Bilan d’Octobre 2018, partie 2 – spécial romance orientale
Posted By /*php the_author_posts_link(); */?>Svet Mori le 1 novembre 2018
Eeeeeet… il a fallu récidiver et couper le bilan mensuel en deux. Comme d’habitude, cet article ne traitera que des arrivages de romance orientale ; le loot généraliste et le bilan photo se trouvent ici :
… Pour le reste, vous connaissez désormais la chanson. Ceci dit, cette fois est bel et bien la dernière, pour la simple et bonne raison que ce mois-ci, j’ai récupéré absolument TOUS les Ispahan qui étaient trouvables en version papier ; aussi bien les sorties relativement récentes encore disponibles sur le site éditeur, que les plus anciens dégottables en seconde main.
C’était une quête un peu folle, une idée à la con, l’influence de mon côté collectionneur complétiste sans doute (pourquoi faut-il qu’ils mettent les numéros sur les tranches aussi, avoir des trous, c’est perturbant)… Puis bon, tout en lui souhaitant longue vie, ne sachant pas combien de temps la collection va durer, j’ai préféré m’assurer d’avoir du stock dans ce genre que j’aime bien plutôt que prendre le risque de me retrouver à court bien trop tôt.
Néanmoins, beaucoup de volumes demeurent absolument introuvables. J’espère que certains apparaîtront sur les sites d’occasion dans un avenir plus ou moins proche, mais je me doute que même avec de la patience, il risque d’être coton de choper les 28 qui manquent, surtout sans les titres de certains, ayant carrément disparu du site des éditions Harlequin même en ebook !
Bref… passé cette longue introduction, voilà les dégâts.
Bon c’est toujours moins pire qu’en Août hein.
On dit merci à la nouvelle bouquinerie. Le côté « secrétaire et patron » me laisse totalement de marbre, MAIS c’est une romance orientale avant tout ! L’aspect intrigues de cour, politique et romance impossible est tout de suite bien plus attirant.
Vous m’appartenez… Sous le choc, Tally se demande si elle n’est pas en train de rêver tout ce qui lui arrive depuis que, s’étant aventurée dans ce petit village au cœur du désert afin d’y prendre des photos, elle a été enlevée par des rebelles menés par le cheikh Tair. Une chose est sûre, cependant : sous le regard sombre et brûlant de cet homme rude, habitué à être obéi sans discussion, elle sent un désir irraisonné s’emparer d’elle. Un désir auquel Tair semble répondre avec la même intensité…
Princesse d’une nuit
Dans la vie de Kirsten, il n’y a jamais eu de place pour le rêve et la passion. Aussi, lorsque le cheikh Shahir al-Assad, l’un des invités du château où elle travaille comme employée de maison, entreprend de la séduire, elle a l’impression de vivre un conte de fées et se donne à lui sans réserve. Elle sait bien, pourtant, qu’ils n’appartiennent pas au même milieu, et que rien ne sera jamais possible entre eux. Mais, pour une nuit, pour une nuit seulement, elle veut savoir ce que cela fait d’être une princesse…
Entre l’enlèvement dans le désert et le conte de fées moderne, ce tome avait tout pour m’intéresser ♥
Je suis le prince Razi al Maktabi… Il faut quelques instants à Lucy pour prendre conscience de la signification de ces quelques mots et, surtout, pour comprendre qu’il ne s’agit malheureusement pas d’une plaisanterie. En effet, le mystérieux amant en compagnie duquel elle a passé d’incroyables moments, et dont elle porte maintenant l’enfant, n’est autre que ce prince à la réputation de play-boy ! Un homme riche, influent et inaccessible. Un homme sur le point d’en épouser une autre…
Le prince d’Amrah
Polly n’en croit pas sa chance. Pour réaliser un documentaire, la voilà à Amrah, dans le palais du cheikh Rashid Al Baha en personne ! Face à cet homme sublime dont l’intense regard bleu semble la dévorer comme une flamme… ! A tel point que, très vite, cette irrésistible attirance plonge Polly dans une passion aussi bouleversante qu’inattendue. Hélas, ce que la jeune femme ignore encore, c’est que le prince Rashid ne l’a accueillie chez lui que poussé par un secret désir de vengeance…
La seconde histoire est bien plus intéressante que la première, mais passons. J’ai du mal avec les intrigues à base de grossesse mais ça, c’est un pur a priori négatif qui peut réserver de bonnes surprises.
Folle amoureuse du prince Tariq, Mina a dû rompre avec lui sous la pression de sa famille. Des années plus tard, incapable de l’oublier, elle revient vers lui pour l’épouser, au Zulhei, pays sur lequel il règne désormais. Mais à l’heure de leur mariage, alors qu’elle est sur le point de devenir « Celle qui appartient au cheikh », Mina doute des sentiments de Tariq pour elle. Certes, il la désire toujours éperdument ; seulement, blessé par leur rupture d’autrefois, il garde ses distances. Mina saura-t-elle reconquérir son ombrageux époux ?…
Un troublant chantage
Prudence n’en croit pas ses oreilles. Pourtant l’arrogant Karim al-Ahmad s’est montré très clair : soit elle se rend chez lui à Zafsid pour s’occuper de sa jeune sœur Suzan, soit il porte plainte contre son frère, responsable selon lui du comportement rebelle de cette dernière. Elle n’a donc pas le choix : elle le suivra. Mais, une fois sur place, elle trouvera bien le moyen de fuir cet homme aussi désagréable que séduisant.
Le premier roman du recueil semble le plus attirant des deux, mais ça, c’est à cause des résumés…
En se rendant au royaume de Zaraq, Georgie sait qu’elle va revoir le prince Ibrahim, l’homme dont elle est amoureuse, mais qui a toutes les raisons de la détester. N’a-t-elle pas dû le repousser, quelques mois plus tôt, sans même lui donner un mot d’explication ? Mais, une fois sur place, Georgie a la surprise de se voir proposer par Ibrahim une excursion de quelques jours dans le désert. Une proposition qu’elle n’ose refuser, mais qui la plonge dans l’angoisse. Quand elle sera seule avec lui, pourra-t-elle continuer à lui cacher les sentiments qu’il n’a jamais cessé de lui inspirer ?
La prisonnière du sultan
« Si tu veux que nous divorcions, tu dois revenir à Zayed. » À l’autre bout du fil, Jayne ne peut s’empêcher de frissonner. La voix du cheikh Tariq est glaciale, et pourtant, c’est bien cet homme qu’elle a épousé cinq ans plus tôt. Mais lorsqu’elle a compris qu’il ne l’aimerait jamais, le cœur brisé, elle a préféré fuir. Ce que Tariq ne lui a jamais pardonné. Car l’intransigeance de ses paroles ne lui laisse aucun doute : si elle refuse de retourner au royaume de Zayed, elle n’obtiendra jamais sa liberté…
C’est surtout la première histoire qui m’intéresse, à cause du décor. Pour la seconde, faut avouer que du chantage au divorce, c’est pas emballant du tout… surtout qu’on sait très bien qu’en fin de compte, ils vont vraisemblablement se rabibocher.
Lorsqu’elle comprend que le prince Jasim al Rais ne l’a épousée que parce qu’elle portait son enfant, Elinor décide de fuir le royaume du Quaram du jour au lendemain. Hélas, quelques mois plus tard, alors qu’elle pensait avoir réussi à échapper à la colère du cheikh, elle est bouleversée de découvrir que le milliardaire qui a racheté l’entreprise où elle travaille n’est autre que Jasim. Pour elle, il n’y a aucun doute : s’il l’a retrouvée, c’est uniquement pour récupérer son fils, l’unique héritier du trône…
Pour quelques nuits avec le cheikh
Sous le regard sombre du cheikh Amir ibn Masud Al Jaber, Cassie frémit. Pourquoi cet homme l’a-t-il fait enlever et la retient-il prisonnière dans ce campement perdu au milieu des montagnes ? Loin de la rassurer, le prince ne fait que l’inquiéter davantage lorsqu’il lui explique qu’elle va devoir jouer, durant toute une semaine, le rôle de sa maîtresse, et que sa liberté est à ce prix… Comment pourra-t-elle partager le lit de cet homme dangereux, sans céder au désir qu’il lui inspire malgré elle ?
Là encore, c’est la seconde histoire qui donne le plus envie, même si la première sent le quiproquo à plein nez (on parie combien que Jasim n’est même pas au courant qu’il est père ?) et pourrait être intéressante.
Invité d’honneur au Royal Club d’archéologie de Londres, Kaden, prince de Burquat, ne s’attendait pas à y croiser Julia Connors. Julia, dont il est tombé fou amoureux douze ans plus tôt. Julia, qu’il projetait alors d’épouser… jusqu’à ce qu’il la surprenne dans les bras d’un autre homme ! Une trahison que Kaden n’a jamais oubliée. Pourtant, aujourd’hui, à la seule vue de sa silhouette gracile, de sa longue chevelure blonde, il sent de nouveau la passion s’emparer de lui. La passion… et une implacable soif de vengeance.
Rencontre passionnée
Après la disparition inexpliquée de sa sœur Victoria, il y a cinq ans, Imogene s’est lancée à corps perdu dans le travail pour essayer de surmonter cette terrible épreuve. Aujourd’hui, elle brigue un poste important qui requiert de savoir monter à cheval ! Aussi demande-t-elle à Raf Shakir, propriétaire d’un haras, de lui donner des cours. Mais, face au charme de son professeur, Imogene en oublierait presque la raison de sa venue… Pourtant, elle refuse de céder aux avances de Raf, tiraillée entre son propre désir et sa culpabilité…
J’ai longuement hésité à prendre celui-ci… jusqu’à décider de récupérer autant d’Ispahan que possible xD Je me demande si l’archéologie sera au minimum en toile de fond de la première histoire, ou si passé le début on n’en entendra plus parler…
Depuis l’enfance, Natalia éprouve pour son île un attachement sans bornes. À tel point qu’elle accepte sans hésiter la proposition du roi Giorgio de Niroli : épouser l’homme qui va lui succéder sur le trône, le fils illégitime qu’il a eu d’une princesse orientale. Pour Niroli, Natalia est prête à tous les sacrifices. Mais, lorsqu’elle découvre le visage de son futur époux, elle comprend, effarée, qu’elle a commis une terrible erreur. Car l’homme qui lui fait face ne peut éprouver pour elle qu’hostilité et mépris…
L’héritier du désert
Il est de retour au Texas ! Le cheikh Ben Ramir, le seigneur du désert en personne ! Pour Eden, il est surtout l’homme qui lui a fait perdre la tête autrefois, lors d’une nuit magique, avant de disparaître. Pis, il est aussi… le père de son enfant. Un « détail » qu’il ignore totalement… Alors, pour que le secret demeure complet, Eden n’a pas le choix : elle doit éviter soigneusement Ben – et si, malgré tout, il réussissait à découvrir la vérité, se battre bec et ongles pour garder son enfant…
Faisait partie des sorties d’Août (enfin début Septembre pour les non-abonnés). Le premier récit m’intéresse forcément plus que l’autre, étant donné que les histoires d’enfant caché (ou d’enfant tout court) c’est pas ma came.
A noter que ce tome est HUGE pour un Ispahan (cent pages de plus que certains) !
Pour Billie, donner des leçons particulières au cheikh Jefri de Calimshan ne devait être qu’un simple travail de routine. Mais, dès que son regard croise celui du prince, elle comprend que cette mission-là ne sera pas comme les autres. Malgré elle, Billie se prend à faire des rêves dignes d’un conte des Mille et Une Nuits. Jusqu’au jour où une rumeur lui parvient : pour obéir à la tradition et remplir son rôle de souverain, Jefri serait déjà fiancé et sur le point d’épouser une princesse de son rang…
Une femme à séduire
Clio est consternée lorsqu’elle apprend que ses parents ont invité le cheikh Jalal à venir passer les vacances dans leur maison située sur les rives d’un lac de l’Ontario, au Canada. Comment va-t-elle faire pour supporter la présence quotidienne de cet homme hautain qu’elle a toujours détesté ?
Une romance orientale au Canada. Pourquoi pas. C’est pas vraiment ce pourquoi on en lit, mais un changement de décor ne peut pas faire de mal.
Quand sa sœur lui demande de prendre soin de son bébé, Mariella accepte sans hésiter. Résolue à retrouver le père de Fleur, elle décide même de faire le très long voyage jusqu’au royaume de Zuran. Il est temps que cet homme — qui a lâchement abandonné sa famille — soit mis devant ses responsabilités ! Mais sur place elle est reçue par Xavier Al-Agir, un proche parent. Un ténébreux cheikh qui la somme de venir s’installer chez lui sans attendre, et qui refuse bientôt de la laisser repartir avec l’enfant…
Captive de l’amour
Laura suffoquait d’indignation. Ainsi, son mari, le cheikh Hassan, n’avait pas hésité à recourir au kidnapping pour la faire revenir à lui ! Elle aurait dû se douter qu’un homme aussi autoritaire, fils aîné de son clan et unique héritier du richissime émirat du Rahman, ne la laisserait pas entamer une procédure de divorce sans prendre des mesures de rétorsion. Elle s’était pourtant crue en sécurité, en Espagne. Peine perdue… aux yeux du cheikh, les frontières importaient peu : elle était toujours son épouse…
Un achat d’occasion, arrivé tardivement. J’ai beau ne pas être fan des histoires avec des enfants, la première a l’air plus intéressante que la seconde.
En se rendant à Baslaam, Cameron ne s’attendait pas à trouver le pays en pleine crise politique. Ni à se voir offrir par le nouveau sultan une offrande pour le moins inattendue : une femme, magnifique, à la nudité impudiquement dévoilée. Enchanté par sa beauté, Cameron ne se sent pas la force de refuser ce brûlant présent. Très vite, pourtant, la jeune femme se révèle bien différente de ce qu’il a cru. Et, tandis qu’il tombe peu à peu à sa merci, Cameron cesse de se demander qui elle est vraiment. Car la passion est là, sensuelle et dévastatrice, une passion à laquelle tous deux vont se livrer corps et âme…
Zayed Khalil, prince et médecin
Des yeux de velours, un sourire craquant ! C’est le plus bel homme qu’elle ait jamais vu, et c’est son patron à l’hôpital de St. Piran ! Dès leur première rencontre, Emily est sous le charme de Zayed Khalil, si chaleureux et tendre avec les bébés qu’il soigne. Mais si distant avec elle. Une attitude qui la laisse de glace toutefois, car qu’y a-t-il de possible entre elle, petite Anglaise des Cornouailles, et Zayed, prince du désert en exil ?
Tiens, pour une fois, c’est l’héroïne qui est originaire du Moyen-Orient, ça change !
Quant à la seconde histoire, j’avoue avoir toujours autant de scepticisme envers le combo romance orientale hospitalière, surtout quand c’est le « hospitalière » qui a le dessus. Mais bon.
Une liaison, sans engagement, voilà tout ce que je suis prêt à te donner !
Le ton de Jafar est aussi dur que ses propos, mais Lisbet sait qu’ils sont mérités. N’est-ce pas elle qui, six mois plus tôt, a quitté Jafar, brutalement, sans la moindre explication ? A l’époque, elle était persuadée que cet homme possessif et dominateur n’était pas fait pour elle et que, en dépit de l’incroyable sensualité de leurs étreintes, il ne pourrait que la rendre malheureuse. Pourtant, alors même qu’il se tient devant elle, le regard brûlant de haine et de désir mêlés, elle comprend soudain qu’elle a commis une terrible erreur. Car elle aime Jafar de tout son être, de tout son cœur…
Passion d’Orient
Passionnée d’archéologie et en quête d’aventure, lady Caroline Morvall, une jeune veuve anglaise, décide de partir pour la Turquie. Sur place, elle est enivrée par la beauté magique des paysages et la douceur du climat. Et, à peine arrivée à Constantinople, elle succombe aux charmes d’un ténébreux inconnu, en compagnie duquel elle découvrira les fastueuses nuits d’Orient…
Une romance historique dans la collection Ispahan ? Oui et re-oui !
Pour vivre avec le beau Khalil, un riche diplomate, Jade a tout sacrifié : son travail, sa famille, ses amis. Cela n’a pas d’importance, tant qu’elle est dans les bras de celui qu’elle aime. Mais bien vite elle se rend à l’évidence : à ses yeux, elle ne sera jamais rien de plus que la compagne de ses nuits. Comment dès lors continuer à aimer un homme qui ne lui laissera jamais de vraie place dans sa vie ?
Deux mois pour un mariage
Cinquante mille dollars ? Pour deux mois de travail ? Andrea n’en revient pas. Qui est l’homme prêt à dépenser une telle somme pour s’assurer ses services d’entraîneur hippique ? Bientôt, sa stupeur se transforme en crainte quand elle découvre que son futur employeur est tout sauf un inconnu… Le prince Shamir Yaman, un homme qu’elle avait espéré ne jamais revoir, vient de réapparaître dans sa vie. Et Andrea n’a plus qu’une idée en tête : le tenir à distance, pour sa tranquillité et celle de son petit garçon…
Le premier roman a l’air tout mignon. Quant au second, no comment.
Fils de cheikh ? Héritier du Maraban ? Darian, abasourdi, fixe sans un mot ses deux interlocuteurs. Doit-il croire le prince Khalim qui se présente à lui comme son demi-frère ? Et peut-il faire confiance à Lara, celle qui l’a séduit quelques jours plus tôt en lui taisant cette incroyable vérité qu’elle était jusqu’à ce jour la seule à détenir ? Pour percer le mystère de ses origines, Darian ne peut qu’accepter la proposition de Khalim. Il se rendra au Maraban, mais à une seule condition : que Lara soit aussi du voyage. Ainsi, il tiendra la jeune femme à sa merci et pourra assouvir le désir passionné qu’il éprouve pour elle, malgré tout…
A la merci d’un prince
Emily Ross a commis une terrible erreur en montant à bord du bateau de Jacques Arnault, qui s’avère être un individu fort peu recommandable. Arrêté dans un port privé sur les côtes de Zanzibar, n’est-il pas prêt, en échange de sa propre liberté, à céder la jeune femme au prince du lieu, le cruel et magnifique cheikh Zageo Al Farrahn ?
Les deux histoires ont l’air foutrement emballantes. La première à cause du protagoniste découvrant ses origines, en marge de la romance. Le seconde parce que les scénarios rocambolesques comme lui-là sont mes préférés :p
La vengeance d’un prince
Quand Carmen découvre qu’elle attend un enfant de Farooq, le prince héritier de Judar, elle décide de fuir pour échapper à sa colère. Car elle sait bien que cet homme ne veut rien d’autre qu’une aventure avec elle. En pure perte… Farooq, manifestement déterminé à la punir d’avoir osé lui tenir tête, exige qu’elle revienne à Judar…
La fiancée du désert
Lorsqu’elle comprend que Shehab al-Masood, l’homme à qui elle s’est donnée corps et âme, est prince de Judar, la princesse Farah est bouleversée. Car l’homme qu’elle aime n’est qu’un menteur, et les mots d’amour qu’il prononçait pour la séduire n’avaient qu’un seul but : la conduire à l’épouser, condition sine qua non de son accession au trône…
Vœux sous contrat
Kamal n’a pas le choix : s’il veut sauver le royaume de Judar, il va devoir épouser la princesse Aliyah. Même si, depuis que cette intrigante lui a brisé le cœur des années plus tôt, il s’est juré de lui faire payer sa trahison. Et même si, malgré sa colère, il ne parvient pas à rester de marbre lorsqu’il se retrouve en face d’elle…
Une intégrale découverte en fouillant la collection sagas. Autant dire que je ne m’attendais pas à trouver de la romance orientale dedans ! Commandé d’occasion illico presto.
Ennuyeuse et terne ! Voilà donc comment le sultan Sadiq la considère… Samia est à la fois blessée et révoltée par les propos qu’elle vient de surprendre. Dire qu’elle avait espéré que son futur mariage arrangé avec le souverain d’Al-Omar pourrait devenir une union d’amour… Désormais, elle n’a plus espoir de voir un jour ce rêve se réaliser. Car, pour la première fois, Samia prend conscience avec effroi qu’elle est condamnée à vivre auprès d’un homme qui ne l’aimera jamais…
Prince et play-boy
En apprenant qu’Amir, le prince dont elle est l’assistante depuis cinq ans, doit faire un mariage de convenance – et avoir un héritier –, Grace sent son cœur se serrer. Bien sûr, Amir a eu de nombreuses idylles, mais chaque fois il finissait par se lasser… Cependant, aujourd’hui, la situation est différente : comment accepter que celui qu’elle aime en secret depuis si longtemps lie son destin à celui d’une autre femme ?
Les deux histoires ont un petit côté conte de fées… ♥
Comblée par sa réussite professionnelle, Madison pense qu’il ne lui manque qu’une chose dans la vie : un bébé. Pour autant, elle n’envisage pas un instant de sacrifier sa précieuse indépendance ! Mais quand elle se retrouve, par accident, enceinte du cheikh Tariq al Sayf, elle cède à la panique. Car ce dernier exige qu’elle vienne vivre avec lui au royaume de Dubaac jusqu’à ce qu’elle mette au monde son héritier…
Laurel, princesse du désert
Épouser Rakin Whitcomb Abdellah, le sublime cheikh qu’elle vient de rencontrer ? Pour Laurel, c’est la plus douce des folies – et elle y succombe avec délice. Après tout, ce mariage sera temporaire, et ne s’est-elle pas juré de pimenter sa vie ? Bientôt, pourtant, alors qu’elle découvre, aux côtés de son nouvel époux, le royaume de Diyafa et l’immensité du désert, Laurel sent le doute l’envahir. Parviendra-t-elle, quand il le faudra, à renoncer à Rakin, cet homme qui a bouleversé son existence et embrasé tous ses sens ?
Si toi aussi tu penses que l’héroïne du premier roman aurait grave besoin de neurones, lève la main !
Heureusement, la seconde histoire donne tout de suite beaucoup plus envie.
Noëlle est folle de rage. Comment Ammar a-t-il osé l’enlever pour la retenir ensuite prisonnière, en plein cœur du Sahara ? Et que recherche-t-il en agissant ainsi ? Dix ans plus tôt, ne l’a-t-il pas abandonnée le soir même de leur mariage, sans la moindre explication, lui infligeant une souffrance terrible ? Mais sa colère se mue en panique lorsque Ammar lui présente ses conditions : il la laissera repartir chez elle si, et seulement si, elle accepte de passer trois jours – et trois nuits – avec lui…
Un mariage dans le désert
Derrière le voile qui lui dissimule le visage, Zoe ne peut détourner le regard de Nadir, prince de Jazaar. Après l’avoir dépouillée de son héritage, voilà que son oncle la marie de force à ce cheikh qu’elle n’a jamais vu de sa vie. Mais Zoe ne désespère pas. Et si ce mariage était enfin une occasion de s’enfuir et de recouvrer sa liberté ? Mais, avant toute chose, elle sait qu’elle doit endormir la méfiance de son époux et s’efforcer de satisfaire tous ses caprices…
La première histoire sent à plein nez le mec qui essaie de reconquérir sa belle, ça peut être mignon. Mais c’est surtout la seconde qui donne le plus envie : ça risque d’être vachement sympa de voir Zoe prise à son propre piège…
Un résumé beaucoup plus emballant que celui du premier tome.
La série se terminera déjà le moins prochain…
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