TopTenTuesday #154 – 10 romans que vous n’auriez probablement jamais lu si vous vous étiez arrêté à votre première impression
Posted By /*php the_author_posts_link(); */?>Svet Mori le 13 mars 2018
Habituellement, je ne fais pas les Top Ten Tuesday, parce que le thème m’emballe généralement moyen, mais cette fois, le truc m’inspirait (malgré ses similitudes avec >L’improbable littéraire<, alors... Pour la source et les autres participations, c'est chez Frogzine >ici<.
Par ordre chronologique d’ajout à ma biblio.
A la base, je l’ai lu parce qu’il m’a été offert par ma tante (il y a de ça trèèèèèès longtemps), même s’il ne correspond pas du tout à mes goûts.
Bah, au final, ça a été un vrai coup de cœur, même si le côté très mélancolique du truc a fait que je ne l’ai jamais relu (mais il est toujours en ma possession).
A chaque fois que j’en cause, c’est pour répéter la même chose : ce bouquin est d’une chiantitude sans nom sur 90% de sa longueur, avant que la fin rattrape le reste. Bref, si je n’avais pas pour principe de ne jamais laisser tomber, je n’aurais jamais dépassé les 100 pages tellement c’est leeeeeeent, mou, rempli de blabla et qu’il ne se passe rieeeeeeeeen.
Bon au final je l’ai relu et en VO (même si ça a pris un mois et demi), mais je maintiens : le fond est génial, mais putain, qu’est-ce que l’enrobage est lourdingue…
Un bouquin que je n’aurais jamais lu, si je ne l’avais pas eu gratuitement lors d’une opération « X Milady achetés, X Milady offerts dans la sélection ». Et vu son résumé, le truc ne me disait vraiment, mais alors vraiment que dalle. Donc, je l’ai lu tout de suite. Finalement, c’était vachement cool et je n’exclus toujours pas d’acquérir le reste de la série un jour.
Déjà évoqué dans « L’improbable littéraire ». Faut avouer que le résumé comme le concept prêtent plus à rigoler qu’autre chose… et finalement, à l’intérieur, c’est une biographie fictive vraiment très bien troussée.
Déjà cité dans « L’improbable littéraire », mais pas pour la même raison… Chat Noir, si je m’étais arrêté à ses couvertures franchement pas engageantes, avec ces aplats de couleur vives et le gros trait gras, je serais passé.e à côté d’un super truc. Fallait vraiment que je sois en manque de fantasy à capuche pour lui laisser sa chance… Finalement, heureusement que je l’ai fait x)
La couverture comme le résumé puaient le truc girly à des kilomètres. Mais bon, d’occasion, pour peanuts… Et puis oh, surprise, c’est un vrai vrai bouquin de Z-lit, pas chick-lit, non non, vraiment Z-lit. Alors oui le ton est léger, mais… ça passe. Ça change des militaires surarmés et sûrs d’eux, là c’est narré par une jeune adulte lambda qui a quelques problèmes d’entente avec son mec et qui se retrouve confrontée à l’apocalypse zombie. Bref, c’est frais (façon de parler).
Des préjugés, j’en avais un paquet sur ce truc que je me suis retrouvé à lire en SP. Entre les étiquettes romance historique et shojo, et le visuel très shojoesque justement, c’était sacrément mal barré. Faut savoir que j’ai une légère allergie au genre.
Bah finalement, c’est passé crème ; j’ai même adoré. Le trait colle parfaitement à l’ambiance du truc et l’histoire est beaucoup plus intéressante et mieux foutue que je ne m’y attendais, et pas niaise pour un rond. Pan, dans les dents.
A good girl, je ne l’aurais jamais acheté si sa couverture n’avait pas été aussi chouette et les critiques aussi enthousiastes. C’était vraiment plus par curiosité qu’envie véritable.
Bon, au final, si le plot twist final est absolument génial, et la montée en tension progressive vraiment très réussie… Ça reste « pas ma came », j’ai trouvé ça plutôt bon mais pas particulièrement aimé. Bref, je ne sais toujours pas quoi en penser, ni si je le relirai un jour (et quand j’hésite à vendre, c’est assez révélateur).
EDIT : (Finalement, je ne l’ai pas gardé)
C’est à se demander si entre les couvertures et les résumés, il n’y a pas un concours du plus kitsch. Bref, y’a absolument rien qui fait envie là-dedans, mis à part le mélange « Égypte + vampire ». Heureusement que depuis le temps je sais que les résumés d’Harlequin c’est un peu de la merde par rapport au contenu, sinon je n’aurais jamais rien lu de chez eux.
Là, le problème ne venait pas de la couv’ (surtout qu’à l’origine, le bouquin est sorti en sublime édition « Mois du Cuivre ») mais bien de l’extrait. J’avais adoré le premier chapitre, détesté le deuxième, si bien qu’il aura fallu la réédition en poche le mois dernier pour que je lui laisse sa chance. J’ai bien fait, c’est très très cool.
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