeaux pour les autres, premier craquage avec L’aile d’airain donc.
Le truc a beau être un tome 4, il est tout à fait possible de le lire comme one-shot. D’ailleurs, si ça n’était pas spécifié dans le résumé, on ne devinerait pas forcément que ce livre n’en est pas un.
Mais Hanshichi ne se contente pas de raconter ces histoires de maison de samouraï hantée, de voleur de kimono, d’incendie, de meurtre, d’esprit vengeur, d’amours clandestines, de moine bouddhiste corrompu. Il y ajoute force détails sur la vie dans le Japon traditionnel, les croyances, les saisons, les façons de s’habiller, et sur une foule de personnages aux petits métiers divers et variés. A la fin de ces quatorze énigmes, le lecteur connaît une bonne partie des coutumes de l’époque et s’est pris d’affection pour cet enquêteur tellement doué et sympathique.
Ah ! Les bacs à soldes de la Fnac… Apparemment, la mienne a du stock de chez Piquier Poche à écouler. En ce qui concerne Fantômes et Samouraïs, connaissant mon amour immodéré pour les histoires de yôkai, j’aurais bien été capable de l’acheter plein pot. Alors, à -40%…
Au sein d’un château débordant de pièges et de faux-semblants, Girton se fait alors passer pour un simple écuyer et doit apprendre à reconnaître les alliés potentiels comme les ennemis de l’ombre. A mesure qu’il progresse dans cette toile d’illusions et de mensonges, l’apprenti assassin va se heurter aux ambitions du pouvoir, éprouver sa loyauté et tenter de déjouer une conspiration qui pourrait bien détruire le royaume tout entier…
J’ai craqué. Quelques jours avant sa sortie, en examinant les plannings de l’éditeur, je suis tombé sur la magnifique couverture de L’Âge des Assassins. Évidemment, il a aussitôt atterri dans la wishoppinglist… pour en sortir la veille de sa mise en vente officielle. Fantasy à capuche oblige. En bonus, d’après les reviews anglophones, ce volume peut se suffire à lui-même. Alors certes, 25€ les 379 pages imprimées assez gros, ça reste un peu chéros. Mais bon, le livre en lui-même est tellement beau…
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Night after night, Shahrzad beguiles Khalid, weaving stories that both enchant and ensure her survival, though she knows each dawn could be her last. But something she never expected begins to happen : Khalid is nothing like what she’d imagined him to be. This monster is a boy with a tormented heart, and, incredibly, Shahrzad finds herself falling in love. It’s an unforgivable betrayal, but Shahrzad has come to understand all is not as it seems in this palace of marble and stone. She resolves to uncover whatever secrets lurk and, despite her love, be ready to take Khalid’s life as retribution for the many lives he’s stolen. Can their love survive this world of stories and secrets?
Traînait dans ma wishoppinglist depuis une éternité. C’est en mettant de l’ordre dans celle-ci que j’ai vu que le tome 1, dans l’édition qui m’intéressait, n’était plus dispo en neuf qu’auprès d’un vendeur tiers (et en un seul exemplaire, sinon c’est pas drôle). « Bon, ben… »
Malheureusement au pays des merveilles, où s’entrechoquent magie, folie et monstres, les contes n’ont pas tous une fin heureuse…
BON. Là encore, vous connaissez mon amour pour Alice au Pays des Merveilles et tout ce qui tourne autour, qu’il s’agisse des otome games de feu le studio QuinRose, du bouquin d’origine, des adaptations Disney ou de tout ce qui touche à l’univers.
Bref, je ne pouvais juste pas passer à côté d’Heartless, et ce malgré ma réticence face aux bad endings (c’est pas du spoil, c’est carrément annoncé dans le résumé).
Le lycéen tokyoïte et la jeune fille de la campagne échangent mystérieusement, à plusieurs reprises, leurs corps durant leur sommeil, et vivent chacun la vie de l’autre. Voici l’histoire de deux destins entremêlés qui défient l’espace et le temps, dans laquelle la tragédie se mêle à la romance…
Le buzz qui a entouré la sortie du film Your Name a réussi à me gonfler. Déjà que le truc ne m’intéressait pas de base, en entendre parler partout, tout le temps, avec moult superlatifs élogieux paraissant ô combien exagérés, a fini par me filer de l’urticaire mental à chaque fois que je lisais ou entendais ce nom.
Fort heureusement, le buzz s’est calmé au fil des mois. Du coup, en tombant là-dessus en rayon, ça a plus été « Tiens, il y a eu une version roman ? » qu’autre chose. Et la curiosité a pris le dessus. Histoire de voir si tout le tintouin était mérité.
Dans le réseau des synapses du cerveau ? Existe-t-il aussi une mémoire des yeux ? Ou des doigts ? Ou alors, la mémoire est-elle logée dans des sortes de masses psychiques, invisibles, informelles, comme une sorte de nébuleuse ? Dans ce que l’on appelle le cœur, l’esprit, l’âme ?
Après lecture, concernant l’histoire, je suppose que oui. Après, de là à crier au chef-d’œuvre… Pour en savoir plus, vous avez le lien vers la critique 😉
Owen Chase nous raconte le récit tragique des naufragés de l’Essex, une histoire bien connue des marins et des aventuriers des mers qui reste l’une des plus grandes tragédies de l’océan. Ce grand récit est proposé en version anglaise.
Outre les yôkai, j’aime aussi les bateaux, ce n’est un secret pour personne. Du coup, un témoignage d’un naufrage réel, proposé de surcroît en VF ET en VO dans le même volume, qui plus est à -80% ? Même pas besoin de se poser la question.
Bon, là encore (décidément), vous connaissez mon faible pour les histoires de voleurs. Paraît que ça s’appelle la « fantasy à capuche », en référence aux illustrations de couverture présentant toujours les (anti)héros avec ladite capuche.
Bref, cette belle intégrale trônait fièrement sur les présentoirs, de sorte qu’il était un peu impossible de la louper, même sans lunettes. Sur le coup, le prix m’a rebuté.e (« NOPE »), mais vous savez ce que signifie généralement ce genre de « nope » (« en-fait-c’est-oui-mais-pas-tout-de-suite »).
Dans ce sombre univers de traîtrise et de corruption, Caim gagne sa vie à la pointe de sa lame, jusqu’au jour où un contrat banal le jette au beau milieu d’une machination. Confronté à des hommes de loi véreux, des tueurs rivaux et une terrifiante sorcellerie, Caim ne peut se fier qu’à ses couteaux et à son instinct. Le destin mouvementé qui l’attend le mènera loin dans les Terres Perdues, jusqu’à son ennemi ultime, le Maître de l’Ombre.
Du coup, en ajoutant Les Sept Lames à la wishoppinglist, L’Ombre a poppé dans les suggestions. … Que dire ? « Maudite soit ma curiosité ? » Moui, c’est sans doute ça. Et comme le truc n’était pas imprimé d’hier non plus et qu’il n’y en avait plus que deux en magasin, je l’ai embarqué en même temps que Les Sept Lames, que je venais chercher. Truc drôle, l’autre exemplaire a trouvé preneur exactement au même moment xD
Après la guerre, Oliver Rivington cherche à mener la vie rangée d’un gentleman londonien. Lorsqu’il découvre que sa sœur a versé une forte somme d’argent à un certain Mr Jack Turner, son sang ne fait qu’un tour, il doit demander des comptes à ce malfaiteur ! Or, il éprouve pour Jack une attirance qu’il n’avait jamais connue auparavant. Bientôt, son désir pour ce criminel n’aura d’égal que le plaisir que prendra Jack à voir son élégance aristocratique laisser place aux instincts les plus sauvages. Dans un monde où tout les oppose, tous deux sont déterminés à vivre leur passion quitte à en payer le prix.
Repéré dans les rayonnages de la Fnac. Le résumé m’a intrigué, du coup, même si la romance historique n’est habituellement pas (trop) ma tasse de thé, là, l’envie de découvrir cette histoire a pris le dessus.
Si vous voulez, vous aussi, écouter le lok ta, vous saurez comment Pou le jardinier qui cultivait de si parfumés et fondants concombres doux devint roi, par quel enchantement trois sœurs protégées par Indra se métamorphosèrent en oiseaux, ou pourquoi Méa Yeung, qui avait léché les seins de la reine, ne fut pas condamné à mort… En dix contes, se révèle toute la richesse du légendaire cambodgien, dans sa tradition populaire imprégnée de mythologie indienne et d’animisme.
… J’ai fait une infidélité à ma Fnac. Au profit de l’espace culturel du Leclerc du coin. Eh bien, contre toute attente, on y fait de sacrées découvertes, en fait… Notamment un rayon fantasy totalement différent et bien garni, riche en découvertes ; un rayon jeunesse certes plus convenu mais de bonne taille, ou un rayon « littérature asiatique » beaucoup plus développé que celui de l’enseigne au carré jaune ! Bon, ok, les Murakami y prennent là aussi une place monstre, mais le reste n’a rien à voir.
Et donc, ce petit recueil n’a pu que taper dans l’œil d’un.e friand.e de contes et légendes tel.le que moi, d’autant que mes notions en folklore cambodgien se réduisent à peau de zob.
A votre tour de vous laisser abuser par les Cinq rats célestes qui peuvent prendre à l’envi toutes les apparences, de succomber au charme fatal du Serpent Blanc, partager la passion du vieux jardinier Fou des fleurs, ou désirer posséder La Charmante, même au prix de sa beauté perdue…
Là encore, n’étant pas super à jour niveau folklore chinois, j’ai embarqué sans me poser la moindre question.
Puis, autres pépites sur le chemin de la conteuse, une Cendrillon japonaise du Xe siècle et des récits mettant en scène samouraïs, moines bouddhistes, jeunes dames brodant de poèmes leur solitude, spectres et fantômes. Et enfin un miroir nous proposant un proverbe à méditer : Le miroir est l’âme de la femme comme le sabre est l’âme du guerrier.
Bon, là, je ne peux pas prétendre le besoin de mettre à jour ma BDD personnelle, étant presque plus calé.e en folklore japonais qu’occidental. Mais bon. On ne peut pas tout connaître, hein ? xD
Depuis qu’un drame affreux a frappé la famille royale, ses frontières sont fermées et son peuple est opprimé par l’infâme duc Korta.
Une rencontre pourrait tout changer : celle d’un jeune messager, Axel, et d’une envoûtante jeune fille aux yeux bleus… Mais un secret entouré de sorcellerie les sépare, un destin tragique qui empêche l’espoir de renaître.
Pourtant, au royaume des illusions, les apparences sont trompeuses : un justicier insaisissable met les hommes du duc en échec. Qui est ce héros dont l’identité secrète est jalousement défendue ? Quelle est cette étonnante compagnie qui partage ses exploits ?
J’ai pas vraiment d’excuse. 20€ au lieu de 25 ; les critiques étaient bonnes, parlaient d’un univers enchanteur et d’une romance assez présente. Ben voilà, il en fallait pas plus.
Vous pensiez que c’était le dernier ? Raté, il y a encore au moins deux autres nouvelles à traduire.
Il emprunte un million de dollars, qu’il perd et ne peut rembourser. Mia doit assumer la dette de son père.
Quelle solution va-t-elle trouver ?
12 MOIS – 12 VILLES – 12 HOMMES
MIA RELÈVERA-T-ELLE SON INCROYABLE DÉFI ?
« What? Calendar Girl chez toi, t’es tombé sur la tête ? » … Bah en fait, pas tant que ça. J’étais curieux depuis un bail au sujet de cette série qui a séduit certaines et rebuté d’autres, mais le prix m’avait tenu à l’écart… A la base, j’avais pensé prendre les grands formats trimestriels, mais l’écart de prix avec les poche étant faible et ceux-ci plus faciles à ranger, j’ai opté pour le poche.
Si le premier tome ne casse pas trois pattes à un canard, le second corrige tous les défauts et est un vrai coup de cœur !
– Beurk, c’est moche, tante Millie. Ne te mets pas ces trucs dans la peau. Tu pourrais rester bloquée comme ça, tu sais.
– C’est bien ce que j’espère, ma chérie ! répond-elle d’une voix joyeuse.
Néanmoins, la suite de la série n’étant avérée très moyenne, j’ai fini par désherber le tout en Juillet 2024.
… puisque les conneries de la MDPH m’auront foutu dans une merde noire en Décembre, je n’ai pas pu payer à temps le face-up de mon résineux de Noël. Et donc pas avoir celui-ci sous le sapin.
Punks est finalement là et, pour une fois, il ne s’agit pas d’un personnage maison : il est issu du manga Full Ahead ! Coco. Pour la petite histoire complète du pourquoi du comment, c’est >en lien dans l’article d’Avril<.
Du coup, il a eu droit à des photos moches pour son arrivée, forcément.
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