#TAG PKJ – Adieu 2019 + bilan livresque de l’année
Posted By /*php the_author_posts_link(); */?>Svet Mori le 31 décembre 2019
2019 s’achève ce soir et il est désormais temps de dresser le bilan !
Comme l’an passé, remercions PKJ de nous avoir concocté ce tag qui facilite grandement les choses ! Mais d’abord…
Comme en 2018, je complète ce tag avec un petit bouquet de statistiques.
Toujours pas ceux du blog, toujours pour la même raison (j’utilise WordPress comme moteur de blog mais pas comme hébergeur, donc pour avoir les stats du serveur je dois déranger Monsieur), mais c’est parti pour ceux concernant mes lectures et mes acquisitions !
Au passage, je vous ai rajouté de nombreuses données par rapport à l’an dernier :3
En 2019, j’ai lu 81 romans, nouvelles et recueils, soit (seulement) 8 de plus qu’en 2018, auxquels s’ajoutent en vrac quelques ouvrages « graphiques » (mangas, artbooks, beaux livres, BDs, livres de loisirs créatifs…) pour atteindre un total de 106 critiques (soit 16 de plus que l’an dernier).
Parmi celles-ci, 62 sont consacrées à des acquisitions faites cette année. C’est moins qu’en 2018, mais pas si mal si l’on tient compte de mes 22 relectures (dont une avait déjà sa critique) ! Ma PAL « longue durée » a donc été la grande perdante de 2019 puisque je n’ai pioché que 23 livres dans mon stock.
Pour ce qui est des genres de lectures, j’ai une nouvelle fois pioché un peu partout :
• 40 romances, parmi lesquelles :
– 16 en romance contemporaine
– 13 en romantica (un genre que je lis pourtant en minorité ; ce score élevé est dû à la série Calendar Girl et ses douze tomes !)
– 4 en romance historique
– respectivement 3 en paranormale et en romantic suspense, pourtant parmi mes sous-genres favoris
– 1 romance steampunk
• 33 « mauvais genres », dont :
– 23 littératures de l’imaginaire :
10 livres en fantastique
9 livres de fantasy
respectivement 2 isekai (« voyage dans un autre monde ») et autant en SF
– 5 romans noirs :
3 polars dont 1 historique
2 thrillers dont 1 historique
– 7 romans d’aventure
• 6 livres de littérature blanche, parmi lesquels 2 non-fiction
• Vous n’êtes sans doute pas sans ignorer l’extrême précarité des revenus des personnes handicapées (que le gouvernement actuel aggrave en plus de jour en jour). Pour faire court, tant que je vis avec ma mère, tout va bien, mais ça ne pourra pas durer éternellement et le jour où il lui arrivera quelque chose, je serai obligé de m’installer avec mon copain et perdrai donc *tout* revenu. Hé oui. Donc je stocke en prévision parce qu’à partir de là, je serai 100% dépendant et ne pourrai plus RIEN acheter. A vie. Et non, c’est pas normal, tant que les revenus des handis dépendront de ceux du conjoint on fonce tous droit dans le mur, mais on ne peut rien y faire. Alors laissez-moi stocker tranquille mes futures lectures pendant que je le peux, SVP.
• La seconde, c’est que la plupart des livres neufs que je prends ne sont disponibles que pendant quelques semaines (la magie des éditions Harlequin, aussi bien en VF qu’en VO). Laisser passer un truc intéressant, c’est galérer à le choper parfois seulement trois mois après sa sortie.
• Enfin, certains titres ne sont du coup pas faciles à choper en occasion (du moins pas en état décent ni à un prix correct).
Bref, à l’heure où certain•e•s prônent le minimalisme, il me semblait important de rappeler que d’une part, chacun•e fait comme iel veut, et que d’autre part achats massifs ne veut pas dire « se la péter, faire la course à la plus grosse ». Je partage juste mes lectures et les livres qui ont éveillé mon intérêt, rien de plus.
Ceci étant dit, entre la complétion de ma bibliothèque « pirate » et le passage chez Harlequin VO, vous vous doutez bien que le chiffre du loot annuel ne va non pas frôler l’indécence, mais tomber en plein dedans.
J’ai donc acquis 658 romans au format papier (hors mangas, BD, beaux livres etc) cette année (plus 3 que je n’ai pas gardés), répartis comme tels :
• 620 achats (94,2 %), dont 97 en soldes ou à prix réduit (14,7 %) et 165 en occasion (25,1 %)
• 2 service presse (0,3 %)
• 36 cadeaux, livres obtenus avec des points ou en boîte à livres (5,5 %)
Au final, 262 (42,3 % de mes achats) n’auront pas été au prix d’origine et il y a eu tout de même 38 livres (5,8 % de mes acquisitions) que je n’ai pas payés soit « seulement » 358 achats plein tarif (54,4 %). Toujours à peine la moitié.
Cette année, l’occasion n’a jamais dépassé le neuf, et la proportion d’achats plein tarif a légèrement remonté, même si le total des occasions, promotions et bouquins obtenu gratuitement a régulièrement pris le dessus. Néanmoins, la différence n’est que de 3,5%.
J’ai donc bel et bien réussi à modifier mes habitudes sur la durée et ce, bien que le loot de Noël vienne allègrement torpiller les statistiques.
Une autre chose qui a pas mal évolué, c’est la proportion de romans en VO : 120, soit 18,2 % (contre 10,9 % en 2016, 8,2 % en 2017 et 9,3 % l’an passé).
Jusqu’à présent mes achats en VO étaient réguliers, mais là encore, le passage chez Harlequin US change pas mal la donne, bien que je m’en tienne (pour le moment, du moins) aux titres des collections qui ne sont pas traduites chez nous.
Pour la source, c’est >sur le twitter des éditions PKJ< !
Alors vont naturellement être exclues de ce top les *re*lectures, parce que sinon vous verriez toujours les mêmes trucs :p
Au final, le choix a été assez difficile dans le sens où cette année, à une exception près, aucun roman n’est sorti du lot au point de se placer instantanément dans ce top.
Alors attention, quand je dis « réservé à un public très averti », je ne déconne pas, ce truc peut remplir à lui seul tout un bingo des trigger warning. Le résumé est assez explicite sur le contenu, c’est trash, très trash, et au moins aussi sombre ; à ne clairement pas mettre entre toutes les mains.
Mais alors, d’un autre côté, qu’est-ce que cette histoire est puissante. Une véritable descente aux enfers, étape par étape, sur fond de pression sociale et d’absence d’échappatoire. Métamorphose fait partie de ces lectures dont on ne ressort pas indemne.
La Cité des Sables, c’est un voyage initiatique au moins autant qu’un voyage tout court, porté par la sublime plume d’André Tavardon. Certains livres sont des rencontres, et celui-ci en était une…
Une invitation au voyage et à la découverte, portée par la plume très poétique de son auteur, qui parvient à nous faire revivre ses explorations comme si nous nous tenions à ses côtés.
Attention, il ne s’agit pas de mes plus mauvaises lectures de l’année, mais bien des *déceptions*, celles que j’étais sûr de kiffer et pour lesquelles l’enthousiasme est retombé comme un soufflé.
C’est qu’il y a un gouffre entre *un livre écrit par Pierre Bellemare* et *un recueil dirigé par Pierre Bellemare*. On a donc des textes de différents auteurs dans le même esprit que ceux issus de la plume du maître-conteur, mais qui n’en ont que trop rarement une saveur approchante.
Bref, déception.
La couverture était superbe, le résumé super accrocheur… mais si l’univers original a de quoi séduire, la narration aussi superficielle qu’ultra bordélique empêche toute immersion. Malus supplémentaire, l’histoire est prévisible d’un bout à l’autre. Bref, le problème vient clairement de la plume de l’autrice et malgré de bonnes idées, ça ne l’a pas fait, même si en fin de compte la lecture n’était pas totalement déplaisante non plus.
Déception donc, mais ressenti mitigé.
Le problème de cette intégrale, c’est que si le premier bouquin (Arachnae) est juste VACHEMENT BON, on ne peut pas en dire autant des deux autres, entre les persos têtes à claques du second et le côté soporifique à outrance du troisième. Bref, la déception, c’est de lire une excellente première partie mais de se faire ch*** comme un rat mort avec le reste.
… je n’ai pas lu un seul PKJ cette année, bien qu’il y en ait un petit paquet à végéter dans ma PAL x)
J’avoue que avoir plutôt mal commencé l’année, avec cette lecture plus que bof, dont suinte l’inexpérience de son auteur. Tout n’est pas à jeter, mais tout le foin autour de la licence laissait espérer quelque chose de mieux… Les deux tomes suivants corrigent quelques défauts, mais pas au point de me donner envie de continuer la série pour le moment.
Ça aurait dû être Le Secret de Pembrooke Park, que j’ai fini plus vite que prévu. Et c’est celui-là qui m’a appelé ensuite.
Au final, je retiens surtout André Tavardon et son très beau La Cité des Sables, même si Clive Cussler squatte encore et toujours cette liste.
C’est sans hésiter le magnifique artbook Venezia de Leynsun qui remporte la palme de la plus belle couverture cette année. Et l’intérieur n’est pas en reste !
Je n’ai pas lu beaucoup de séries cette année, aussi le choix se porte-t-il naturellement sur cette très chouette série de fantasy d’Aidan Fox, bourrée d’aventure et de rebondissements.
C’est Le Livre de Poche qui remporte la palme cette année avec 21 lectures, juste devant Harlequin (20 lectures) et l’auto-édition (10) lectures.
Très honnêtement, j’avais prévu de le lire en VO mais je n’en PEUX PLUS d’entendre parler de ce bouquin partout jusqu’à l’overdose, alors ça attendra que la hype générale retombe.
Probablement pendant mes courtes vacances en Allemagne, quand on est revenus d’une balade en forêt, que je rallume mon portable et vois popper une notif m’avertissant de la critique de Saiwhisper sur Valerian ♥
Je n’attends pas vraiment de livres en fait… on va dire le dernier tome de la série « Le royaume blessé »… que je n’ai même pas acheté à sa sortie x)
Pareil, je n’ai pas vraiment la hype pour quoi que ce soit, mais si je pioche dans mes précos on va dire la série K-9 Mountain Guardians.
Non seulement ma plus mauvaise lecture de l’année, mais aussi et surtout ma plus mauvaise lecture de tous les temps. Je ne résiste pas à l’envie de vous remémorer ce carnage littéraire monumental et >le livetweet d’anthologie< auquel il a donné naissance :
1/10. 1/10!!! J’ai la réputation de noter dur mais jamais je n’aurais pensé mettre cette note-là un jour, celle du « même avec beaucoup de bonne volonté, j’ai beau chercher, y’a rien à sauver ». C’est pas crédible, ça glorifie les relations malsaines à outrance, si ça n’avait pas été pour faire rigoler Twitter je n’aurais clairement pas réussi à aller au bout de ce truc.
Faisait partie du tag de l’an dernier, récupéré pour l’occasion.
L’arrivage surprise de ce matin, comme quoi j’ai bien fait d’attendre la toute dernière minute pour finaliser cet article x) Limite je ne l’attendais pas « aussi peu » à la bourre en cette période de fêtes de fin d’année !
Un aperçu de la troisième partie du bilan mensuel à venir, qui devrait ravir la #TeamDoggo !
Là encore, une catégorie qui a disparu dans la version officielle du tag cette fois-ci…
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